L'aventure, c'est la santé, ne rien faire la préserver !

Après un moment de marche, j'aperçus la forêt elfique. J'avais l'impression que ça faisait une éternité que je ne l'avais pas bu, celle là. D'un premier abord, personne ne le remarque mais elle est différente de celle des Loup-garous. Au moins, je m'y sentais chez moi. Bientôt, je pus voir la cabane, notre cabane. Toujorus intacte. Je souris. Combien de temps s'était-il écoulé ? Une semaine au moins... Peut-être... Tout ce qu'on avait vécu m'avait fatigué. On ? Nous ? Nous étions deux, et Zorro ne m'avait pas quitté. Heureusement d'ailleurs. Qu'aurais-je fait sans lui ?

Une fois arrivé à la cabane, j'ouvris la porte. Rien n'avait bougé. J'entendis Kiiro crier pour venir me rejoindre. Il se posa sur mon épaule et je lui caressai le haut de la tête. Il avait bien rempli son rôle, il le méritait. Et puis, je ne l'avais pas beaucoup câliné en ce moment. Il faut dire qu ej'avais tout gardé pour mon bretteur, qui se révelait être un gros jaloux un peu possesif. Il piailla de joie. J'entendis d'autres petits pas s'approcher. Surement le petit Chopper. Dès que je le vis, je lui souris :

-Nous sommes rentrés ! T'as été sage ?

C'était peut-être pas ce qu'il fallait dire mais je le laissai sauter dans mes bras pour un calin. Je mis Zorro sur le coup pour un gros calin collectif. Il grognera moins comme ça. La petite peluche m'avait manqué, elle aussi. D'un côté, Reel lui ressemblait. Mais ce n'était pas la même chose. Il avait du s'inquiéter pour nous. Ah, que c'était bon de rentrer ! J'étais exténué. Je m'assis un peu lourdement sur l'un des fauteuils. POurquoi tant d'épuisement ? Je ne sais pas, mais j'étais vraiment crevé. Je ne m'endormis pas mais commença à raconter ce qui s'était passé. Tout semblait peut-être incroyable, mais nous l'avions vécu. Je peinais des fois à y croire. Mais je n'en étais pas à ça près. Maintenant, je ne rêvais que d'un moment de repos. L'aventure m'avait bien épuisé. Après l'effort, le réconfort dit-on...

Trois jours sans une nouvelle de Sanji et Zorro ! Mon dieu, que d'inquiétude pour le pauvre Chopper qui paniquait pour un rien ! Heuresement que Kiroo -Le Phoénix de Sanji- avait prévenu le petit renne au nez bleu qu'ils étaient sain et sauf ! Sinon il aurait était les cherchaient ! Soudain, il entendu un bruit de pas. La petit peluche ouvrit de grands yeux et il recula totalement paniqué ! Car il ne savait pas qui c'était ! Et peureux comme il était, il se cacha sous une chaise. Il vit deux hommes, du moins deux pantalons car il ne voyait que le bas. Et il s voyait trois sabres avec l'un des hommes. Hein ? Des sabres ! Mais c'était pire de ce qu'il pensait ! Mais... Attendez une minute... Trois sabres... Mais oui, bien sûr ! Il sortit de sous la chaise et sourit en voyant les deux hommes arrivaient. C'était Sanji et Zorro ! Youpi ! Il sauta de joie et sauta dans les bras de Sanji ! Zorro eut à peine le temps de gronder que le blond mêla Zorro à ce calin collectif, Chopper était tellement content ! Puis une fois le calin finit, la petit peluche au nez bleu demanda.

-Je me suis tellement inquiété pour vous ! Alors racontez moi tout, qu-est ce qu'il c'est passait ?

Le cuisinier blond racontait une histoire passionnante, il racontait tout dans les moindres détails ! Chopper avait des étoiles dans les yeux puis il dit.

-C'est vrai ! Quelle courage ! C'est génial ! Je suis si content que vous êtes revenu en un seul morceau !

Chopper sentit le regard glaciale de Zorro, pourquoi faisait-il ca ? Celui la, il était vraiment bizzare quelque fois ! Et il était aussi parfois effrayant ! Chopper réprima une moue, car ce regard glaciale était fort désagréable, mais surtout, fort effrayant ! Alors il dit à Zorro.

-Euh, Zorro pourquoi tu continu à me regarder comme ca ? Ca me donne des frissons !

L'escrimeur afficha une drole de tête avant de répondre.

-J'ai faim !

Il continua de regarder Chopper, mais il n'y avait pas la même lueur dans son regard, c'était une lueur vraiment effrayante cette fois... Encore plus effrayante qu'avant, Zorro esquissa un sourire carnassier et alors la Chopper se mit à hurler avant de se cacher dérriére Sanji.

-Au secours ! IL... Il EST FOU ! IL VEUT ME MANGER !

Le bretteur cessa son regard effrayant et il se mit à rire à george déployer !

Sanji et Zorro étaient en marche pour retrouver leurs cabane avec Chopper...Zorro lui avait réserver une bonne blague, il sourit à cette pensée. Une fois arrivait à la cabane, ils entrérent et Chopper sauta dans les bras de Sanji. Mais à peine Zorro eut-il le temps de grogner que Sanji mêla Zorro à ce calin "Familiale". Le bretteur leva les yeux aux ciels, enfaite il aurait préferer pas de calin du tout ! Puis Sanji raconta leurs mésaventures dans les moindres détails mais Zorro n'écoutait pas, il préparait sa bonne blague et il jettait sur r Chopper un regard glaciale et froid. Mais Chopper écoutait l'histoire de Sanji, Zorro persistait quand même.

-C'est vrai ! Quelle courage ! C'est génial ! Je suis si content que vous êtes revenu en un seul morceau !

Ca y est , Chopper avait l'air d'avoir mordu à l'hamecon, il commencait à frissoner, puis il demanda.

-Euh, Zorro pourquoi tu continu à me regarder comme ca ? Ca me donne des frissons !

Le bretteur se passa la langue sur ses lévres et il dit.

-J'ai faim !

Il afficha un sourire carnassier, et dans son regard, il y avait une lueur carrément démoniaque. La Chopper semblait vraiment paniqué, Cette fois ci, Chopper craqua et il hurla avant de se cacher dérriére Sanji.

-Au secours ! IL... Il EST FOU ! IL VEUT ME MANGER !

Un regard amusé remplaca le regard assassin que lancait Zorro à Chopper, maintenant il riait à geore déployé. Si bien qu'il se roula par terre, c'était si drole ! Daccord , habituellement il gardait son sang froid, mais la c'était vraiment trop drole ! Zorro se redressa et s'essuya une larme puis il dit.

-Ah ! C'était vraiment trop drole ! Mais c'est vrai quoi... Ca peut être bon, du renne grillé.

Ah ce moment la , il reprit son sourire carnassier et Chopper hurla de nouveau avant de se cacher sous la chaise de Sanji, il supplia.

-Par pitié, Sanji protége moi ! Il est méchant ! Il veut me manngerr !

Alors que je racontai mon histoire, CHopper me regardait avec des étoiles dans les yeux. Il était si impressionné qu'il nous félicita de notre courage. Qu'il était mignon comme ça ! Puis, je le snetis mal à l'aise. Evidmeent, Zorro le regardai bizarrement comme si.... comme s'il voulait le manger ! Je regardai la scène, un peu interloqué :

-Euh, Zorro pourquoi tu continu à me regarder comme ca ? Ca me donne des frissons !

-J'ai faim !

-Au secours ! IL... Il EST FOU ! IL VEUT ME MANGER !

Le petit renne courra se cacher derrière tandis que mon bretteur se roulait par terre. IL était littéralement tordu de rire. Je ne l'avais jamais vu rire comme ça. Je souris. Pauvre petite peluche. IL sortit doucement de sa cachette, comme s'il attendait une rechute. Je n'allais quand même pas le cuisiner. Lorsque Zoror s'arrêta de rire, il dit, avec son plus beau sourire canibal :

-Ah ! C'était vraiment trop drole ! Mais c'est vrai quoi... Ca peut être bon, du renne grillé.

-Par pitié, Sanji protége moi ! Il est méchant ! Il veut me manngerr !

Le petit médecin s'était de nouveau caché. J'hésitai entre rentrer dans le camp de mon sabreur ou dans l'autre. La neutralité était peut-être la meilleure solution, mais là, je ne voyai pas vraiment comment mettre fin à la petite scène. Je me levai lentement, fixa mon Zorro d'un air sérieux et dit :

-Zorro, voyons, réfléchis ! La ration de survie n'est qu'en cas d'urgence, déjà d'une, et de deux, je n'ai pas de casserole assez grande pour le faire cuire ! Sois tu le manges cru, soit tu abandonnes l'idée et tu me laisses cuisiner autre chose... en plus, c'est pas de saison, le renne grillé ! Ah làlà, espèce d'inculte celui-là...

Bien évidement, CHopper devait encore être effrayé, mais je n'avais pas pu le défendre. Il était trop drole à taquiner. Comme il semblait avoir encore peur, je m'accroupis en face de lui et sourit, mais gentiment. L'expression : on ne va pas te manger n'allait pas à la scène. C'est vrai quoi, tout le monde voulait le manger. Ce n'était pas pour rien qu'il était à croquer.

-Eh, petite peluche, on rigole ! Zorro n'est pas si méchant que ça... Si ?

Je le regardais, mais j'avais peur de m'attendre à un même rire terrifiant. Il allait me contredire, à coup sur. Je le vis esquisser le début d'un regard noir. Pauvre Chopper... Je me levai, décidé à partir en cuisine. Je finis simplement ma phrase :

-Bon, d'accord, il est très très méchant et d'un cruauté sans pareil. Mais ça ne l'empêche pas de rester sage, n'est ce pas Zorro ? Je vais préparer le repas, alors si l'un mange l'autre, y'en aura un qui finira ses jours dans un placard en se nourrisant juste des souris qui pourront passer par là !

Sur ces mots, j'allais en cuisiner, souriant. J'espérais que mon amour allait se tenir tranquille. Je décidai de préparer des crêpes, pour une fois. Au moins, c'était simple et rapide. Tellement absorbé par ma cuisine, je ne savais pas s'ils s'étaient calmés ou pas. Une fois le repas prêt, j'ammenais les crêpes et des assiettes. c'est là que j'ai pu voir s'ils avaient été sage.

Zorro continuait son petit numéro, il rit en se roulant par terre puis il se releva en s'essuyant une larme et il dit.

-Ah ! C'était vraiment trop drole ! Mais c'est vrai quoi... Ca peut être bon, du renne grillé.

Zorro reprit son air de cannibale et son plus beau sourire carnassier,et Chopper hurla une nouvelle fois et il cria.

-Par pitié, Sanji protége moi ! Il est méchant ! Il veut me manngerr !

Le petit renne se cacha sous la chaise de Sanji, tout en cachant sa tête avec ses pattes, Sanji dit.

