Le Caprice des Dimentions [Libre à tous]

¤Flash Back¤
"Eh bien, ma petite, que veux-tu donc savoir, aujourd'hui ? demanda Shiraha.
- Grand-père, vous m'aviez parler de cette étrange espèce, qui a le don d'influancer les dimentions...comença Kitai.
- Oh, je vois. Tu veux en savoir plus sur leurs pouvoir ? repris le vieil homme.
- Non, Grand-père. Mais pourriez-vous me les décrire ?
- Eh bien, je crois que l'heure de véritée a sonnée.Eh bien, ma petite,imagine-toi un humain.
- Les Humains ? Vous parlez de ses créatures se déplaçant sur deux jambes,avec deux bras,deux jambes, une tête, deux oreilles rondes, deux yeux incapable d'utiliser la lumière de la Lune et des étoiles, un nez insencible et une bouche, avec pour la plus part des traits vulgaires et épais ?
- Oui, c'est bien cela, ma petite.
- Mais pourquoi eux ?
- Maintenant, imagine-toi un Aigle Royal blanc. Tout blanc.
- Ces majestueux oiseaux ? Oui, je les vois très bien...
- Prends ses Ailes, agrandis-les et adaptes-les sur le dos de cet Humain.
- Oui, mais ça ne me dis toujours pas comment ils sont...
- Maintenant, imagines-toi un Elfe.
- Un Elfe ? Ces êtres humanoïdes à la vision nocturne, aux oreilles pointues doté d'une formidable ouïe, aux traits fins et gracieux ?
- Oui, oui, c'est bien cela. Maintenant, ma petite. Mélanges ces deux êtres que tu as visionée.
- Ca ferait..."
La jeune fille âgée d'environ dix ans se retourna.
"Si la personne en question est une jeune fille d'environ mon âge... Cela ferais... Une jeune fille au traits fins et grâcieux. Ses yeux sont d'un bleu clair pur, et ses pupilles sont celles d'un chat. Dans son dos se dresse deux majestueuses ailes d'un blanc éclatant, immaculé. Ses oreilles sont longues et pointues. Ses bras et ses jambes, bien que fins, peuvent révelés une force prodigieuse...
- C'est bien ça, tu as tout à fait raison. Voilà à quoi ils ressemblent."
La jeune fille se retourna, tournant le dos à la glace. Ses yeux étaient écarquillés par la surprise.
"M... Mais... Grand-Père... Cette description... Serions-nous... des... Archeopse ?
- C'est ainsi, malheuresement. Il nous faut l'accepter, mais ne jamais révéler ceci au grand jour, ou notre mort est assurée."
la jeune fille ébahit ne trouva rien à dire.

----------------------------
Cela fais quatre ans, maintenant, que j'ai appris la vérité. Depuis, je m'entraîne en secret avec Grand-père Shiraha, maman Yuugiri et Papa. C'est alors que ça se produisit.

"Shiraha ! Yuugiri ! Aashi ! Kitai !Une attaque !!"

Nous courrûmes tous vers le lieux del'attaque.L'attaque ennemiefut foudroyante. Bien que sur la cinquantaine de soldats présents, vingts tombèrent, nous fûmes vainqus.


"Kitai Ken'bou... Ne l'oublie jamais, dit Shiraha, agonisant dans son sang. Tu es l'Espoir Oublié d'une Espèce Disparue..."

Il ouvrit alors un passage qui me mènerais ailleurs. Il mourut. Je cria. Maman... Papa... Grand-Père... Petit Frère... Petite Soeur... Grande Soeur... Grand Frère... Tous... Tous ! Ils sont tous morts !
Je murmuraun dèrnier adieu à ma famille disparue.
"Tous... Je vous aime. Jamais je ne vous oubierais... Adieu, défunte famille. Puisse ton repos éternel ne pas être déranger."
Le passage m'aspira. J'étais blessée. On m'attaqua alors que j'étais dans le passage. Il se déroula mal...

¤Fin du Flash Back¤

[i]"Tu es l'Espoir Oublié d'une Espèce Disparue..."[/i}

Elle étais là, sans mémoire, blessée, épuisée, plaquer au sol, sur le ventre, de Chaînes Noires à l'Aura Maléfique l'enchaînant, pleurant. Elle étais là, sur cet endroit désert, sans nul traces de vie, sans aucune chances de survie.

Tout autour d'elle se dressaient des dunes, et pourtant, bien qu'elles aient l'apparance si proche, elle sont si loingtaines... Du sable s'étant à perte de vue, et le ciel, d'un bleu sans nuage, n'arrête aucun des rayons du soleil, randant l'air caniculaire. ET vers elle, vers la jeune fille ailée, voletait un oisillon bleu, si petit qu'on se demandait à quel espèce il appartient.
Vers la jeune fille, planter dans le sol, se trouve un sabre, sur lequel est gravé le symbole de l'oublie, sur la lame et sur le manche. au sol est posé un fourrau, où un bout de cet étrange symbloe est gravé en doré. Plus loin traîne un arc, simple, mais solide. Avec lui, des flèches dans leurs 'fourrau'* traîne.




*Je sais plus comment cha s'appelle xD

Un soleil éclatant brillait dans les dunes. Il faisait peut-être une chaleur écrasante, je courrais. Kiiro volait à côté de moi. Derrière, on pouvait entendre la colère de plusieurs personnes. Conbien ? Je dirais un régiment.

A mon habitude, j'étais parti sauver encore quelques phénix de leur sort. En plus de Kiiro, mon phénix, Kyoku et Areru m'avait accompagné. ILs se tenait devant moi, avec les six oiseaux que j'avais sauvé. Maitenant, je me prenais le contre-coup. Un régiment entier de soldat Humains me poursuivait pour avoir saboté leurs cages. Y'avais de quoi paniquer mais j'étais souriant, à moitié mort de rire. Vraiment, pour eux, j'étais insaisisable. Je les entendais crier :

-C'est lui ! C'est Sanji la jambe noire ! Attrapez le !!

Mais je leur échappais, et personne ne savait exactement à quoi je ressemblais. Et puis, je courrai trop vite pour eux. Les pauvres allaient s'en prendre une grande par leur supérieur. Soudain, le cri strident de Kyoku m'interpela.

-Un problème Kyoku ?

En effet, une jeune fille ailée gisait là. J'avais un peu d'avance, donc je m'arrêtai, même pas essouflé. Une Archange ? Peut-être. En tout cas, elle n'avait pas l'air bien.

-Oh eh ! Est ce que ça va ?

Ses armes étaient éparpillées autour d'elle et elle sanglotait. Les vois Humaines se rapprochaient. Je ne pouvais pas la laisser là, sinnon elle mourrait. JE vis Kiiro, Areru et Kyoku utiliser un peu de magie pour la libérer de chaines noires. Des chaines noires ? JE ne les avais pas remarqué.