-Zorro, voyons, réfléchis ! La ration de survie n'est qu'en cas d'urgence, déjà d'une, et de deux, je n'ai pas de casserole assez grande pour le faire cuire ! Sois tu le manges cru, soit tu abandonnes l'idée et tu me laisses cuisiner autre chose... en plus, c'est pas de saison, le renne grillé ! Ah làlà, espèce d'inculte celui-là...

Aaah ! Sanji n'était pas contre l'idée de Zorro ? Aaaah ! Chopper courut partout, ne sachant pas ou se mettre, totalement paniqué. Il pleurait à moitié ! Mais Sanji s'approcha de Chopper et il dit.

-Eh, petite peluche, on rigole ! Zorro n'est pas si méchant que ça... Si ?

Chopper s'était arrêté et il avait froncé les sourcils car Zorro lui lancait un regard noir et terrifiant. Chopper resta pétrifié et il manqua de tomber par terre.

Bon, d'accord, il est très très méchant et d'un cruauté sans pareil. Mais ça ne l'empêche pas de rester sage, n'est ce pas Zorro ? Je vais préparer le repas, alors si l'un mange l'autre, y'en aura un qui finira ses jours dans un placard en se nourrisant juste des souris qui pourront passer par là !

A ce moment la, Zorro ne manqua pas de faire un rire, tréés mais alors tréés térrifiant ! Chopper se cacha sous la table, Zorro l'attrapa par une de ses cornes et il pendit en l'air devant lui, puis il dit toujours avec son sourire carnassier et son regard terrifiant.

-Sérieusement, tu m'donne faim !

Chopper essayait de se débattre mais Zorro l'ignorer totalement et il riait diaboliquement. Ensuite il passa sa langue sur ses lévres...

Sanji dit à Zorro, avait un air trés sérieux.

-Zorro, voyons, réfléchis ! La ration de survie n'est qu'en cas d'urgence, déjà d'une, et de deux, je n'ai pas de casserole assez grande pour le faire cuire ! Sois tu le manges cru, soit tu abandonnes l'idée et tu me laisses cuisiner autre chose... en plus, c'est pas de saison, le renne grillé ! Ah làlà, espèce d'inculte celui-là...

Zorro prit un air ennuyé et il dit.

-Ah ouais... C'est vrai dommage !

Chopper était carrément paniqué, il courrait de partout et il hurlait comme un fou ! Il pleurait presque ! Le pauvre quand même... Mais Zorro n'avait aucune pitié et son sourire se transforma vite en fou rire ! Le petit numéro du jeune renne était si comique! Zorro ne s'en lassait pas! Puis le petit s'arrêta et il se cacha sous la table. Zorro eut soudain une merveilleuse idée pour l'effrayer davantage. Il prit le renne par la corne et il le pendit en face de son visage, toujours avec son sourire carnassier et son regard glaciale il dit.

-Sérieusement, tu m'donne faim !

Zorro passa sa langue sur ses lévres tout en regardant le petit renne "Alléchant" Il sourit voyant que ca lui faisait vraiment peur, le petit se débattait beaucoup et il criait et gémissait. Mais Zorro était insoucient... Il n'avait pas vu Sanji qui arrivait !

Lorsque j'entrai dans la pièce, la scène à laquelle je fus livré me fit presque lâcher tout ce que j'avais dans les mains. Zorro tenait CHopper par une corne et le regardait, d'un air vraiment méchant. IL avait l'ai rvraiment de vouloir le boulloter. Mon sang ne fit qu'un tour, si bien que je ne pensais plus correctement. Il rigolait surement, mais c'en était trop. Je posai les assiettes et la nourriture pour voler au secours de ma peluche. Je décollai du sol pour shooter mon bretteur et récupérer ainsi le petit renne martyrisé. Je n'avais pas frappé trop fort, mais assez pour lui faire lâcher prise. Hors de moi, je criai en serrant le pauvre petit Chopper contre moi :

-Zorro, tu vas trop loin !

Je le vis partir. Au début, je ne réagis pas. Je caressai juste un peu le petit renne qui pleurait. Il avait été trop loin dans le jeu. Beaucoup trop loin. Puis, je le posai sur une chaise en essayant de reprendre mon calme. La situation me revint en mémoire. Dans la colère et la panique, je l'avais frappé. Il était parti. Je l'avais blessé. Je me rendis compte de ma bêtise. Je n'aurais pas du faire ça. Maintenant, c'était trop tard. Je m'en voulais.

-Et merde !

A la fois triste et énervé, je tapai du poing contre un mur avant de m'enfuir dans ma chambre. Je vis ma peluche Zorro, que je virai d'un geste incontrolé. Je m'assis sur le lit le visage dans mes mains. Je ne comprenais plus rien. En mêm etemps, j'étais énervé contre moi même, mais aussi triste. Quelques larmes coulèrent juste, sans sanglots. IL me fallut bien du temps pour me calmer. Je n'avais pas faim, javais tout laissé là-bas, et CHopper tout seul. Mais j'avais besoin de réfléchir. Je regardais la peluche que j'avais fait tomber. Qu'avais je fait ? Je me levai pour la ramsser et l'épousseter un peu. Il était parti. Et que faire ? Sans savoir comment affronter la suite, je regardais le ciel de ma fenêtre, la peluche dans les bras. Une larme, unique, vont mourir dans mes bras. Et maintenant ?

Pauvre petite peluche, cette fois s'en était trop, elle était vraiment pérturbée. Zorro faisait un sourire carnassier en le prenant par une carne et en se léchant les babines et Chopper pleurait à chaudes larmes, vraiment la, c'était pas drole du tout ! Mais alors la pas du tout ! Il ne voulait plus re voir ce méchant personnage ! Plus jamais ! Sanji faillit laisser tomber ses plats et il les posa pour voler au secour du petit renne au nez bleu en shootant Zorro et en récupérant Chopper. Zorro tomba à la renverse, stupéfait il jeta un regard glaciale à Sanji et il partit. Pendant ce temps, Chopper était en larmes et Sanji essayait de le consoler... Peu à peu Chopper se calma et il regarda le blond qui avait l'air de culpabilisé. Le coq lanca un 'Et merde ! " et Chopper fut étonné. Sanji retourna dans sa chambre. Chopper était triste pour Sanji,alors il rejoint Sanji dans sa chambre, il s'assit sur ses genoux et il dit.

-Ho Sanji... Je... Je peut aller le chercher si tu veut... (En faite il n'osait pas vraiment mais c'était pour réconforter Sanji) Je suis désoler...

Il soupira, aprés tout c'était de sa faute aussi ! Pourquoi il faisait peur à Chopper comme ca ? Ce n'était pas drole !

Quand Sanji vit ce spectacle, le pauvre Zorro était sûr d'avoir mal. Et celui ci reçût un coup de pied en plein dans la face, qu'il ne pût parer. Il tomba à la renverse et dans sa course, lâcha le renne. il lança une chaise dehors par rage ,et accorda un dernier regard noir à Sanji. Il se précipita dehors et courut. Il cria :

-Fais chier ! Foutu cuistot !

Purée ! Fallait qu'ca arrive ! Mais... Pourquoi avait -il fait ça ! C'était juste un peu d'humour... Zorro soupira se rendant compte qu'il avait fait du mal à ses amis... Il s'arrêta et s'adossa à un arbre pour mettre les choses au claire... Il avait fait du mal à ses amis, il avait effrayer Chopper.. Le pauvre petit. Il mit sa main devant son visage et il s'assit pour pleurer en silence. Qu'est ce qu'il avait fait ? Mais quel idiot ! Maintenant qu'allait t-il faire ? Il n'allait tout de même pas retourner là bas, comme un idiot ! Mais... Le bretteur voulait tant s'excuser ! Il soupira et essaya de calmer ses larmes, mais en vain ! Il se disais << Mais bon sang, je suis un homme ! Pourquoi est ce que je pleure ? C'est totalement idiot ! Et puis , ils doivent sûrement m'en vouloir et ils ne reviendront plus... >>En vérité c'était lui qui se trouvait nul d'avoir fait cela. Il passa un long moment, seul, à réfléchir aux erreurs qu'il avait commise. Soudain , il crut entendre une voix familière :

-Zorro !

Il refusa d'y croire, ça ne pouvait être Sanji...

Alors que je regardais le ciel, le petit CHopper vint s'installer sur mes genoux avec un air triste. Lui aussi se sentait coupable ? Mais ce n'était pas de sa faute ! Il avait toujours été comme ça...

-Ho Sanji... Je... Je peut aller le chercher si tu veut... Je suis désoler...

-Non... ça va aller Chopper, ne t'inquiète pas... Va plutôt aller manger veux tu ? J'ai besoin d'être un peu seul s'il te plait. T'excuse pas, ce n'est pas de ta faute...

J'attendis qu'il s'ne aille pour vraiment commencer à réfléchir à ses paroles. Aller le chercher ? C'était peut-être la meilleure solution. Mais où était-il ? J'espérais qu'il n'était pas loin. Décidé à mettre fin à totu ça, je sortis par la fenêtre. IL pouvait être partout. Ce ne me faisiat pas peur. Nous allions pas rester comme ça sur une dispute pour une riaosn dérisoire. Je courrus un peu partout en criant son nom :

-Zorro !

Mais je n'entendis aucune réponse. Je m'arrêtai un moment, essoufflé. J'espérais seulement qu'il n'était pas loin ! POurvu qu'il ne nous ai pas quitté pour plus longtemps que ça. Je ne sais pas si je l'aurais supporté. Quoiqu'il arrive, rien ne change, je l'aimais. Cette phrase, je lui avais déjà dit. Et merde ! Ou était-il ? Plus le temps passait, plus je désespérais à ne pas le trouver. Pitié, pas ça. Haletant, je mefforçai de toujorus courir en criant son nom. POurquoi ne répondait-il pas ? Bientôt, je crus sentir quelques larmes couler le long de mes joues. Il était vraiment parti ? Je ne voulais pas le croire. Je ne voulais pas l'admettre.

-Par pitié, Zorro, réponds moi !!

Je continuai d'arpenter la forêt de long en large. Je commençai à vraiment m'inquiéter... Juste avant que je trouve un morceau de tissu par terre. SOn bandana. Je le ramassai. Il devait pas etre bien loin du coup. Rssemblant tout mon courage et mes forces, je continuai de courir, sans crier cette fois. Au bout d'un moment, je le trouvais enfin. Adossé contre un arbre, il avait l'air de méditer, les yeux un peu rougis par les larmes. Evidement, je l'avais frappé. Je l'avais blessé autant physiquement que mentalement. Je n'aurais pas du réagir comme ça. Doucement, je m'approchai jusqu'à ce qu'il me remarque. Je n'avais aucune idée de ce que je pouvais dire. Je n'arrivais même pas à articuler une syllabe tellement j'étais essouflé. Je m'appuyai contre mes jambes. Dan sun souffle, je dis :

-Trouvé...

Et maintenant ? JE ne savais toujours pas quoi dire. Je lui lançai son bandana. Il n'avait pas du remarquer qu'il lavait perdu en cours de route. Je l'avais tant perturbé que ça ? Même si je me sentais coupable, toute excuse ou même un autre son ne voulait sortir de ma gorge. Une fois que je repris mon souffle, je réussis à articuler mes phrases :

-Allez viens... C'ets l'heure du repas... Tu ne vas quand même pas jeûner...

Je lui tendis ma main. Je n'étais pas arrivé à lui dire tout ce que j'avais sur le coeur, mais j'essayai de tout lui retranscrire en un regard. d'abord tout l'amour que j'avais pour lui, puis les excuses que j'aurais voulu lui donner et enfin, une demande. Celle de ne pas me quitter. De ne pas nous quitter. De rester avec moi. Je n'avais pas réussi à dire tout ça, les mots n'avaient pas traversé ma bouche. Et mon coeur restait si lourd que je peinais à le porter. Mais en un regard, j'espérais que s'allège un peu et qu'il me pardonne.

Sanji déclina son aide, Chopper haussa les épaules puis il alla manger. Il n'y avait plus un bruit dans la maison... Il entendait les mouches voler... En faite ca faisait presque peur, Chopper frissonna un peu puis il alla voir discrétement dans la chambre de Sanji. Il n'y avait plus personne, il était encore tout seul ! Ho non pas encore ! Il soupira et les attendit patiament sur une chaise. Il entendit des pas, c'était sans doute eux. Il sourit tout en restant sur sa chaise en finissant de manger.

Zorro était un lâche... Celon lui ; il ne méritait pas d'être ami avec Sanji ou Chopper... Mais il entendit une voix l'interpeller, c'était Sanji ?! Il aurait voulu crier à Sanji qu'il était là, mais il avait trop fait de dégâts, alors il allait arrêter... Mais Sanji semblait déterminé !

Par pitié, Zorro, réponds moi !!

Il serra les poings et ferma les yeux pour éviter de penser à Sanji, pour pouvoir résister... Mais Sanji le cherchait bel et bien ! Il entendit des bruits de pas arriver dans sa direction, c'était Sanji ! Il aurait voulu fuir, mais à quoi bon ? Cela ne servait strictement à rien ! C'était sûr. Soudain Sanji se retrouva à cotés de Zorro.
Celui ci aurait voulu réagir mais il ne broncha pas. Sanji s'appuya contre ses deux jambes et il dit.

-Trouvé...

Zorro leva la tête vers le cuistot, les yeux humides et rougis par les sanglots qui l'avait soudainement traversé.
Il regarda longuement Sanji puis il rattrapa son bandana et dans un geste lent, il le noua mais sans mot dire. En faite, il avait honte, honte d'avoir commis du tord à ses amis... Le cuistot dit.

-Allez viens... C'ets l'heure du repas... Tu ne vas quand même pas jeûner...

Zorro fut assez surpris quand Sanji lui tendit la main, puis il croisa le regard de son beau blond... Il était rempli d'excuses... Celui de Zorro aussi, alors il prit doucement la main de Sanji, et il se releva. Il arriva à dire :

-Je...Je suis désoler !

Après un moment d'hésitation, Zorro prit ma main pour se relever. Je pouvais lire dans son regard un peu de surprise, mais aussi beaucoup d'excuses. Pensait-il que je n'allais pas lui pardonner ? Pensait-il que Chopper lui en voudrait vraiment à long terme ? Quel crétin s'il pensait ça ! Il me faisait penser à un gamin après une bêtise. Un peu perdu, après s'être fait grondé il s'échappe pour ne pas revenir, décision prise tellement vite qu'il finit ne vouloir que retourner là où il vient pour donner ses excuses. J'avais en partie raison. Je l'entendis dire :

-Je...Je suis désoler !

MOn coeur se serra un peu plus. Ces yeux rougis par les larmes, cette tristesse sur son visage, c'était surtout de ma faute oui ! J'aurais voulu que tout disparaisse. Que le désespoir et le désolement laissent place à la joie. Si je ne m'étais pa sretenu, quelques larmes auraient coulés. Pourquoi avais-je réagi comme ça ? Un instinct, peut-être. Ne voulant plus affronter son regard triste, je le pris dans mes bras, cachant ma tête au creux de son cou. Il ne me chassa pas. Tant mieux, je n'avais pas l'intention de partir. Je réussis finalement à alléger mon coeur en lui chuchotant les mots qui étaient restés dans ma gorge :

-C'est pas à moi que tu dois des excuses, mais plutôt à Chopper... C'est plutôt moi qui t'en doit... Je... J'aurais pas du réagir comme ça... Je... ne voulais pas te blesser... Excuse moi... je t'en prie... excuse moi...

Je ne savais pas si c'était moi oui lui qui pleurait, mais je sentis quelque chose d'humide couler sur mes joues. Surement moi, car j'hoquetai chaque mot de mes phrases. Encore des larmes. Je ne voulais pas de nouveau affronter son regard, alors je restai sans bouger, caché contre lui. Je n'osai plus rien dire, plus rien faire. Juste rester là. Finalement, je réussis à articuler une dernière demande, celle qui me tenait le plus à coeur :

-Tu... Est-ce que.. tu veux toujours rester avec moi ?

Cette fois, c'était moi qui avait l'impression d'être un gamin qui demande à un être proche de rester le guider. Alors que tout a une fin. Mais je m'en fichais bien, moi, je le voulais. J'attendis sa réponse, toujours caché. EN aucun cas je lèverai la tête. J'avais trop honte pour affronter son visage dévasté par la faute. Et je n'aurais pas résisté si je voyais de la haine dans ses yeux, tel le regard noir qui m'avait lancé en guise de réponse au mien, aussi froid et tranchant que de la glace. La réponse arriva, positive. Le soulagement céda à la tristesse. Il voulait bien rester avec moi. Une promesse qui reste toujours gravé dans nos coeurs. J'aurais voulu lui dire encore une fois à quel point je l'aimais, sauf que la phrase ne réussit pas à passer à travers ma bouche. A la place, j'avais levé la tête, les yeux encore humide, et lui avait doucement souri, en y mettant tout l'amour que j'avais pour lui. Absolument tout ce que j'avais. Puis, je me détacha de lui avec regrets pour rentrer.

-Rentrons... Sinon, le repas va vraiment être froid...

Et puis, CHopper devait nous attendre. Je commençai à marcher, en serrant fort la main de Zorro que j'avais précieusement gardé. Je ne voulais pas qu'il reparte. Qu'il me file entre les doigts. Je ne voulais plus jamais le blesser comme je l'avais fait. Ne plus répéter mes erreurs du passé. Plus jamais.
Une fois arrivé à la cabane, j'ouvris la porte sans un bruit. Il ne restait que nos pas pour couvrir le silence. Je vis CHopper en train de manger, visiblement content qu'on soit rentré. Sans un mot, je menai mon bretteur à la table avant de lâcher sa main pour que je parte dans ma chambre. Je m'affalai sur le lit et à peine eus-je touché l'oreiller, je m'endormis d'un profond sommeil. Je n'avais pas pris la peine de me changer. J'étais juste tombé dans le lit, la moitié du visage caché dans l'oreiller, toujours émacié par la tritesse et la honte que j'avais de mon comportement. SOus l'un de mes bras, ma peluche Zorro était là. Avant que mon esprit soit complètement harpé par les rêves, je sentis l'odeur de mon bretteur sur les draps. J'avais pris sa place sans me rendre compte. Mais j'avais tellement couru, tellement crié que je n'en pouvais plus. C'était un miracle que je sois rentré sans tomber de mon pas chancelant. Ou alors, l'amour et la volonté m'avait permis de passer le cap. Quelle importance ? C'est sur ces mots que ma conscience s'éteignit le temps d'une nuit.

Kiiro s'était posé à coté de son maitre. Il s'était glissé sous son bras afin de le réconforter. Il avait vu la scène, les larmes de son sauveur. Il avait tout vu. IL vit celui qui avait blessé Sanji s'approcher. Il cria. Ce n'était qu'un avertissement pour le moment, mais s'il continuait à le faire pleurer, Kiiro se battrai

Les deux humains entrérent, et les deux était rougis par les larmes, Chopper les regardait mais il continuait à manger. Les pauvres... Tout ca c'était aussi un peu de sa faute... Si il n'avait pas était la, rien ne se serait passer ! Sanji ne mangea pas mais il alla directe dans sa chambre, Chopper le regarda, un peu surpris puis il vit Zorro manger à coter de lui. Il avala sa salive et il se dépécha de finir son assiette puis il alla se coucher...

Zorro regarda Sanji, mais celui ci avez l'air de vouloir se cacher, alors il ne le vut que trés peu. Mais il avait vu des yeux rougis par les larmes... Il avait fait du mal à Sanji, sans le vouloire... Il avait fait du mal à ses amis, quel bon à rien ! Sanji se cacha au creux du cou de Zorro, sans doute son refuge préféré. Zorro mit sa main sur la nuque de Sanji et il le caressa d'un geste doux mais lent. Sanji dit.

-C'est pas à moi que tu dois des excuses, mais plutôt à Chopper... C'est plutôt moi qui t'en doit... Je... J'aurais pas du réagir comme ça... Je... ne voulais pas te blesser... Excuse moi... je t'en prie... excuse moi...

Zorro ferma les yeux, son ange n'avait pas à s'en vouloire il n'avait rien fait... Tout était de la faute de Zorro ! Il répondit.

-Je... C'est moi qui vous est fait du mal... Moi non plus j'aurait jamais dit faire ca... Je... Je regrette amérement.

Il regrettait amerement, c'était le bon mot... Il regrettait vraiment d'avoir fait tout ca, d'avoir fait peur à Chopper et d'avoir fait pleurer Sanji. Son ange aux beaux cheuveux d'or semblait pleurer, car il sentit quelque chose d'humide couler dans son cou. Pauvre Sanji ! Le coq blond lui demanda.

-Tu... Est-ce que.. tu veux toujours rester avec moi ?

Mais... Mais quel idiot celui ci ! Bien sûr que Zorro resterait toujours avec Sanji, il lui avait fait la promesse, et Zorro respectait ses promesses ! Zorro fit un petit sourire triste et il dit mais pas méchament.

-Mais bien sûr ! Gros nigaud !

Avec un sourire il ébouriffa les cheuveux de son blondinet. Jamais il ne se séparerait de lui, ho ! Jamais ! Sanji avait levé la tête, les yeux humides... Il avait fait le plus beau sourire que Zorro avait jamais vu ! Zorro lui rendit son sourire, mais celui ci n'était pas effrayant du tout, en vérité il était tendre. Sanji s'était détacher de lui, *Ho non, j'aurait voulu qu'il reste toujours au prés de moi....* Se disait notre cher Zorro, il aimait tellement quand Sanji était au prés de lui !...

-Rentrons... Sinon, le repas va vraiment être froid...