-C'est lui !!! Attrapez le !!!

-IL va payer pour tout ce qu'il a fait !!!

-Prépare toi à mourir, Sanji !!!

Je n'avais plus le temps, si je ne voulais pas périr. Je fis signe à Kyoku et Areru de continuer sans moi.

-Excusez moi, Mademoiselle, mais je vais devoir prendre des dispositions peut-être inconfortables mais qui vous sauvera la vie.

Je la pris dans mes bras et repartit en courant plus vite encore. Je voyait les multiples blessures sur son corps meurtri et je faisais de mon mieux pour éviter de la blesser. Après tout, je répondais à mon instinct chevaleresque, sensible et très présent, bien qu'inutile ne ce moment.

Après une course effrénée, je réussis à nous mettre à l'abri avec mes phénix. Tous était éssouflé.

-Ok les gars ! On fait une pause. ILs ont abandonnés leurs recherches. MAis il faut vite rentrer, sinon, ils finiront par nous trouver.

J'eus pour réponse des cris d'oiseaux. Moi, je m'occupais de la jeune fille en examinant ses blessure. Je posai ses armes, que Kiiro avait pris, à côté d'elle et essayait de la soigner comme je pouvait sans l'importuner. Les trois autres s'occupaient de leurs six congénères qu'on venait de libérer.

-Eh ben... Je ne sais pas ce qui s'est passé mais tu as été sacrément touché...

J'hésitai avant de poser une autre question. Je me tus d'abord, continuant à soigner comme je pouvais, puis je me lançai :

-As tu un nom ? Moi, c'est Sanji. On me surnomme Sanji la jambe noire, si tu en as déjà entendu parler. Dis moi, qu'est ce que tu faisais dans les Dunes trompeuses seule et blessée comme ça, si ce n'est pas trop indiscret ? Tu aurais pu mourir si je ne t'avais pas trouvé...

*Par la main des Humains, ou par la loi de la Nature... Quoiqu'il en soit, pour une fois, j'aurais vraiment servi à quelqu'un d'humanoide...*

J'étais là, je gisait au sol, bléssée de toute part. Un phénix approcha, et trancha les chaînes qui disparurent. Un elfe arriva. MAis moi, là, par terre, je pleurais, j'avais mal. Mes ailes blessées de toute part me faisaient souffrir. L'elfe s'arrêta.
-Oh eh ! Est ce que ça va ?
-C'est lui !!! Attrapez le !!!

-IL va payer pour tout ce qu'il a fait !!!

-Prépare toi à mourir, Sanji !!!
-Excusez moi, Mademoiselle, mais je vais devoir prendre des dispositions peut-être inconfortables mais qui vous sauvera la vie.
Il me prit de force, alors que je tanta vainement d'arrêter mes sanglots. Après une course effrénée, il me me posa a terre.
-Ok les gars ! On fait une pause. ILs ont abandonnés leurs recherches. MAis il faut vite rentrer, sinon, ils finiront par nous trouver.
Il eu pour réponse des cris d'oiseaux. Il entreprena de panser mes blessures.
-Eh ben... Je ne sais pas ce qui s'est passé mais tu as été sacrément touché...

-As tu un nom ? Moi, c'est Sanji. On me surnomme Sanji la jambe noire, si tu en as déjà entendu parler. Dis moi, qu'est ce que tu faisais dans les Dunes trompeuses seule et blessée comme ça, si ce n'est pas trop indiscret ? Tu aurais pu mourir si je ne t'avais pas trouvé...

J'essaya de réunir mes forces.

- Je... Je ne sais pas... Seulement une phrase... "Tu es l'Espoir
Oublié d'une Espèce disparue...

MEs mots sont confus. Mes ailes me font souffrir, et je suis perdue ici, sans rien savoir, avec ce Sanji.

JE voyai bien qu'elle n'avait plus aucune force. Elle me dit simplement :

- Je... Je ne sais pas... Seulement une phrase... "Tu es l'Espoir
Oublié d'une Espèce disparue...

Elle n'avait pas de nom ou alors elle était ..amnésique ? Oui, peut-être. SI c'était une Archange, peut-être que les batailles l'avaient emmenées ici, à motié morte. Non, je ne pouvais pas conclure une hypothèse trop vite. POur le moment, je me devais de la soigner avant de repartir.

-Hum... Bizarre... Tu as oublié, n'est ce pas ? C'est bienn dommage... Tu permet que je t'appelle Sora ? C'est en attendant que tu retrouve ton nom.

Kiiro poussa un cri strident. Je me retournai et vit un Humain voulant me trancher avec un sabre. Vif comme l'éclair, je luidonna un coup de pied dans la figure, le propulsant loin de là.

-Ah ! Ils nous ont retrouvés. On lève le camp ! Areru ! Kyoku ! Partez avec les autres ! Je m'occupe du reste.

Je me tournai ensuite vers la jeune fille blessé et la prit come tout à l'heure, en évitant de lui faire mal.

-Désolée Sora, mais il va falloir partir. Je te soignerais mieux quand on sera dans la Forêt elfique. Mais pour le moment, il va y avoir de la casse...

Un léger sourire se dessina sur mes lèvres trandis qu'un autre Humain se rua sur moi, un sabre à la main. JE l'envoyai loin de moi d'un seul coup. Alors, une ruée de soldats tombèrent sur moi. EN jouant de mes pieds, je réussis à tous les écarter. Dès qu'une ouverture se présenta, je m'échappai.

-Ne le laissez pas s'enfuir !!!

JE ne pouvais que rire. Il était bien trop tard pour m'attraper. Même avec une charge, je restais beaucoup plus rapide et ils disparurent bientôt de mon champ de vision. Je n'entendais plus que des murmures. Kyoku m'attendait avec le reste de la bande un peu plus loin et nous continuâmes à courir jusqu'à atteindre un lieu sûr, la Forêt elfique. Reconnaisant chaque arbre, je me faufilai vers celuiq ui abritait ma maison et montai en haut.

-Home sweet home ...

JE rentrai dans la cabane et déposa la jeune fille que j'avais nommé Sora sur mon lit. J'entendis les phénix ensuite monter. Très vite, Yuuhi et Aozora, les deux derniers phénix de la famille, apparurent pour aider leurs frères et soeurs. MOi, je cherchais ma réserve de plantes pour soigner Sora. POur la rassurer, je lui dis :

-On sera en sécurité ici. Même les Elfes ne savent pas où je loge. Et puis, ils seront là pour veiller sur toi, comme moi. Je peux t'assurer que ça ira...

*Depuis combien de temps j'étais parti ? Un mois ? Peut-être bien... Rien n'a changé, et demain, je dois déjà reprendre le restaurant... Je vais devoir amener Sora là-bas, si je veux garder un oeil sur elle...*

-Hum... Bizarre... Tu as oublié, n'est ce pas ? C'est bienn dommage... Tu permet que je t'appelle Sora ? C'est en attendant que tu retrouve ton nom.

Kiiro poussa un cri strident. Il se retourna et lança son pied dans la figure d'un humain. Suis-je en sécuritée ici, avec lui ?
-Ah ! Ils nous ont retrouvés. On lève le camp ! Areru ! Kyoku ! Partez avec les autres ! Je m'occupe du reste.
Il me prit de nouveau, m'netraînant encore parmit ce désert sans fin.
-Désolée Sora, mais il va falloir partir. Je te soignerais mieux quand on sera dans la Forêt elfique. Mais pour le moment, il va y avoir de la casse...
Il se tailla un pasage parmis la horde ennemi, mais lorsque quelque chose vint heurter mon aile, je ne put retenir une grimace.

-Ne le laissez pas s'enfuir !!!

Il continua, jusqu'a une forêt, dans laquel il pénétra, pour monter dans un arbre.

-Home sweet home ...

Il me posa sur son lit, et partit chercher quelque chose.

-On sera en sécurité ici. Même les Elfes ne savent pas où je loge. Et puis, ils seront là pour veiller sur toi, comme moi. Je peux t'assurer que ça ira...

Un petit oisillon bleu arriva en voletant, et se posa sur mon épaule. Il me parla. Bizarement, je comprennait ses petits cris.

- Hana ?... Mon Phénix, mon Âme ?

Bien que je comprenne ses paroles, je n'en saisissait pas vraiment le sens. La petite phénix piailla encore deux mots, avant de montrer du bec le symbole ornant le sabre.

- Kitai... Ken'bou ?

L'oisillon se nicha dans mon cou, refusant d'à nouveau me quitter. Je le laissa là, écoutant ses petits piaillemtent, aussi bien que les hurlements lointains et le chant des oiseaux de la forêt.

Un oisillon bleu arriva par la fenêtre pour atterir sur la jeune fille. Je reconnus un petit phénix. Mais que faisat-il là ? En poussant des petits cris, il parlait visiblement à Sora qui comprenait se paroles, surprises :

- Hana ?... Mon Phénix, mon Âme ? Kitai... Ken'bou ?

J'eus bien la confirmation qu'elle était amnésique, vu que ce petit oiseau en savait plus qu'elle sur son identité. IL était, ou plutôt elle, l'incarnation de son âme et elle s'appelait Hana. Sa maitresse, elle, devait s'appeler Kitai dans ce cas...

-J'ignorais que tu étais liée à un phénix. Tu as de la chance, elle est magnifique, en bleu... Donc, si je comprend bien , ton nom est Kitai ?

Le petit phénix répondit à sa place par des petits cris que je compris comme positif. Je lui souris.

-Au moins, tu as retrouvé ton nom. C'est déjà ça...

Je finis de la soigner, puis je regardai dans les réserves ce que j'avais. IL me restait pas mal d'épices et de viandes conservées. J'avais développé une technique pour garder les aliments plus longtemps, comme je partais pour de longues périodes. Je pris de la viande de cerf et plusieurs épices. Je cueillis quelques fruits de l'arbre où j'étais et posa ça sur une table un peu plus loin.

-Maintenant, repose toi. Je vais faire de quoi manger. S'il y a un problème, dis le à Yuuhi, la phénix verte. Je te les présenterais tous un peu plus tard. Pour le moment, repose toi. Tu en as beaucoup besoin.

Avec une grande dextérité, je pris un couteau et découpa la viande. A la fois attentif à mes gestes et rêveur, je fis le repas. Lorsque j'eus fni, j'apportais dans un bol la part de Kitai avec une cuillère. Je pris la mienne sur la tête et un grand plat pour les phénix. Je lui donna l'assiette :

-Allez mange ! Il faut que tu reprenne des forces. Demain, je vais devoir t'emmener avec moi, et il faut au moins que tu te sente mieux.

-J'ignorais que tu étais liée à un phénix. Tu as de la chance, elle est magnifique, en bleu... Donc, si je comprend bien , ton nom est Kitai ?

Hana répondit par l'affirmative.

-Au moins, tu as retrouvé ton nom. C'est déjà ça...

Il finit de me soigner, puis mis un morceau de viande sur la table, avant d'aller cueuillir des fruits.

-Maintenant, repose toi. Je vais faire de quoi manger. S'il y a un problème, dis le à Yuuhi, la phénix verte. Je te les présenterais tous un peu plus tard. Pour le moment, repose toi. Tu en as beaucoup besoin.

Il prépara la viande, alors que j'écoutais les piaillement d'Hana, essayant d'expliquer la complexe chose qu'est le pouvoir en ma possetion. Je ne saisis pas tout ce qu'elle dit. Sanji me tandis un bol.
-Allez mange ! Il faut que tu reprenne des forces. Demain, je vais devoir t'emmener avec moi, et il faut au moins que tu te sente mieux.

Je pris le bol, et l'examina, d'abbord méfiante, puis je mangea sous l'insistance d'Hana. Je reposa le bol, et m'adossa contre le mur, les jambes en tailleur. Mes ailes me faisaient encore mal, mais je pense en revanche pouvoir voler si besoin est. Hana revint se loger dans mon cou, alors que je resta silencieuse. Je somnola, et, sans que j'y prête vraiment attention, de mes habit en lambaux tomba un étui sognieusement astiquer, ainsi qu'un ruban blanc sur lequel est brodé un étrange symbole.



Au dessus de la Forêt Elfique, un majestueux oiseau volait, de lui se dégageait une épaisse Brume Bleue, la masquant ainsi à ses poursuivants. La phénix vola encore en rond, au dessus de l'arbre dans lequel est réfugier la jeune Archeopse étant sa prêtresse légitime. La phénix bleu continua son manège.
*Tu es là. Enfin je te trouve, Espoir Oublié... Ton rôle est beaucoup plus important que tu ne peux l'imaginer...*

Sous l'insistance de son phénix, elle prit le bol et en mangea le contenu sans rien dire. Je soupirai. Pourquoi m'être fait des illusions ? Elle ne me connaissait pas, c'était une réaction normale. Décidement, personne ne m'accordait leur confiance. Je mangeai en silence aussi et écoutait les phénix piailler de contentement. C'était bien les seuls à m'apprécier et rester avec moi. C'était ma famille. Après le repas, je repris les assiettes et fis la vaisselle.

En revenant, je vis Kitai somnoler un peu. Je me doutais qu'elle allait bientôt s'endormir. La fatigue du votage se fit aussi sentir dans mes jambes. Je dus m'assoir pour cesser le tremblement du à l'épuisement. Kiiro vola jusqu'à moi, aussi fatigué. J'attendis d'abord que Kitai s'endorme avant de m'installer par terre avec une paillasse.

-Yuuhi Peux tu veiller sur Kitai s'il te plait ? J'ai besoin de dormir...