Zorro hocha la tête et il marchérent, main dans la main...Zorro ne voulait plus jamais qu'ils se disputent comme ca, alors il se jura de ne plus jamais recommencer à faire peur à Chopper. Il fera dans son mieux pour que tout ce passe bien, cette fois. Le blond ouvrit la porte et Chopper les regarda. Sanji accompagna Zorro jusqu'a la table, et celui ci regarda Sanji s'en allait dans sa chambre, stupéfait. Zorro commenca à manger quand il vit que Chopper le regardait bizzarement, même Chopper le détéstait maintenant. Zorro regarda Chopper avec un regard triste, plein de détrésse... Mais celui ci s'en alla. Le bretteur soupira s"en voulant à mort. Une fois le repas finit, il fit la vaisselle, se changa et alla dans la chambre pour se coucher. La , il y avait Sanji avec son Phoénix. Zorro s'installa dans le lit quand le Phoénix cria. Zorro grogna et regarda Kiiro avec son plus beau regard noire comme pour dire "Quoi qu'est c'tas, j'ai pas l'droit d'me coucher ? " Puis il s'endormit...

Je fus harpé dans les ténèbres tout au long de la nuit. La seule lumière qui venait illuminer ce serais-ce qu'un peu l'ombre était une petite créature jaune. Kiiro ? J'ouvris les yeux. Il faisait noir encore, mais mon phénix brillait un peu. Il piailla doucement. Il était venu me consoler. Je lui caressai le haut du crâne pour le remercier. Il me dit qu'il me protègerait toujours. Je compris qu'il avait vu la scène. Qu'il savait tout. Je lui chochutais :

-Non...Kiiro, tu te trompes... Il ne me veut aucun mal...

Mais il ne m'écouta pas. Je voulus me rapprocher de Zorro mais il ne voulut pas. Je dus l'écarter un peu plus fort pour lui faire comprendre que je ne voulais pas ne pas me séparer de lui. J'avais le droit de décider moi même, non ? Têtu comme il était, il allait surement nous surveiller un moment. Il piailla une dernière fois avant de s'écarter, non content de me laisser approcher de mon bretteur.

-Kiiro, arrête ça ! Réfléchis un peu ! Ca n'a aucun sens ! Le mot promesse, tu sais ce que ça veut dire ? Et le mot amour alors ? Je tiens beaucoup à toi, mais là, tu vas un peu loin !

Je réussis à le calmer un peu. Il boudait dans son coin, en me regardant en coin. Je soupirai. Combien de temps encore avant qu'il me laisse tranquille ? Bah, de toute façon, je lui ferais bien comprendre qu'il n'a pas à s'inquiéter et faire tout ce cirque. Ce qu'il a vu n'est rien qu'une maladresse non contrôlée. C'est tout. Je voulais oublier la scène pour toujours. Je me glissais entre les bras de mon amour avant d'être de nouevau harpé dans les ténèbres. La seule lumière qui venait m'illuminer était Zorro. Et elle était particulièrement chaude et rassurante.

Un rayon de soleil vint chatouiller mes paupières, me forçant à les ouvrir. Il faisait déjà jour ? J'ouvris péniblement les yeux. Devant moi, Kiiro me regardait. La fenêtre laissait passer la lumière du soleil. Personne autour de moi, juste le passage de celui que j'aime. Sans doute déjà levé. Je m'assis doucement en grimançant. Des courbatures, il ne manquait plus que ça ! Mais je m'en fichais un peu à vrai dire. Je regardais le ciel. Il n'avait pas vraiment changé, lui, et ne se souciait pas du reste. Si des nuages passaient l'assombrir, il se relevait toujours. Car on avait toujours besoin de lui. J'étais comme lui. Tout doucement, je me levai. Mon phénix vint se poser sur mon épaule. Bien sur, il allait passer du temps à m'observer, à coup sur. Ce n'était pas vraiment contre lui, mais il me rappelait sans cesse la scène d'hier, celle que je voulait à tout prix effacer de mon esprit. Histoire de me remettre les idées en place, je pris une douche et m'habilla d'un pantalon noir et une chemise bleue, à mon habitude. Pas moyen de faire disparaitre les épis que j'avais dans les cheveux. J'avais vraiment une allure pas réveillée comme ça. Mes yeux avaient une drôle de teinte à cause d'hier. J'avais beaucoup pleuré, c'est vrai. Pourquoi ? Je ne voulais pas m'en souvenir. Tout oublier. Puis ne jamais refaire la même erreur. Je soupirai en me souriant dans la glace. J'avais vraiment une drôle de tête comme ça. Mais bon, il fallait avancer. Je sortis de la salle de bains pour aller en cuisine. Je vis mon Zorro assis quelque part et lui fit signe pour dire bonjour. Avec l'un de mes plus beaux sourires. Kiiro le regarda bizarrement. Je vois, il en avait après lui. Je le chassai de la main en sifflant comme pour le gronder. IL n'avait pas à faire ça.

-Je vais faire à manger, qu'est ce qui te ferais plaisir, Ai-san ?

Lui aussi voulait surement oublier ce qui s'était passé hier. Alors autant reprendre notre rythme de vie normal. Après avoir entendu sa réponse, j'allais en cuisine préparer ce qu'il voulait. Je n'avais pas encore vu CHopper, peut-être qu'il dormait encore. Le pauvre, lui aussi devait être en froid avec Zorro. Tout le monde l'était, à part moi. Je n'avais jamais voulu lui jeter ce regard si glacial comme je l'avais fait. Jamais. Pour lui, je lui réservais toujours ce que j'avais de plus tendre. Toujours. Alors que je cuisinais, j'entendis un autre piaillement. Celui de Yuuhi, une phénix verte. Elle aussi avait du sentir mon désarroi hier. Mais elle n'avait pas réagi comme Kiiro. Elle se frotta juste contre ma tête en roucoulant. Je lui souris en lui demandant de surveiller son frère doré pour éviter qu'il ne fasse de bêtise, surtout envers mon bretteur. Ce qu'elle accepta tout de suite. Elle n'était pas liée à moi mais j'avais l'impression que c'était elle qui me coomprenait le mieux. Elle s'envola et je vis le petit frère phénix bleu voler derrière elle. Je pouvais compter sur eux. C'est avec un grand sourire que je finis de préparer le petit-déjeuner. Une fois prêt, je l'apportais à table avec des assiettes. Je pus remarquer que Chopper s'était levé à son tour. Mais il y avait une atmosphère un peu froide. Le temps d'un instant, j'observais mes deux amis. L'un semblait toujours avoir peur de revivre hier et l'autre cherchait à recoller les deux bouts. L'instinct animal du petit renne était sans doute en marche pour éviter son ennemi. Sauf qu'il se trompait. Je déposai le repas sur la table avant de soupirer. Comment faire ? Il n"y avait pas vraiment de solution. Soit il fallait attendre, soit forcer un peu. Ils étaient amis bon sang ! Je me dirigeai vers la petite peluche pour la prendre dans mes bras. j'entendis déjà le gros jaloux de Zorro râler. Je souris et m'approcha de lui. Je sentis Chopper se tendre. Je n'allais pas le manger, et Ai-san non plus ! Je m'assis sur les genoux de mon amour en passant un bras autour de ses épaules, l'autre tenant le petit Chopper pour l'empêcher de partir.

-Nous ne sommes pas camarades, nous ne sommes pas amis, nous sommes une famille. Vous l'aviez oublié ? Et malgré les différends, une famille se serre les coudes et se réconcillie toujours, pour aller de l'avant et ne plus recommencer les erreurs du passé. La nôtre ne demande qu'à repartir unie, alors si on oubliait ce qui s'est passé hier pour repartir vers de nouvelles aventures ?

J'avais regardé Chopper pour le convaincre. Zorro n'était pas méchant, loin de là. Je savais qu'il tenait beaucoup à ses amis. Il s'en voulait toujours pour hier. Il fallait les guider tous les deux. Vers une nouvelle route pour avancer vers nos rêves. Je souris à mes deux précieux amis. Toujours uni. L'équipage s'était assez disloqué comme ça. Le plus important était de rester ensemble. Je vis deux sourires se former. Joie et bonheur. Retrouvaille. Moment illuminé par le sourire. Doucement, j'approchai mon visage de celui de mon amour pour l'embrasser, le petit renne contre moi. Maintenant, je voulais croire en eux et en l'avenir. Il y a toujours un "après". Il suffit de le relever pour le voir. A ce moment là, je pouvais le voir à des miliers de kilomètres. Il ne restait qu'à le suivre et le saisir. Avenir. Celui d'une famille réunie. Le nôtre. Une promesse qui reste toujours gravé dans nos coeurs.

Les rayons du soleils narguait la petite peluche au nez bleu, il se reveilla doucement et s'étira et bailla. Il regarda à travers la porte, Zorro était reveiller. Chopper frissona, maintenant , Zorro lui faisait vraiment peur ! Il avait était traumatisé ! Sanji rejoignit Zorro, alors Chopper sortit et il s'assit. Il était à cotés de l'escrimeur, ce qui le fit frissonait encore plus, il s"éloigna un peu du bretteur et commenca à manger. Mais Sanji l'interrompit en le prenant dans ses bras, Bien sûr Zorro grogna ! Le coq blond se rapprocha de Zorro et s'assit sur ses genoux, Chopper se tendit, il avait peur, trés peur ! Il était tout prés de Zorro ! Le monstre vert ! Il essaya de se débattre mais Sanji était trop fort !

-Nous ne sommes pas camarades, nous ne sommes pas amis, nous sommes une famille. Vous l'aviez oublié ? Et malgré les différends, une famille se serre les coudes et se réconcillie toujours, pour aller de l'avant et ne plus recommencer les erreurs du passé. La nôtre ne demande qu'à repartir unie, alors si on oubliait ce qui s'est passé hier pour repartir vers de nouvelles aventures ?

Chopper regarda un moment Sanji qui avait l'air trés sérieux, puis il regarda attentivement Zorro et croisa son regard, c'était un regard rempli de tristesse et d'excuses. Chopper sembla stupéfait pendant quelques minutes puis un large sourire fendit ses lévres. Zorro faisait de même. Il avait compris, oui il était une famille, il fallait oublier tout cela... Zorro ne faisait que plaisanter sans doute ! Alors il fallait oublier.
Ensuite Sanji embrassa Zorro,Chopper se cacha les yeux avec sa patte et réprima une moue de dégout. Buerk ! Il pouvait pas faire ca ailleurs ?

Zorro se leva le premier, allait savoir pourquoi ? Le bretteur se doucha et mit une veste ouverte avec un pantalon kaki de millitaire, il aimait bien ces vêtements la...Il attendit Sanji juste pour le petit déjeuner, Aujourd'hui il ne voulait pas le faire, ce matin il avait faim et il voulait quelque chose de bon alors c'est pour ca qu'il attendait Sanji tranquillement, assis sur sa chaise. Enfin Sanji se leva, il était habillé d'un pantalon noire et d'une chemise bleu, comme d'habitude. Ensuite Chopper se leva et il s'assit à cotés de Zorro, mais il avait l'air particuliérement nerveux et tendu, il s'éloigna de Zorro tout en frissonnant, le bretteur haussa un sourcil, qu-est ce qu'il avait fait encore ? Pauvre Zorro ! Il avait l'impression que tout le monde le détéstait ! Mais il s'en voulait terriblement et il voulait tout oublier... Mais malheuresement Chopper n'avait pas l'air de vouloire. Il y avait aussi le Phoénix de Sanji qui lui tapait sur les nerfs, car il le regardait comme je ne sais quoi ! Pourquoi lui ? Sanji dit.