La phénix verte accepta sa mission d'un cri strident avoir de voler à côté de la jeune fille endormie. Je remarquai alors qu'un étrange objet était tombé de ses habits en lambeaux. Un drôle de symbole y était inscrit mais je n'y preta pas attention. J'étais exténué et ce n'était pas mes affaires. J'allais encore m'attirer de sfoudres si j'y touchais. Je m'endormis donc très vite pour un sommeil de plomb.

Kiiro me réveilla avec ses petits cris. Déjà le soleil se levai. Au début, je ne voulus pas me lever avant de me souvenir que j'avais du pain sur la planche. D'abord, je cherchais des habits pour Kitai, que je déposai près d'elle, puis je préparai le déjeuner en faisant du pain. J'entendis alors Yuuhi crier pour m'avertir que la jeune fille était réveillée. J'allais la voir.

-Bien le bonjour Kitai ! J'espère que tu as passé une bonne nuit, car on a du boulot pour aujourd'hui. Je dois aller travailler à la citadelle, dans un restaurant que je tiens. Et j'aimerais garder un oeil sur toi pendant ta convalescence. Est ce que tu peux m'accompagner ?

Je la laissai quelques secondes pour lui porter du pain frais avec de la confiture que j'avais faites.

-TU n'y travailleras pas, mais je n'ai pas vraiment de te laisser seule ici, comprends tu ? Ne t'inquiète pas, tu es en sécurité avec moi... TU peux me faire confiance, tu sais...

-Bien le bonjour Kitai ! J'espère que tu as passé une bonne nuit, car on a du boulot pour aujourd'hui. Je dois aller travailler à la citadelle, dans un restaurant que je tiens. Et j'aimerais garder un oeil sur toi pendant ta convalescence. Est ce que tu peux m'accompagner ?

Je n'avais pas bien le choix. J'hocha la tête. Il posa des habits vers moi. JE les enfila rapidement.

-TU n'y travailleras pas, mais je n'ai pas vraiment de te laisser seule ici, comprends tu ? Ne t'inquiète pas, tu es en sécurité avec moi... TU peux me faire confiance, tu sais...

Je mangeat ce qu'il m'apporta.

- Tu peux lui faire confiance, Kitai...
- Si tu le dit...

Je le suivit à travers la forêt. Bientôt, un majestueux phénix bleu nous rejoignit bientôt. De son corp, sur son passage se dégageais une brume bleue.

- Aoyuugiri...
- Cinq d'entre nous t'attendent, Espoir Oublié....

La phénix portant aparament le nom d'Aoyuugiri s'envola. Moi, je suivis Sanji jusqu'à la citée des Elfes. Sur les murailles, je pouvais lire des écritures étranges. Je me demandais mentalement comment les habitant de la citée se comporteront-ils...

Kitai accepta mais le coeur n'y était pas. Je ne pus encore réprimer un soupir. Je voyai bien qu'elle ne me faisait pas totalement confiance. Après tous les soins que je lui avais portés, elle ne semblait pas m'accorder sa confiance. Tant pis, finalement, elle était comme les autres.

Une fois prêt, nous traversâmes la forêt. Un grand phénix bleu alla rendre visite à Kitai sans que je comprenne pourquoi. J'eus un pressentiment. ET si cette fille avait un rôle important auprès des phénix et de la prophétie ? Non, c'était conclure trop vite ! IL fallait attendre, et la connaitre un peu plus.

Une fois arrivé devant la porte de la citadelle, je prononça un ephrase d'une langue inconnue de toutes les autres espèces :

-Imatak on imako, ustan on ebuy, urah on anah !

On me laissa entrer avec Kitai et Kiiro, qui m'accompagnait comme toujours. L'accueil fut le même que d'habitude. Les passants ne me regardaient pas, ou me lançaient des éclairs avec leurs yeux.

-Tiens, ça faisait longtemps, Sanji !

-Je sais ! J'ai mis plus de temps que prévu ! J'vous ai manqué hein ?

On ne répondit pas à ma question. Mais je savais déjà la réponse. Un veillard continua :

-On t'a pas encore attrapé, Sanji la jambe noire ?

-Eh non ! Je suis bien trop rapide pour eux Le jour où ils m'attraperont, je serais un vieux sénile comme toi !

La réplique le fit taire aussi. Je gardais le sourire mais au fond de moi, je pleurai. Je sauvais les phénix, j'agissais pour le peuple et voilà comment on me remerciait. Tout simplement parce qu'ils étaient trop peureux pour libérer les oiseaux sacrées. J'avais honte de mon peuple quelque fois. J'arrivais enfin dans mon restaurant. Une couche de poussière recouvrait le tout.

-eh Ben... J'ai du boulot... Kitai, assis toi là-bas et repose toi pendant que je nettoie. Je pérfèrerais que tu ne sortes pas, car je pense que les Elfes ne seront pas très tendres envers toi, puisque tu es avec moi...

Je pris un balais et nettoya tout le bâtiment avec mon sourire permanent, mais il était faux. Rien n'avait changé. On me détestait autant, et je n'aurais surement pas beaucoup de clients aujourd'hui. Quel bien piètre facette de moi même ! Kiiro m'appela comme pour me réconforter.

-Oh, j'y suis habitué maintenant Kiiro... Le jour où quelqu'un d'autres que toi et tes frères m'aimera, je serais déjà vieux... et inexistant...

Sanji prononça des paroles étranges.

-Imatak on imako, ustan on ebuy, urah on anah !

On nous laissa entrer, Hana logée dans mon cou. Kiiro accompagne Sanji.
-Tiens, ça faisait longtemps, Sanji !

-Je sais ! J'ai mis plus de temps que prévu ! J'vous ai manqué hein ?
Un vieillard reprit.
-On t'a pas encore attrapé, Sanji la jambe noire ?

-Eh non ! Je suis bien trop rapide pour eux Le jour où ils m'attraperont, je serais un vieux sénile comme toi !

Au fond de lui, l'Elfe pleurait. la crauté d'un peuple. LEs mots sont si cruels...

-eh Ben... J'ai du boulot... Kitai, assis toi là-bas et repose toi pendant que je nettoie. Je pérfèrerais que tu ne sortes pas, car je pense que les Elfes ne seront pas très tendres envers toi, puisque tu es avec moi...

Il prit un balai et commença à nettoyer; Moi, j'essaya d'en dénicher un autre pour l'aider dans sa tâche. Kiiro appela Sanji par un petit cri.
-Oh, j'y suis habitué maintenant Kiiro... Le jour où quelqu'un d'autres que toi et tes frères m'aimera, je serais déjà vieux... et inexistant...
Moi, j'aida Sanji à finir, avant de déposer le balai là où je l'avais prit. Je lança un sourire à Sanji.

- Ton peuple à l'air pacifiste comme, ça, mais leurs mots sont perfides.

Le temps passait, et les clients venait. Moi, j'étais là, assise par terre, j'attendais, les yeux fermés. Certains Elfes eurent des pensées déplaisantes, je les avaient sentit, et Hana aussi. Elle lança un petit cri en direction de l'Elfe. J'avais les yeux fermés, mais je devinais son regard interrogatif. Je répondit à sa question muette.

- Elle te dit de garder tes commentaires pour toi. Elle trouve injuste le sort que vous lui réserver.

Kitai vint m'aider dans ma tâche; ce qui me fit sourire. Elle ajouta en souraint :

- Ton peuple à l'air pacifiste comme, ça, mais leurs mots sont perfides.

Ses paroles me traversèrent. Je faillis verser quelques larmes mais je les gardais pour moi. A vrai dire, personne ne m'avait témoigné un peu de compassion...

-Bah, ils sont tous au courant de mes agissements et ont peur pour eux je pense. ILs sont simplement trop couards pour agir. En tout cas, c'est ce que je pense. en plus d'avoir des ennuis avec les Humains, j'en ai avec mon propre peuple. Mais je ne regrette pas ce que je fais. Cette guerre et cette course aux phénix est juste un jeu de gamin qui est allé trop loin, mais les Elfes de veulent pas se bouger... Il n'y a que moi pour faire un peu de justicen et on me remercie comme ça depuis toujours... Au fond, on s'y habitue, mais on en pleure un peu quand même...

Après le ménage, je commençais à ouvrir et me mettre aux fourneaux. Le temps passa et le sclients virent enfin. ILs mangeaient en silence, sans joie. C'était bien triste. J'avais appris à cuisiner pour voir des sourires, des gens dévorer leur assiette, mais rien de tout ça n'était apparu dès lors. J'entendis au loin quelques insultes, mais je n'en tins pas compte. La voix de Kitai me parvint aussi :

- Elle te dit de garder tes commentaires pour toi. Elle trouve injuste le sort que vous lui réserver.

Kiiro vint la voir et essaya de lui dire de ne pas importuner la clientèle. Dans les cuisines, je souriais. Elle m'avait défendu, au moins son phénix. Quand vous n'avez jamais connu ça, c'est vraiment touchant, au point d'avoir quelques larmes qui s'écchappent. Mais elles disparurent bien vite derrière une autre parole acerbe.

La fin de journée arriva vite, du moins la pause de midi. J'avais gardé quelque chose pour Kitai que je lui donna.

-Voilà pour toi... Merci de m'avoir aidé en tout cas... Au moins, j'aurais connu quelqu'un qui m'a témoigné de la gentillesse et du respect...

*Comme le monde est inuste, comme la guerre change les gens, comme la cruauté gagne sur tout, et les plus pures sont les plus tristes...*

A la pause de midi, je rejoignis Sanji. Il me donna quelque chose.
-Voilà pour toi... Merci de m'avoir aidé en tout cas... Au moins, j'aurais connu quelqu'un qui m'a témoigné de la gentillesse et du respect...
Je lui souria.
- Ce n'est rien. Hana a raison. Si ce peuple se dit vraiment pacifiste et justicier, si il l'était vraiment, ils sauveraient aussi des phénix. AU lieu de ça, il se moquent de tes exploits. Qu'est donc devenu le monde ?
Hana cria. Elle s'envola. El se mit à tourner autour de moi. Je ne comprenais pas ce qu'il se passait. Elle sentait quelque chose. Par la porte, on voyais les Elfes courir dans tout les sens. Certains s'écroulaient, leurs vêtements rougis par le sang. En l'espaces de quelques minutes, la pagaille s'installa dans la citadelle. Je sortit. Aoyuugiri vint se placer près de moi, aucune peur dans les yeux. En face se trouvait une horde déchaînée d'humain. Des elfes, peu nombreux, éparpillés, essayaient de les arrêter au moyen de flèches. Les humains s'élancèrent vers moi.
- Tuez-la !! Elle protège le phénix !! Tuez- là !! Capturez le phénix !!
*Mais où va le monde ?* j'obéhissa à mon instainct. Je tendis les bras. Une sorte de portail noir apparu. Les humains n'eurent pas le temps de réagire, et ils se retrouvèrent dans le portail avant d'avoir eu le temps d'arrêter leurs course. Sur le sol gisait au moins une ciquantaine de cadavres, du moins, c'est ce que j'en dénombra. Le calme revint peu à peu. Voyant le regard des Elfes, j'hésitais. Devais-je partir ?

- Ce n'est rien. Hana a raison. Si ce peuple se dit vraiment pacifiste et justicier, si il l'était vraiment, ils sauveraient aussi des phénix. AU lieu de ça, il se moquent de tes exploits. Qu'est donc devenu le monde ?

Sa réponse me toucha encore une fois. Quand on vous a détesté tout au long de votre vie, un rien devient précieux. Et puis, je savais qu'elle avait raison. Le monde n'était plus ce qu'il était. Tout à coup, je ressentis de l'agitation. LE petit phénix bleu se mit à crier et sortit dehors avec Kitai. Je la suivis et la scène qui m'attendait m'horrifia. Des Elfes criaaient partout, d'autres se faisant tuer. Le criminel ? Des Humains.

-Nooon !

JE courrus aider les archers qui protégeaient de leur mieux l'afflux des ennemis. Avec mon jeu de jambes, j'arrivai à en écarter des pauvre sinnocents. ILs se tournèrent vers Kitai en criant :

- Tuez-la !! Elle protège le phénix !! Tuez- là !! Capturez le phénix !!

Je voulus les empêcher mais Kitai agissait déjà. Elle fit apparaitre un portail noir dans lequel les Humains s'engouffrèrent et soudainement, il disparut. Le danger avait disparu, mais les habitants étaient encore sous le choc. Tout me regardait, avec Kitai. Je m erapprochai d'elle, pour empêcher un nouveau combat. Je fis couler mon regard sur les cadavres. Certains étaient encore en vie.

-Kitai, suis moi. Tu vas m'aider à soigner les survivants...

Je commençai à partir quand une voix fusa :

-C'est de ta faute, tout ça Sanji ! Si tu n'avais pas été sauver tes phénix, on n'en serait pas là !

-Exact ! POurquoi as tu agi sans consentement du Guide hein ?

-Ton initiative n'a fait que des victimes !

-ET puis cette fille avec toi... Je savais qu'elle cachait quelque chose ! On ne peut pas te faire confiance, Sanji !

La colère monta quand ils évoquèrent Kitai. Là, c'en était vraiment trop. Qu'ils me choissisent en bouc émissaire, je m'y attendais. Ce n'était quand même pas ma faute si la porte de la citadelle était mal gardée. Mais qu'ils aaccusent Kitai, ça , je ne pouvait l'accepter :

-Laissee Kitai en dehors de tout ça !!! Est ce forcément de ma faute si vous êtes trop couards pour sauver les phénix ? Est ce de ma faute si des Humains rentrent dans la citadelle et tuent des innocents ? Non, je n'ai pas voulu tout ça !!! J'ai fait de mon mieux pour vous protéger et éviter ce massacre !! Et puis, ce n'est parce que je ramène une nouvelle tête qu'elle est coupable !!! Ellle vaut bien mieux que vous, au moins ! Elle vous a sauvé ! Et c'est comme ça que vous la remerciez ?