-Je vais faire à manger, qu'est ce qui te ferais plaisir, Ai-san ?

Hum... Bonne question, a vrai dire Zorro ne savait pas vraiment ce qu'il voulait ! Il haussa les épaules et dit.

-Bah... Euh je sais pas, t'as qu'a faire des croissants si ca t'embête pas...

Ouais des croissants, c'était pas mal... Simple mais bon ! Sanji lui prépara à manger et il lui donna, Zorro mangea avec appétit puis Sanji prit Chopper pour lui faire un calin. Zorro grogna... Mais trés vite, Sanji s"assit sur les genoux du bretteur et il passa un bras autour du cou de Zorro. Peu habitué à ce geste, Zorro rougit un peu, surprit...Puis Sanji dit.

-Nous ne sommes pas camarades, nous ne sommes pas amis, nous sommes une famille. Vous l'aviez oublié ? Et malgré les différends, une famille se serre les coudes et se réconcillie toujours, pour aller de l'avant et ne plus recommencer les erreurs du passé. La nôtre ne demande qu'à repartir unie, alors si on oubliait ce qui s'est passé hier pour repartir vers de nouvelles aventures ?

Ca Zorro le savait et c'est ce qu'il essayait de dire à Chopper, il avait des yeux plein de tristesses et d'excuses en regardant la petite peluche, et aprés un long moment, elle sourit. Zorro, content, sourit à son tour. Sanji l'embrassa, hum... Le paradis... Bah quoi ? C'est vrai, ils se sont réconciliés et en plus Sanji l'embrasse ! Mais le petit renne sembla dégouté par ce geste, Zorro aurait voulu rire, mais ce n'était pas vraiment le moment. D'ailleurs ce moment il aurait voulu y rester pour toujours...

La tension était passé, et l'atmosphère était de nouveau revenu à la normale. J'avais réussi mon coup. Il n'y en a qu'un qui râlait encore, c'était Kiiro. Je l'avais senti me regarder, comme pour me prévenir d'un erreur que j'étais en train de faire. Pourtant, je m'en voyais aucune. J'étais simplement heureux. Comme le petit renne semblait dégouté lorsque j'embrassai mon Zorro, je mis fin au baiser pour lui sourire. Il était vraiment trop drôle lui. J'avais oublié qu'il n'était encore qu'un gamin en vérité. C'était mignon, sa réaction. Pas comme celle de mon phénix. IL avait crié, pour me dire de faire attention. Je lui lançai un regard l'intimant à se taire et il partit à tire d'aile. Il était peut-être un peu jaloux, ou je ne sais quoi. En tout cas, il n'avait pas à intervenir comme ça. Je finis mon petit-déjeuner sur les genoux de mon bretteur avant de me lever faire la vaisselle et ranger un peu la cuisine. Kiiro était là. Encore une fois.

-Bon, maintenant, tu arrête ! J'ai pas besoin d'une surveillance 24H/24 ! Qu'est ce qui te prend alors ? Tu n'as jamai sréagi comme ça ! Tu ne vas pas me dire que mon âme n'est pas d'accord avec ce que je fais, si ? Allez, va t-en !

Il ne bougea pas au début, puis vola dans la pièce à côté. J'espérais qu'il laisse Zorro tranquille. Malheureusement, lorsque j'entrai dans la pièce, il semblait se disputer. Je sifflai de colère et l'oiseau sortit enfin de la maison, en piaillant encore. Il n'arrêtait pas. J'avais preque l'impression qu'il m'interdisait tout contact avec luui. Mais pourquoi ? Enfin, il valait mieux l'oublier, celui-là. Il arrêtera peut-être de faire n'importe quoi un jour, lorsqu'il aura réfléchi. Maintenant, je voulais faire ce que j'avais prévu depuis un moment : appeler l'équipage. Je proposais d'abord aux autres :

-Dites, j'ai pensé à un truc. Je connais le numéro de notre escargophone sur le navire. Est-ce que ça vous dit qu'on les appelle ? Au moins pour leur dire de ne pas s'inquiéter, non ?

Je sortis mon canarophone doré, que je gardais toujours précieusement sur moi. C'était quand même un cadeau de mon Zorro. D'ailleurs, un jour, il faudrait que je lui donne ce que j'ai fait pour lui. Lorsque je trouverais le bon moment. En m'asseyant sur les genoux de mon amour, je composai le numéro. J'aimais bien cette place décidement. Mais de cette façon, j'étais proche de lui. C'était ça que je recherchais. Cette sensation, ce plaisir d'être tout près de lui. J'invitai Chopper à venir aussi. Puis, je lançai l'appel. J'espérais qu'ils répondent et au début, ce n'était pas évident. Jusqu'à ce que j'entende la voix de Robin. J'avais mis en haut-parleur, de façon à ce qu'on les entende tous.

-Allo ?

-Robin-chan ? Devine qui c'est !

-Coq-san ? C'est bien toi ?

-Oui c'est moi... Je crois que je vous dois quelques explications et d'autres trucs, tu as les autres près de toi ?

-Ils sont tous là oui... Luffy, c'est Sanji !

J'entendis un étrange brouhaha dans le téléphone. Je reconnus tous les mebres de l'équipage qui s'excitait pour savoir qui allait parler en premier. Finalement, le téléphone passa dans les mains de PIpo.

-Sanji ! Qu'est ce que tu fous ? T'es ou en fait là ?

-Euuh à Yononaka... C'ets un peu loin de vous, mais bon. Y'a aussi Zorro et Chopper avec moi.

-c'est vrai ? Tu les a retrouvé ?

-Ouais. Un sacré hasard d'ailleurs ! Dis, est-ce que je peux vous expliquer pourquoi je suis parti à vous tous avant que je vous les passe ? Ils vont très bien, mais j'ai juste un truc à vous dire.

Le silence se fit autant au téléphone qu'autour de moi. Je savais que Luffy allait m'en vouloir un peu, mais bon, je n'avais pas eu le choix. J'inspirai profondement avant de me lancer dans l'explication.

-Voilà... En fait, vos vies étaient en jeu. J'ai beau avoir confiance ne vous, nous étions tous grièvement blessés, si bien que personne ne pouvait se battre. J'ai donc utilisé ma vie pour sauver les votres. Ensuite, bon, j'ai réussis à m'échapper de tout ça, donc je ne suis pas mort, mais voilà comment ça s'est un peu passé. Je... Je suis désolé de vous avoir laissé un plan comme ça, mais je n'avais pas vraiment eu le choix.

-Bah, c'ets pas très grave. Tu es en vie, c'est ça qui compte. Tu nous manque, vieux. Tu penses revenir quand ?

Je regardais Zorro un instant. Combien de temps ? Je n'en avais pas la moindre idée. Ca dépendait surtout de lui, en fait. Et d'eux. Je ne savais pas vraiment quoi répondre, si bien que je passais hâtivement le téléphone à Chopper pour qu'il salue tout le monde avant de chuchoter cette question à mon bretteur. Je redoutais cette question autant de la réponse. Dur de choisir quelque chose d'une telle importance, mais je voulais lui laisser le temps. LE temps qu'il nous faudra. Car il ne s erattrape pas.

Heuresement, Sanji mit vite fin au baiser ! Mais aprés il y eut un silence mais pas trop désagréable. Chopper réfléchissait en faite... Pipo lui manquait ! Toutes ses histoires incroyable ! Chopper respectait vraiment Pipo car c'était le grand capitaine Pipo ! Mais le grand capitaine Pipo n'était plus la pour racontait toutes ses merveilleuses histoires, ho ! Il aurait tant aimé entendre encore une de ses histoires ! Soudain, le Phoénix de Sanji sembla s'agiter pour attaquer Zorro, car il y avait un grand bruit et Zorro cria.

-Saleté de Piaf ! Dégage ! Laisse moi !

Sanji alla voir puis ils revinrent tous les deux. Sanji semblait en colére contre son phoénix et Zoro semblait confus.

-Dites, j'ai pensé à un truc. Je connais le numéro de notre escargophone sur le navire. Est-ce que ça vous dit qu'on les appelle ? Au moins pour leur dire de ne pas s'inquiéter, non ?

Quoi ? Il venait bien de dire qu'ils allaient les appelés ? Génial ! Chopper sauta dans les bras de Sanji pour pouvoir appelés l'équipage, cette fois Zorro avait compris que Chopper était content, alors il ne grogna pas mais au contraire il sourit ! Sanji composa le numéro de téléphone et Chopper attendait avec impatiente ! Enfin quelqu'un décrocha.

-Allo ?

-Robin-chan ? Devine qui c'est !

-Coq-san ? C'est bien toi ?

-Oui c'est moi... Je crois que je vous dois quelques explications et d'autres trucs, tu as les autres près de toi ?

-Ils sont tous là oui... Luffy, c'est Sanji !

J'entendis un étrange brouhaha dans le téléphone. Je reconnus tous les mebres de l'équipage qui s'excitait pour savoir qui allait parler en premier. Finalement, le téléphone passa dans les mains de PIpo.

-Sanji ! Qu'est ce que tu fous ? T'es ou en fait là ?

-Euuh à Yononaka... C'ets un peu loin de vous, mais bon. Y'a aussi Zorro et Chopper avec moi.

-c'est vrai ? Tu les a retrouvé ?

-Ouais. Un sacré hasard d'ailleurs ! Dis, est-ce que je peux vous expliquer pourquoi je suis parti à vous tous avant que je vous les passe ? Ils vont très bien, mais j'ai juste un truc à vous dire.

C'était Pipo qui parlait ! Chopper demandait de le passer tout le temps, mais Sanji finit ses explications.

-Voilà... En fait, vos vies étaient en jeu. J'ai beau avoir confiance ne vous, nous étions tous grièvement blessés, si bien que personne ne pouvait se battre. J'ai donc utilisé ma vie pour sauver les votres. Ensuite, bon, j'ai réussis à m'échapper de tout ça, donc je ne suis pas mort, mais voilà comment ça s'est un peu passé. Je... Je suis désolé de vous avoir laissé un plan comme ça, mais je n'avais pas vraiment eu le choix.

-Bah, c'ets pas très grave. Tu es en vie, c'est ça qui compte. Tu nous manque, vieux. Tu penses revenir quand ?

A ce moment la, Sanji donna le canarophone à Chopper et celui ci dit.

-A...Allo ?

-Chopper ? C'est bien toi ? Comment ca va mon vieu !

-PIPO ! Oui ca va trés bien ! Et comment va le cap'taine Pipo ?

-Il va bien ! D'ailleurs j'ai plein d'histoire à te raconter !

Chopper jeta un coup d'oeil à Sanji et Zorro pour leurs demander si il pouvait, Zorro soupira et hocha négativement la tête, Triste Chopper poussa un petit soupir et il dit.

-Je... Je suis désoler, Zorro veut pas, comment vont les autres ?

-Dommage ! Ils vont bien ! Et pourquoi Zorro décide à ta place ?

Chopper jeta un coup d'oeil à Zorro, Zorro soupira et lui fit un signe de tête pour lui dire de ne rien dire.

-Ho bah, je sais pas... Mais bon... Bon bah, je suis content que tout le monde va bien ! Je vous passe Zorro.

Sanji mit fin au baiser et Chopper sembla soulagé, ce qui fit sourire Zorro, il se déplaca et alla dans sa chambre, en faite, il savait pas trop pourquoi mais bon... Il jouait avec la figurine Sanji quand un cri percant le fit sursauté, il se retourna lentement et il vit le Phoénix de Sanji. Celui ci criait beaucoup et il volait dans les cheuveux de Zorro. Zorro essaya de se débattre mais l'oiseau semblait ne pas vouloir lacher prise. Vraiment énérvé, Zorro hurla.

-MAIS BON SANG ! SALE PIAF ! TU VA PAS ME LAISSER TRANQUILLE OUI ?

Heuresement pour lui, Sanji arriva et siffla, alors l'oiseau s'en alla. Zorro prit la main de Sanji et il lui dit.

-Merci, tu m'as hum... Sauvé ^^'

Zorro se gratta la nuque, un peu honteux de s'être fait attaqué par un oiseau.
(PAS FINI) Qu'est ce qui lui prenait à ce Phoénix ? Zorro n'avait pourtant rien fait de mal ! En fin c'est ce qu'il pense en tout cas ! Il était jaloux ou quoi ? Parce que, on dirait que c'est parce qu'il voulait "'protéger Sanji" qu'il surveillait sans cesse Zorro. Pff... Enfin bon, n'y pensant plus ca vaudrait mieux ! Le bretteur se demandait ce que faisait l'équipage en ce moment... Ah l'équipage ! Comme si il avait deviné ses pensées Sanji dit.

-Dites, j'ai pensé à un truc. Je connais le numéro de notre escargophone sur le navire. Est-ce que ça vous dit qu'on les appelle ? Au moins pour leur dire de ne pas s'inquiéter, non ?

Zorro sourit, quel bonne idée ! Il voulait parler à son capitaine pour lui diare de ne pas s'inquiéter et il lui prometterait qu'ils reviendront ! Sanji composa le numéro de l'équipage avec le canarophone que lui avait offert Zorro, il mit le haut parleur et quelqu'un décrocha.

-Allo ?

-Robin-chan ? Devine qui c'est !

-Coq-san ? C'est bien toi ?-Oui c'est moi... Je crois que je vous dois quelques explications et d'autres trucs, tu as les autres près de toi ?

-Ils sont tous là oui... Luffy, c'est Sanji !

Un grand bruit se fit entendre,puis Pipo eut l'appareil.

-Sanji ! Qu'est ce que tu fous ? T'es ou en fait là ?

-Euuh à Yononaka... C'ets un peu loin de vous, mais bon. Y'a aussi Zorro et Chopper avec moi.

-c'est vrai ? Tu les a retrouvé ?

-Ouais. Un sacré hasard d'ailleurs ! Dis, est-ce que je peux vous expliquer pourquoi je suis parti à vous tous avant que je vous les passe ? Ils vont très bien, mais j'ai juste un truc à vous dire.

Oui c'était sûr, c'était vraiment un grand hasard... Sanji voulait expliquer pourquoi il était parti.

-Voilà... En fait, vos vies étaient en jeu. J'ai beau avoir confiance ne vous, nous étions tous grièvement blessés, si bien que personne ne pouvait se battre. J'ai donc utilisé ma vie pour sauver les votres. Ensuite, bon, j'ai réussis à m'échapper de tout ça, donc je ne suis pas mort, mais voilà comment ça s'est un peu passé. Je... Je suis désolé de vous avoir laissé un plan comme ça, mais je n'avais pas vraiment eu le choix.

-Bah, c'ets pas très grave. Tu es en vie, c'est ça qui compte. Tu nous manque, vieux. Tu penses revenir quand ?

Hum... Bonne question... Sanji lui chuchota la question à l'oreille, Zorro haussa les épaules, aprés tout pourquoi pas ? Mais... Oui c'est vrai, quand ? Sanji pasa le téléphone à Chopper, pendant ce temps Zorro continuait de réfléchir à quand... Chopper dema à Zorro si Pipo pouvait encore lui raconter des mensonges... Zorro hocha négativement la tête parce que ca allait durée trop longtemps ! Puis Pipo demandait pourquoi Zorro décidait à sa place, Chopper l'interrogea du regard et Zorro lui répondit de ne rien dire, c'est vrai quoi, ca ferait idiot si il disait "Parce que c'est mon pére !" En plus si Chopper dirait ca, Pipo allait demandé qui était la mére... Puis Chopper passa l'appareil à Zorro.

-Allo ?

-Zorro ? Ca va ? Dit donc, l'équipage est beaucoup moin forte sans toi ! Et sans Chopper on a du mal à soigner les blessures, et je veut dire deux mots à Sanji, il est la ?

-Oui ca va... Ouais je sais mais bon, qui remplace Sanji ? Et personne ne remplace Chopper ? Bon attends, Sanji est la, vas y dit lui...

-Non, y'a personne de mieux que Sanji et Chopper ! Et attends.. Hum Hum (Il s'éclaircit la voix) SANJI JAI FAAIIIM!

-Baka ? T'as rien d'mieux à lui dire ? >< Et je suis désoler d'être parti sans rien dire, enfaite j'avais oublier mon tréés bon sens de l'orientation et je voulait partir à la recherche de Sanji... Et maintenant il y a non seulement Sanji mais aussi Chopper... Donc voila... Bon, je pense qu'on revienderas... Dans peut être quelques semaines ou quelques mois... Allait savoir ! Bon je vous re passe Sanji.

Zorro soupira et donna le canarophone à Sanji.

Zorro se posait la même question que moi : quand revenir ? Déjà, je n'avais pas la moindre idée de comment passer le territoire des Sirènes pour revenir sur la route de tous les périls, ni même l'idée d'une date. EN attendant, CHopper parlait à Pipo, qui semblait vouloir lui raconter encore ses histoires farfelues. Lorsque le petit renne demanda s'il avait le droit, mon bretteur hocha négativement la tête. Il n'avait pas tort, ça allait prendre beaucoup trop de temps. Mais je m'attendais à la réponse suivante : pourquoi il décidai à la place de Chopper. Vaste question auquelle nous n'avions pas donné de réponse. J'imaginais déjà la tête qu'il allait faire si le petit médecin disait qu'il avait des parents, en l'occurence nous deux.
Zorro eut le droit au téléphone et j'entendis Luffy crier quelque chose comme :

-SANJI JAI FAAIIIM!

Tiens, ça faisiat longtemps ça ! Je ne pus me retenir de sursauter. Il n'avait rien de mieux à faire ? Puis, j'éclatai de rire. Il n'avait pas changé. Mon bretteur lui offrit une réponse pour notre retour. Un temps estimé entre quelques semaines et quelques mois. Au moins, ça avait le mérite d'être clairement vague ! Puis, il em repassa le canarophone.

-SANJI !!! J'AI FAIM !!!

-C'ets bon, je t'ai entendu ! Ben, t'attendra que ça soit prêt, mon vieux ! Nan mais dès qu'on se reverra, je te ferais gouter à de nouvelles recettes dont tu me diras de te snouvelles !

-OHoh ! ouais !!! Eh Nami, non ! C'est mon téléphon e!

-Passe ça ! Ah voilà ! Sanji-kun, dis moi, vous êtes où exactement ? Est-ce que tu sais ?

-Ah Nami-san ! Eh bien, nous sommes... disons, à une connection avec l'île des hommes-poissons. En fait, pour faire simple, nous sommes dans un pays en guerre entre espèces et les Sirènes sont neutres. C'est là que j'ai trouvé CHopper, et je pense que c'est là que tout se rejoint. Hors, comme il faut passer sous l'eau un bon moment, ça risque de prendre du temps pour revenir.

-Je vois... Pas la peine de venir vous rejoindre alors... en tout cas, c'est gentil d'avoir appelé.

-De rien, je m'inquiétais aussi... Enfin, nous nous inquiétons...

-Merci.

Nami raccrocha. Elle avait presque une voix bizarre. POurquoi ? Elle était peut-être tout simplement soulagé qu'on aille bien. Je souris avant de ranger le canarophone et de me lever. Qu'allons nous pouvoir faire aujourd'hui ? IL y avait tant de possibilités. Mais un cri attira mon attention. J'allais dans la cuisine pour voir Kiiro. Qu'est ce qu'il avait encore ? Il me dit que je ne devais plus fréquenter Zorro. Quoi ? Cette fois, je m'énervais pour de bon.

-Kiiro, tu vas trop loin ! Ca suffit ! Je fais ce que je veux et tu n'as pas à me protéger ni même à me dire ce qu ej'ai à faire !

D'un coup de bec, il me "mordit' le doigt. je le retira vite fait, mais la plaie saignait déjà. Vraiment en colère contre lui, je fis un grand geste sans le toucher pour l'intimer à partir, en criant :

-KIIRO ! ENVOLE TOI ET NE REVIENS PAS !!!

En gros, ça voulait presque dire que je le reniais comme mon âme. Le phénix s'arrêta quelques secondes avant de s'envoler. Je vis Yuuhi le suivre. J'espérais qu'elle le calme, tandis que j'hésitais entre être triste ou en colère. Pourquoi ? POurquoi ne pouvais-je pas avoir une famille unie ? J'entendis Zorro arriver. Mes cris avaient du l'alerter. Pendant un instant, je ne savais pas vraiment quoi faire, à part une chose. Retrouver mon refuge préféré. Sans rien dire, j'allais nicher ma tête dans le cou de mon amour, et me serrer contre lui. Regret incompréhensible. POurquoi ? J'avais fait du mal à Kiiro, mais je n'avais pas eu le choix. Malgré mes efforts, je crois que quelques larmes avaient coulés. Mais aussi vite parties qu'arrivées. IL m'avait consolé. Je restais là un long moment, sans rien faire d'autre que de savourer cet instant que je chérissais si fort. J'étais bien là, même mieux que n'importe quel mot plus fort que bien. Kiiro ne pouvait-il pas comprendre ça ? Je le chassai de mon esprit pour ne penser qu'à mon Zorro. Il comptait plus que tout. Je décollai enfin ma tête de son cou pour lui sourire. Heureusement qu'il était là. Je lui fis un petit clin d'oeil avant de l'embrasser, ne prenant tout mon temps. Chopper nous avait interrompu et j'avais bien l'intention de récupérer le temps perdu. Il n'était pas dans la pièce, autant en profiter.
C'est après que je mis fin au baiser que je remarquais que mon doigt saignait toujours. Il m'avait vraiment fait mal, cet oiseau. j'allais commencer à nettoyer la plaie lorsque mon amour prit mon index afin de me guérir. Il m'avait tellement surpris que j'avais rougi un peu avant de sourire. j'ouvris un placard juste au dessus de ma tête pour y trouver un petit pansement. Ce fut Zorro qui le metta. Je luis fis une mine boudeuse avant de sourire.