Tous se turent. Mon monologue les avait touchés. Mais j'en avais trop marre pour rester là à attendre leur réaction. Je n'en pouvais plus. Quelques larmes de colère et de tristesse coulèrent lentement sur mes joues. IL fallait que je parte, que je voyage sans jamais retourner ici :

-Viens Kitai... Nous partons... Mais avant, j'aimerais sauver les gens que je peux encore soigner...

J'allai chercher ma trousse de secours et commençai à soigner les plus proches de la mort.

-Si c'est comme ça que tu penses te racheter...

-Je ne pense pas me racheter, mais simplement aider les miens. Si tu es trop idiot pour comprendre que je suis comme vous et que je souffre aussi de cette attaque, tant pis. TU resteras un andouille dans l'erreur toute ta vie.

Les larmes coulèrent pour de bon, sans que je cherche à les arrêter. Je sanglotais en silence. Pourquoi étais je obligé de revenir à la citadelle ? Pourquoi continuer à revenir dans cet endroit où on ne cherche qu'à me rabaisser sans cesse ? Pourquoi, après tout le mal que je me donnais, il y avait toujours quelque chose à redire ? Pourquoi personne ne m'aimait bon sang ???

Pendant que je soignais les miens, quelque chose me fit sortir de mon était de torpeur. Il y avait un humain. Pas n'importe lequel. Il m'interpella, car je le reconnaissais. Au début, je n'y croyais pas. Puis, je n'avais pas d'autre issue. Je savais qu'au fond de moi, c'était lui. Chaque personne était unique dans ce monde, celui ci en particulier. Je me rapprocha de lui. Aucun doute, c'était bien celui que je connaissais.

-Qu'est ce qu'il fout là lui...

IL était blessé lui aussi et je lui appliquai les premiers soins, sachant qu'il survivrait de toute façon. Surtout, je m'étonnais de le voir ici. A vrai dire, je ne pensais pas le revoir un jour. D'un côté, je ne voulais plus le voir, d'un autre, il me manquait vraiment.

-Toujours à perdre autant de sang, Marimo... Tu m'avais manqué, tête de cactus...

Kitai, suis moi. Tu vas m'aider à soigner les survivants...
Il commença à partir quand une voix fusa.
-C'est de ta faute, tout ça Sanji ! Si tu n'avais pas été sauver tes phénix, on n'en serait pas là !

-Exact ! POurquoi as tu agi sans consentement du Guide hein ?

-Ton initiative n'a fait que des victimes !

-ET puis cette fille avec toi... Je savais qu'elle cachait quelque chose ! On ne peut pas te faire confiance, Sanji !

Ces elfes... Mon pouvoir les dérangeaient ? J'allais répliquer, d'un ton neutre, froid. Mais Sanji répondit à ma place.

-Laissee Kitai en dehors de tout ça !!! Est ce forcément de ma faute si vous êtes trop couards pour sauver les phénix ? Est ce de ma faute si des Humains rentrent dans la citadelle et tuent des innocents ? Non, je n'ai pas voulu tout ça !!! J'ai fait de mon mieux pour vous protéger et éviter ce massacre !! Et puis, ce n'est parce que je ramène une nouvelle tête qu'elle est coupable !!! Ellle vaut bien mieux que vous, au moins ! Elle vous a sauvé ! Et c'est comme ça que vous la remerciez ?


Il voulais partir. Je le sentais. Il était triste, et en colère en même temps... Je resta silancieuse.

-Viens Kitai... Nous partons... Mais avant, j'aimerais sauver les gens que je peux encore soigner...
Il commença à soigner les blessés..

-Si c'est comme ça que tu penses te racheter...

-Je ne pense pas me racheter, mais simplement aider les miens. Si tu es trop idiot pour comprendre que je suis comme vous et que je souffre aussi de cette attaque, tant pis. TU resteras un andouille dans l'erreur toute ta vie.

Les larmes coulaient sur ses joues. je vit alors un humain, cheveux et yeux verts, au sol, blessé. Sanji le vit aussi, à paramment. Je plongea mes pupilles animales dans ses yeux.

-Qu'est ce qu'il fout là lui...
Il commença à le soigner.


-Toujours à perdre autant de sang, Marimo... Tu m'avais manqué, tête de cactus...

------------

Je m'envola de vers Kitai, et rejoignit l'humain et l'elfe. JE repoussa la main de l'elfe, et commença à verser des larmes sur les blessures de l'humain, qui, se refèrmèrent une à une. Oui, j'avais aussi cette propriétée. MEs larmes guérissent n'importe quelle blessure physique. JE me dirigea d'abbord vers les Elfes le plus en danger, soignant ainsi les blessures une par une. Je m'envola alors, laissant les moins gravement blessés au soin de leurs peuple. Le vola en cercle un momant autour de ma prêtresse, de l'elfe et de l'humain, incitant Kitai à attrapper l'humain et Sanji. Elle le fit. Elle me comprit. La burme bleu se dégageant de mon corp augmentait, pour le momant, les facultées de Kitai dans le domaine de l'air. Je l'aida à porter son fardeau, et sortit avec elle, inondant la forêt d'une brume bleue, nous masquant à l'ennemi. JE me posa, sur la plate fome de la maison de l'Elfe -Sanji- et laissa l* l'Archeopse. Je m'envola plus loin, gardant un oeil sur la jeune fille amnésique.

Zorro fermait les yeux,le corp tout endolorie quand soudain il sentit quelque chose...Quelqun le soignait...Puis il entendit une voix familiére aux début il ne la reconnu presque pas...Mais ensuite il ouvrit les yeux et se leva en un bond. Il regarda longtemp le piaf bleu et il regarda le mec blond il était sonné complétement hum...Perdu !! Il regarda longuement le mec blond et s"écriat en colére.

-Mais...MAIS QUEC'TU FOUS LA TOI ?!!...TEST PAS SENCE ETRE LA...

Puis il se regarda...Pas une egratinure il fit des grand yeux rond et regarda le piaf puis sanji...ALors c'est ca qu'il avait sentit,il était en même temp en colére et heureux IL ALLAIT ETRIPER SANJII mais en même temp il avait pas envie,il fit un petit sourire et enleva son bandana.Puis il regarda la drole de fille avec des ailes bleue il se demandait si il avait pas trop bu...Il soupira et cria.

-NOP C'EST TOI LA FRITE BLONDE ><.

D'abord, le phénix bleu qui surveillait Kitai s'approcha de Zorro que j'étais en train de soigner et versa quelques larmes sur ses blessures. Je n'en crus pas mes yeux. LEs plaies disparaissaient à vue d'oeil ! J'avais appris que cette capacité était propre aux phénix mais jamais ma famille n'avait su faire ça ! Au moins, j'étais sur que le cactus vert était sauvé.

La suite m'impressionna encore plus. D'un seul coup, je n'étais plus dans la citadelle mais devant chez moi. Je regardai Kitai, qui était l'oeuvre de ce miracle, j'allais la féliciter quan dune voix trop familière me coupa :

-Mais...MAIS QUEC'TU FOUS LA TOI ?!!...T'ES PAS SENCE ETRE LA...NOP C'EST TOI LA FRITE BLONDE ><.

JE reconnus une des insultes préférés de mon rival préféré, Zorro le chasseur de pirate ! Déjà, ça commençait fort les retrouvailles. JE ne savais pas depuis combien de temps j'étais épargné de ses insultes mais ça me manquait à vrai dire. D'un ton aussi cinglant, je lui dis :

-Je te signale que je suis chez moi ici, donc j'ai le droit d'être ici, Tête de cactus vert ! Et puis si t'es pas content, je t'en prie, saute de l'arbre et écrase toi en bas !

L'afflux de souvenirs me coupa. Combien de temps s'était il passé depuis ce jour ? Ah, je ne savais pas... Je n'avais pas eu le choix, contraint d'abandonner tout pour une vie médiocre. Mais lorsqu'on a la vie de ses amis dans ses mains, le choix est vite fait. Mais, j'étais encore prisonnier, ou juste poursuivi par plusieurs peuples. La grande frite à la jambe noire, tel est mon surnom par Zorro.

-En tout cas, t'es toujours aussi doué pour faire tes accueils toi ! Hum.. ça fait trois cents ans qu'on s'est pas vus, et je suis sensé ne plus exister ? C'est sympa... enfin bon, tu m'as manqué aussi Marimo...

Un ami est un ami. Tout l'équipage m'avait manqué. Si j'ai du partir, c'est pour les sauver, et non les quitter. J'avais tout laissé pour eux. JE n'avais pas touché à une cigarette depuis ce jour, ni repris la mer et encore moi penser à atteindre All Blue. Non, pour les sauver, j'ai laissé mes rêves pour plus tard, quand je les aurais retrouvé. Et voilà qu'il y en a un qui arrive juste lorsque la routine change un peu. Hasard Bizarre...

J'étais là, j'observais. J'étais dans mes pensées. L'humain m'en tira.

-Mais...MAIS QUEC'TU FOUS LA TOI ?!!...T'ES PAS SENCE ETRE LA...NOP C'EST TOI LA FRITE BLONDE ><

Je n'entendis pas la réponse de Sanji. En tout cas, je me demandais si ils étaient amis ou ennemis. Je perçu tout de même un bout de la réponse.

- "...saute de l'arbre et écrase toi par terre !"...
- Ah non ! Si je vous ai transporter ici en vol tout les deux, c'est par pour que l'un de vous se suicide ! Vous êtes vachement lourd mine de rien* !

J'agita mes ailes -redevenues blanches- nerveusement, et douleureusement.

- J'ai encore mal aux ailes, déja à cause de mes blessures, mais aussi à cause de ce vol forcer !! Je vous préviens, je ne recommense pas !!

Je vit des sabres qui dépassaient dans le dos de l'humain. Mon instainct joueur prit le dessus, je les tira [les trois xD] et prit mon envol, riante.

Je virvolta un momant entre les arbres, prenant appuie de mes pieds nus sur les branches des arbres, baattan des ailes pour gagner de la vitesse. Bientôt, je m'arrêta, appuyer sur les plus hautes branches d'un arbres surplombant une clairière.
[désow', j'ai un peu improvisé vu que mon ordi m'as eappé mon Rp TwT]
* SOus entendu

Il soupira et regarda la jeune fille en grognant. Puis le piaf piqua ses sabres. Alors il criat hyper encolére.

-REND MOI SES SABRES ! STUPIDE PIAAAF !

Il courut vers le phoénix et sauta sur la branche ou il était,il reprit ses sabres et les remits a leur place...Raah ! Fallait toujours que quelqun lui pique ses sabres...Puis il regarda le grand dadet blond.

-Je suis pas fou...Je vais quand même pas m'amuser a me suicider --' !

Il tapa du pied et croisa les bras énérver.

-Je n'ai pas dit que tu n'existait plus...M'enfin...Et aufaite POURQUOI AS TU QUITTER LEQUIPAGE ?!

A ses mots la il soupira une nouvelle fois,bouillant de colére et d'amusement. Bizarre n'esce pas ?

Kitai commença d'abord un s'énerver un peu. Peut-être n'avait-elle pas compris et reçu l'ironie de mes propos.

- Ah non ! Si je vous ai transporter ici en vol tout les deux, c'est par pour que l'un de vous se suicide ! Vous êtes vachement lourd mine de rien* ! J'ai encore mal aux ailes, déja à cause de mes blessures, mais aussi à cause de ce vol forcer !! Je vous préviens, je ne recommense pas !!

Puis, subtilement, elle réussit à choper les trois sabres de Zorro et s'envola avec. IL réagit au quart de tour.

-REND MOI CES SABRES ! STUPIDE PIAAAF !

Je fus pris d'un fou rire en voyant le sabreur courir après ses foutus épées, comme quoi il y tenait plus qu'à sa vie. Quand il les avait enfin récupéré, je me calmai et fit un clinc d'oeil discret à Kitai, comme pour la féciliter d'une telle initiative. IL n'avait pas changé, l'autre. En réponse à ma réplique, il me répondit, mais finit par la question qu eje redoutais tant :

-Je suis pas fou...Je vais quand même pas m'amuser a me suicider ! Je n'ai pas dit que tu n'existait plus...M'enfin...Et au fait POURQUOI AS TU QUITTE L'EQUIPAGE ?!

Celle là, je m'y attendais. J'avais brusquement quitté l'équipage sans dire au revoir. Je n'avais pa strop le choix à l'époque. C'était ça ou la vie de mes amis. Je ne voyais pas d'autres solutions que de me sacrifier moi même. Bien sur, j'imaginais qu'ils auraient être choqué, alors que tous savait que j'aimais ma vie comme elle était,, avec eux.

-Pourquoi j'ai quitté l'équipage ? Il n'y a pas 36 solutions, tu sais. Je ne vous aurais pas quitté comme ça si j'avais eu le choix. Si je suis parti, c'est pour vous sauver la vie, au péril de la mienne. Si j'avais pu rester...

Lorsque je vis son regard étonné, je savais qu'il allait vouloir quelques précisions. Je continua, me remémorant ce passage de ma vie.