-Et mon bisou magique ?

Et sur ces mots, je l'embrassai une deuxième fois. Ben quoi ? J'ai pas le droit de l'aimer plus que tout au monde ? Rien ne m'inerdisait. A la fin du baiser, je repris ma place habituelle, celle au creu de son cou. Personne ne pouvait savoir à quel point j'étais bien là. IL y avait d'abord sa douce odeur, puis sa chaleur. C'était doux aussi, et encore, c'était peu dire. Je déposai de multiples baisers sur sa nuque. Oui, je comptais bien profiter des moments importuns. Puisque CHopper n'aimait pas nou svoir faire ça. Et puis, il était là juste pour moi. Je ne sais pas combien de temps dura tout ça, mais c'était du pur bonheur. Nous ressortimes de la cuisine, main dans la main, avec chacun un grand sourire. J'aurais ben voulu m'y attarder un peu plus, mais le petit renne allait se demander quand il aurait le droit de nous voir. Qu'est ce qqu'on pourrait bien faire tous ensemble ? J'eus une idée :

-Dites, ça vous dit de sortir un peu ? En ce moment, c'est la bonne saison pour les Akaji, on pourrait aller en cueillir ! Je vous assure que je suis pro en dessert à base de ce fruit. Ca vous dit ?

Ls Akaji étaient des fruits rouges éclatant qu'on trouvait surtout dans la forêt elfique, lors des équinoxes et des soltices ! Un fruit peu commun mais que j'aimais beauocup. Et puis, il était sucré, si bien que je pouvais confectionner des confiseries avec. Pour le petit Chopper, ainsi que ma spécialité pour mon Zorro-chou.

A peine Zorro avait-il passait le téléphone à Sanji, que le capitaine re - cria qu'il avait faim... Quel imbécile celui la ! Il s'était toujours pas fait greffer de cerveau ! Ca lui aurait bien servi, pour tant ! Bien qu'il est une volonté de fer, il n'en était pas moins complétement idiot et d'ailleurs il n'avait pas vraiment changé ! Sanji ne répliqua pas comme d'habitude car d'habitude il gueulait sur Luffy et il lui envoyait un coup d'pied au fesses et il se retrouvait dehors mais en même temps, un coup de pied à travers un téléphone ce n'était pas bien possible...

-C'ets bon, je t'ai entendu ! Ben, t'attendra que ça soit prêt, mon vieux ! Nan mais dès qu'on se reverra, je te ferais gouter à de nouvelles recettes dont tu me diras de te snouvelles !

Mmh, Luffy avait apparament hate d'y être.

-OHoh ! ouais !!! Eh Nami, non ! C'est mon téléphon e!

Tiens, la sorciére voulait le téléphone ? Ho non, pas elle... Sanji avait beau l'adorer (Du moins avant) Zorro la détestait ! C'était vraiment une sorciére des mers et il avait beaucoup de dettes à regler avec elle !

-Passe ça ! Ah voilà ! Sanji-kun, dis moi, vous êtes où exactement ? Est-ce que tu sais ?

-Ah Nami-san ! Eh bien, nous sommes... disons, à une connection avec l'île des hommes-poissons. En fait, pour faire simple, nous sommes dans un pays en guerre entre espèces et les Sirènes sont neutres. C'est là que j'ai trouvé CHopper, et je pense que c'est là que tout se rejoint. Hors, comme il faut passer sous l'eau un bon moment, ça risque de prendre du temps pour revenir.

-Je vois... Pas la peine de venir vous rejoindre alors... en tout cas, c'est gentil d'avoir appelé.

-De rien, je m'inquiétais aussi... Enfin, nous nous inquiétons...

-Merci.

Mouais, Zorro ne s'inquiétait pas vraiment du sort de cette sorciére, le reste de l'équipage si... Ouais, il ,n'aimait pas du tout Nami en fin... Elle restait une de ses Nakamas, donc bon... Elle avait raccroché, en effet elle avait une voix un peu anormal à l'habitude comme ci... Hum, peut importe ce n'était pas les affaires de Zorro et il s'en fichait un peu ! Mais cela fit sourire Sanji et il rangea le Canarophone doré. Mouais... Zorro rêvassait un peu maintenant, il pensait à des choses et d'autres et il ne vit même pas son blondinet d'amour partir. Mais un cri attira son attention et il se leva pour aller voir. Sanji avait l'air furieux et le Phoénix qui avait "attaqué" Zorro parti accompagné d'un autre oiseau. Le manieur de sabre regarda la scéne un peu perdu (De toute facon il était tout l'temps perdu alors...) Sanji n'avait plus vraiment l'air furieux, en faite il avait l'air furieux mais un peu triste aussi, un mélange des deux, mais la réaction de Sanji était prévisible car quand il semblait un peu triste il se réfugier dans le cou du bretteur. Ca ne le dérangeait pas, bien au contraire ! Il aimait beaucoup sentir l'odeur de Sanji, et aussi le sentir prés de lui ! Zorro mit le nez dans les beaux cheuveux d'or de Sanji tout en respirant son odeur de tabac et de sel de mer... Hmmm... Qu'il était bien la ! Encore une fois, il aurait voulu y passait l'éterniter, mais le blond se retira et il fit un clin d'oeil au vert. Celui ci ne comprit d'abord pas trés bien mais sans prévenir son blondinet l'embrassa... Et cela dura un moment. Mais encore une fois ca ne gênait pas Zorro, ca lui plaisait ! C'est vrai que le petit renne les avait interrompu donc autant en profiter tant qu'il n'était pas la ! Le beau blond mit fin au baiser mais tout de suite aprés, l'escrimeur remarqua la blessure du jeune coq. Certes ce n'était pas une grande blessure, mais Zorro compté (?) bien guérir ce doigt ! Il prit l'index de Sanji et il mit soigneusement un pansement à la blessure, le coq fit une moue "boudeuse" et il dit.
-Et mon bisou magique ?
Zorro n'eut rien le temps de dire car tout de suite aprés sa phrase, Sanji l'embrassa. Que de passion, dans ce couple ! (xD j'ai vraiment un humour pourri ) Le blond se nicha dans la nuque du bretteur et il y déposa de nombreux baisers, Zorro frissona un peu gêné, puis il ne dit plus rien mais il caressait la cheuveulure doré de son "Love Cook" comme il l'appelait avant. Vraiment c'était agréable et Zorro aurait voulu y rester toute l'étérnitée... Mais impossible, cela faisait un petit moment déja que Chopper les attendait ! Sanji reprit la main de Zorro puis ils se dirigérent vers la cuisine ou Chopper les attendaient. Sanji lanca.
-Dites, ça vous dit de sortir un peu ? En ce moment, c'est la bonne saison pour les Akaji, on pourrait aller en cueillir ! Je vous assure que je suis pro en dessert à base de ce fruit. Ca vous dit ?

Bonne idée ! Non seulement Zorro adorait les plats de Sanji mais en plus il feronts quelque chose en "famille" et au moins ca les amuserait.

[J'adore ton humour xD ! Nan, sinon, si mes rps te gènent, dis le... J'ai l'impression des fois de faire trop de choses et ainsi bouger tes persos alors que je ne devrais pas... Je peux toujours changer...]

Comme je sentais que tout le monde était partant, je récupérais deux paniers dans un placard. Je donnai le plus petit à Chopper et garda l'autre avant de les guider dans la forêt. Je connaissais un coin où les Akajis poussaient très souvent. Je trouvais assez vite des petits arbustes qui ployaient sous le poids des fruits bien rouges. J'en pris un pour voir s'sil étaient murs. Bien à point, bien rond et bien sucré, ils étaient idéals. Avec ça, j'allais pouvoir faire pas mal de plats. Enfin, surtout des dessert en l'occurence. Je regardais un moment le ciel. Le temps avait l'air de rester stable mais je voyai de gros nuages noirs se masser vers l'Est. Je n'avais pas les connaissances de Nami mais je pouvais déjà deviner qu'un orage se préparait pour cette nuit. Le vent soufflait déjà un peu plus fort. Bien sur, cela m'inquiétait légèrement mais je n'allais pas gâcher ce moment pour la météo.
Nous cherchâmes toujours les meilleurs fruits. J'invitai CHopper à corquer dans l'un des fruits qu'il avait cueilli. Je savais que ça allait lui plaire. C'était sucré comme il aimait. J'en donnai un à Zorro pour qu'il fasse de même. Je ne sais pas ce qu'il préférait vraiment, mais il ne pouvait pas vraiment résister à une sucrerie que je lui offrais. Puis, j'en mangeai un moi aussi. C'était un peu mon péché-mignon, le fruit que j'adorais. Mais il était trop rare pour que je puisse en profiter souvent. Tous ensembles, nous nous baladâmes une bonne partie de la journée. J'avais retrouvé l'ambiance de l'équipage, celle bon enfant où il n'y avait que sourire et bonheur. C'était agréable, pour sur. Et puis, voir la petite peluche courir partout, tout content, alors que Zorro et moi marchions main dans la main en le regardant, ça donnait vraiment l'impression d'une famille. Mais nous en étions une, au fond. Une vraie famille unie. Une fois nos paniers remplis à ras-bord, nous nous dirigeâmes vers la cabane afin de rentrer. j'avais pleins de plats à préparer si bien qu'une fois rentré, je me mis au travail.

-Et interdiction de rentrer dans la cuisine ! Je tiens à vous faire la surprise de ce que je vais vous faire !

Sur ces mots, je m'attelai au travail. Tout d'abord, je fabriquais des confiseries pour Chopper, mais il faudra attendre demain avant de pouvoir les déguster. Je réservais mon temps alors à préparer une nouveauté que je concevais depuis un moment. Tout d'abord, je lançai la cuisson de la confiture d'Akajis, délicieuse par ailleurs. Comme ça durait plusieurs heures, je préparais des biscuits, pour ma spécialité, et un crumble d'Akajis au chocolat. C'était un vrai plaisir à cuisiner. Une fois fait, je fis une tarte en plus, puis je déposais les quelques fruits qui restaient sur la table de l'autre côté pour mes amis, au cas où ils auraient faim. Ensuite, il me fallait préparer du chocolat et de la crème fouetté. Avec les biscuits, je construis une ossature pour que la nourriture devienne une sculpture. C'était là, ma spécialité. Je n'avais jamais vraiment eu l'occasion de la montrer, vu que c'était long, mais j'aimais beaucoup fair ece genre de choses. Une fois la confiture prête, je la fis couler sur les biscuits et mis le reste dans des bocaux pour plus tard. Il ne restait qu'à placer la crème fouetté, le chocolat et quelques feuilles de menthes. Le résultat était bien pour une première. Je sortis de mon antre avec le crumble et la tarte en appelant mes amis.

-Y'a quelque chose pour chacun de vous deux. POur toi Chopper, ça sera prêt demain, mais je peux te dire ce que c'est : un assortiment de sucreries d'Akajis. Vu que tu adores ça, je t'en ai préparé pleins ! Et pour toi Zorro-chou, je vais la chercher. c'est une première, mais ça reste quelque chose que je sais admirablement bien faire. Il lui manque juste un nom...

Je partis chercher le plat pour revenir avec... un renard. Oui, c'était un renard fait en biscuit, auquels j'avais mis de la confiture pour faire la fourrure rousse de l'animal. Le blanc des pattes et du bout de la queue était avec de la crème fouetté et j'avais ajouté à côté trois sabres en chocolat, bien sur je les avais coloré pour qu'ils soient comme les katanas de mon bretteur. POur finir, j'avais fait un bandeau vert autour du cou de la créature sucrée avec quelques feuilles de menthes. POurquoi pour Zorro ? Parce que son nom voulait tout simplement dire renard. Je lui dis de le manger maintenant, car la confiture était encore tiède et c'était à ce moment précis où elle était la meilleure. Je regardais mes amis manger avec appétit en souriant. J'avais bien réussi mon coup. Je pris moi aussi ma part, car avec tout ça, j'avais faim. D'un moment, j'hésitais à donner à mon amour ce que je lui préparais, un cadeau, mais j'attendais un meilleur moment encore. Comme il l'avait fait. J'avais déjà fort à faire avec le moment présent, il faut dire. Une fois que tout le monde fut rassasié, je débarassai sla table et rangeait un peu la cuisine. Dans mon excitation, tout avait été laissé en bazar. Mais c'était assez souvent comme ça lorsque je m'attaquais à cuisiner quelque chose que j'adorais ou alors un nouveau plat. Une fois fait, j'étais exténué, si bien que j'allais assez vite me coucher. Cette fois, je pris le temps de me changer avant de m'installer dans le lit en attendant Zorro. J'avais toujours mon livre bizarre, mais cette fois, j'avais opté pour un autre tome de nos aventure. C'était Skypia cette fois, l'île céleste. J'avais vraiment la classe lorsque j'avais sauvé Pipo et Nami de la foudre. Je me souvins rapidement des faits. Un bon souvenir, mystérieux, spécial, presque irréaliste. Pourtant, je gardais bien en mémoire le paysage de nuages que nous avions vu. Une aventure époustouflante. Je vis Ai-san me rejoindre. Moi j'avais sommeil, si bien que je posais mon livre pour m'endormir contre lui.

Je me réveilla en sursaut en pleine nuit par un coup de tonnerre. Je regardais par la fenêtre pour voir les éléments se déchaîner. C'est vrai, j'avais oublié. Maintenant, je n'allais plus pouvoir me rendormir, c'était sur. Par temps d'orage, lorsqu'on vivait dans la forêt, que ce soit chez les elfes ou les loups, quelqu'un devait toujours veiller pour vérifier qu'un incendie ne se provoque pas, ou alors la chute d'un arbre. Je me souvins très bien que pendant ces nuits, je ne dormais pas. Je veillais sur mes camarades. Et cette nuit, ça allait être pareil. Doucement, je m'assis sur le lit. Dommage, j'étais bien moi, contre mon Zorro, à dormir paisiblement. En tout cas, il dormait comme un loir. Tant mieux, je n'avais pas envie qu'il se réveille pour faire son tour de garde, car je savais pertinement que je ne dormirais jamais tant qu'il y aura de l'orage. En attendant, je comptais la distance de la tempête par rapport à nous en fonction des éclairs. Assez proche pour être dangereux pour nous. Une longue veillée semblait m'attendre. Je sentis mon bretteur bouger un peu. Avant même que j'ai pu vraiment voir quelque chose, sa tête était déjà sur mes genoux. Sa respiration lente et régulière me confirmait bien qu'il dormait, mais quand même ! C'était trop fort ! Enfin bon, je n'allais pas le virer, loin de là. Je souris juste avant de doucement caresser ses cheveux. Il semblait presque inoffensif quand il dormait. En tout cas, lorsqu'il dormait de cette façon, bien paisiblement. De quoi pouvait-il bien rêver ? A vrai dire, quelle importance ? Je ne sais pas, mais son visage était tellement serein que je me demandais si je l'avais déjà vu prendre une expression pareille. Ma main passa caresser sa nuque et sa joue, toujours d'un geste doux et lent. Les éclairs ne me faisaient plus sursauter, je ne regardais que mon amour dormir. Je pouvais bien faire les deux en même temps, non ? D'ailleurs, la scène devait être assez curieuse. Pendant que le ciel se déchirait par le tonnerre, je restais là, avec un sourire d'imbécile heureux, à caresser tout doucement les cheveux d'Ai-san. Enfin, après tout, personne ne nous regardait et je faisais ce que je veux.
Le soleil pointait à l'horizon pour venir me chatouiller le visage lorsque l'orage prit fin. Tout ce cirque avait duré toute la nuit. je n'avais pas vraiment vu le temps passer, toujours absorbé par ma contemplation. Lui non plus n'avait pas bougé de mes genoux. C'était bien ainsi. J'attendis qu'il se réveille, les yeux un peu lourds. Le sommeil commençait à me gagner. Je dveais avoir des cernes surement. Je crois que je n'allais pas passer inaperçu auprès de lui. Il ouvrit les yeux lorsque le soleil était déjà haut dans le ciel. Je lui souris doucement tandis qu'il s'assit en s'étirant. Là, je n'en pouvais plus. Je tombais sur le lit pour m'endormir. A ce stade, plus personne ne pouvait me réveiller. Non, plus personne.

Ils se mirent en route pour ceuillirs des "Akajis", mais avant cela Sanji avait donné des paniers à Chopper et à lui et Zorro. Le trajet se fut en silence mais ca ne fut pas désagréable. Ils arrivérent dans le lieu, ce lieu était grand et sauvage, avec des arbres un peu biscornu mais leurs feuillage était dense ce qui masquait un peu leurs branches, le parterre était plein de différantes plantes et fleurs, l'herbe était également haute et bien verte. Les fruits étaient au sol, il était rouge vif et ca allait bien avec le vert vif de l'herbe ! Mais bon... Zorro commenca à ramasser les fruits qui semblait trés bon et rempli le panier petit à petit avec l'aide de Sanji. Chopper en mangea quelques un, Zorro aussi, c'était vraiment bon ! Bientot, les deux paniers furent remplis à ras bord et il y en avait suffisament selon Sanji, alors il rentrérent. Dailleurs les nuages qui étaient la tout à l'heure se noircirent un peu ce qui donnait au ciel une lueur sombre et inquiétante. Alors que Zorro s'apprêtait à suivre Sanji dans la cuisine pour l'aidait, Sanji dit.

-Et interdiction de rentrer dans la cuisine ! Je tiens à vous faire la surprise de ce que je vais vous faire !

Ho... Dommage, Zorro aurait bien voulu l'aider ! Il soupira et s'en alla de la cuisine pour s'asseoir sur le lit dans leurs chambre. Il regardait Chopper qui semblait s'ennuyer sur son lit, dans sa chambre. Zorro le rejoint et le regarda puis il demanda.

-Alors, hum, ca te plait ici ? Bien sur, on y restera pas toute l'étérnitée mais on y resta un petit bout de temps quand même...

La petite peluche tourna lentement la tête vers l'homme aux cheuveux vert, il se demandait pourquoi lui lui demandait ca.

-Euh... Bah, à vrai dire, euh oui !

Zorro hocha la tête toujours en attendant son Love Cook, comme il l'appelait avant. Il devait bien s'amuser dérriére les fourneaux, il était certainement entrain de concocter un truc d'enfer, Chopper et Zorro se léchérent les babines en pensant à ca. Ca allait être délicieux comme d'habitude ! Enfin, le blond les appella, Zorro courut accompagné de Chopper et ce qui les attendaits était merveilleux, déja... C'était une tarte et un crumble. C'était simple, certes, mais délicieux !

-Y'a quelque chose pour chacun de vous deux. POur toi Chopper, ça sera prêt demain, mais je peux te dire ce que c'est : un assortiment de sucreries d'Akajis. Vu que tu adores ça, je t'en ai préparé pleins ! Et pour toi Zorro-chou, je vais la chercher. c'est une première, mais ça reste quelque chose que je sais admirablement bien faire. Il lui manque juste un nom...

Chopper bavait avec les yeux en étoiles et Zorro aussi, bavait. Sanji s'eclipsa un instant et il revint avec sur un plateau, un magnifique renard fait de biscuits ! Zorro faillit tombé par terre et la salive de Chopper atteignait le sol, ainsi que sa machoire. Magnifique ! Il allait se régaler ! Le renard avait une fourrure en confiture, un bout de queue en créme fouétté, ainsi que les pattes, et trois sabres en chocolat teintée de la vrai couleur des sabres de Zorro, et n'oubliant pas, il y avait un bandana vert qui pendait à son cou. Vraiment... Zorro marmonna, ébahit.

-Tu... Aurait jamais du faire ca... !

Mais Sanji lui dit de manger et l'escrimeur n'insista pas, accompagné de Chopper, ils finirent le gateau en trés peu de temps, car il faut dire, il était vraiment ! Mais alors vraiment délicieux ! Mais le bretteur en avait bien sur gardait une part, pour Sanji. Une fois rassasié, son blondinet fit la vaisselle et rangea sa cuisine, Zorro aurait bien voulu l'aider, mais son ventre était plein à craquer et il avait besoin de se reposé un peu, bien qu'il n'avait pas fait grand chose... Mais d'abord, Sanji alla dans la chambre et l'homme aux cheuveux vert le rejoint et s'installa dans le lit avant de sombrer dans un profond sommeil...

Rêve...

La, il y avait l'équipage, ainsi que Sanji, Zorro, Chopper qui était revenu. Il y avait un grand buffet et l'alcool coulait à flot. Bien qu'il n'y est pas vraiment beaucoup de personnes, ce fut un grand banquet, et tout était vraiment délicieux, mais c'était acheté alors ce n'était pas aussi délicieux que la cuisine de Sanji (Oui je radote x) ) Tout le monde avait oublié ses soucis et ils vivaient tous un grand moment de bonheur et de retrouvailles... Les féstivités durérent longtemps... Mais Zorro c'était couché avant, bien sûr, il n'avait pas assez dormi et ca lui manquait... A ce moment la, le soileil vint lui chatouiller le visage et tout doucement, il se leva.

Fin du rêve.

Zorro bailla, se demandant encore si c'était déja le matin et il s'étira et s'assit. Son ange blond était à ses côtés, mais il avait l'air fatigué car, il avait des cernes bien creusé... Il n'avait donc pas dormi de la nuit ? Le pauvre ? Soudain, Sanji tomba et il s'endormit... Zorro regarda longuement Sanji, un peu choqué et il le prit pour l'installait confortablement dans le lit. Il sortit sur la pointe des pieds de la chambre et il prépara le petit déjeuner...