-C'était il y a un petit moment... TU sais, on avait eu pas mal de problèmes avec la Marine encore, et on avait failli y rester d'ailleurs... C'était quand ça déjà ? Je ne sais plus... Enfin bref, c'était juste après. Vous étiez en train de roupiller gentiment, après les blessures du combat, et vous n'avez rien vu. Il n'y avait que moi de réveillé. Tu te souviens du cyborg avec le fruit papatte là ? Tu t'es sacrifié pour Luffy à ma place d'ailleurs. Eh ben, c'est un peu pareil, sauf que je me retrouvais avec vous tous à protéger. J'ai failli y rester, vu comment ils vous a attaqué. J'ai du prendre tous les coups. J'ai fait toutes les négociations possibles pour que seul moi et ma future famille, si j'en ai une, soit impliqué. Il m'a donc emmené. J'ai eu le droit de vous écrire de partir immédiatement sans moi, que je vous quittais. Ensuite, j'ai réussi ) m'enfuir de leur prison mais je ne pouvais pas vous rejoindre maintenant, vu que j'avais un peu la Justice après moi. J'ai donc disparu pour vous sauver. C'est à peu près ça, si je fais la version courte...

JE fis une pause dans mon récit, et finit mon monologue :

-Dès que je vous ai quitté, j'ai mis de côté mes rêves, All-Blue, le tabac et une partie de moi même. J'ai tout laissé de côté pour les reprendre avec vous. J'ai jamais voulu vous abandonner, et j'ai décidé que je poursuivrais ma vraie vie lorsque je reprendrais la mer avec vous, voilà tout... Et ça fait un bail que je ne suis plus l'ombre de moi même...

Je pris mon paquet de cigarette dans la poche. Je l'avais toujours sur moi, même si je n'en fumais pas. J'en pris une et l'alluma. Depuis combien de temps je n'avais pas fumais ? Trop longtemps... Quelques larmes coulèrent, de joie, et disparurent bien vite...

-Je ne me souvenais même plus quel gout le tabac avait... Ni à quel point ça m'avait manqué...

Mais ce n'était pas le tabac qui m'avait manqué le plus. C'était mes amis, donc le cactus vert qui se trouvait en face de moi...

[Que répondre ? XD]

L'humain réagit au quart de tour, ce qui m'ammusa d'aventage.

-REND MOI CES SABRES ! STUPIDE PIAAAF !

Là, par contre...

- Ehhhh ! J'suis pas un piaf, "Cactus vert !!" !!

Au bout d'un certain temps, lassée du petit jeu, [ça veut pas dire qu'elle ne recommencera pas XD] elle ralentit l'allure, permetant ainsi au bretteur de la rattrapper.

(plus tard)

Maintenant adossée au mur, j'écoutait les deux garçon discuter d'une oreille distraite.

-Je suis pas fou...Je vais quand même pas m'amuser a me suicider ! Je n'ai pas dit que tu n'existait plus...M'enfin...Et au fait POURQUOI AS TU QUITTE L'EQUIPAGE ?!

-Pourquoi j'ai quitté l'équipage ? Il n'y a pas 36 solutions, tu sais. Je ne vous aurais pas quitté comme ça si j'avais eu le choix. Si je suis parti, c'est pour vous sauver la vie, au péril de la mienne. Si j'avais pu rester...
-C'était il y a un petit moment... TU sais, on avait eu pas mal de problèmes avec la Marine encore, et on avait failli y rester d'ailleurs... C'était quand ça déjà ? Je ne sais plus... Enfin bref, c'était juste après. Vous étiez en train de roupiller gentiment, après les blessures du combat, et vous n'avez rien vu. Il n'y avait que moi de réveillé. Tu te souviens du cyborg avec le fruit papatte là ? Tu t'es sacrifié pour Luffy à ma place d'ailleurs. Eh ben, c'est un peu pareil, sauf que je me retrouvais avec vous tous à protéger. J'ai failli y rester, vu comment ils vous a attaqué. J'ai du prendre tous les coups. J'ai fait toutes les négociations possibles pour que seul moi et ma future famille, si j'en ai une, soit impliqué. Il m'a donc emmené. J'ai eu le droit de vous écrire de partir immédiatement sans moi, que je vous quittais. Ensuite, j'ai réussi ) m'enfuir de leur prison mais je ne pouvais pas vous rejoindre maintenant, vu que j'avais un peu la Justice après moi. J'ai donc disparu pour vous sauver. C'est à peu près ça, si je fais la version courte...
-Dès que je vous ai quitté, j'ai mis de côté mes rêves, All-Blue, le tabac et une partie de moi même. J'ai tout laissé de côté pour les reprendre avec vous. J'ai jamais voulu vous abandonner, et j'ai décidé que je poursuivrais ma vraie vie lorsque je reprendrais la mer avec vous, voilà tout... Et ça fait un bail que je ne suis plus l'ombre de moi même...

Il prit son paquet de cigarette et en alluma une.
-Je ne me souvenais même plus quel gout le tabac avait... Ni à quel point ça m'avait manqué...

N'apréciant pas l'odeur, je sortit. Quel idée d'avoir un odora si fin ! Du haut de la plate-forme, je perçut des bruits furtifs de pas. Je regarda en bas. Là, je vit des Elfes, armés d'arcs et de flèches. L'un d'eux tira. Encore à moitier dans la lune, je ne put esquiver la flèche. Si bien qu'elle me transpèrça l'aile. Je retint un hurlement de douleure. Inquiète, Hana vint me voir. Elle essayait de trouver un moyen de faire disparaître ma douleure -chose vaine. en bas, j'entendais des cris. De moins, c'est ce que j'aurait dit.

- Tuez-la ! Rendez la justice !! Tout ça n'est à cause que d'elle, de son phénix et de Sanji !!
- Allez-y !! Ne vous retenez pas !!

Je me sentais mal. Dans un élan déséspéré, j'arracha la flèche de mon aile, et lança une phrase à l'intention de Sanji, sans pour autant pouvoir faire un pas.

- SAnji... Une... Attaque...

Je bascula. Je réussi en revanche à attrapper le bord de la plate forme. Mais je savais que je lacherais. Je sombrais. J'allais lacher... Non... Je lachait...
Noir. Noir comme les Ténèbres. Du monde exterieur, ce dont je percevait, c'était la douleure. La douleure, et aussi Hana, inquiète. J'était "dans mon monde", autrement dit, dans mon âme, au fond de moi. Mais seul une immence vide accompagner des Ténèbres s'y trouvait...

Zoro serrait fort le poing,les larmes aux yeux et les dents serrer il tapa son poing par terre et cria aussi fort qu'il pouvait ! Il était complétement hors de lui !

-FOUTU CUISINIER ! ON AURAI PUS CE DEBROUILLER...

A ces mots il ferma les yeux et regarda le cuisinier d'un regard de démon. Quand soudain des mumures ce firent entendre.L'oreille aux aguets(je sais qu'on dit pas comme ca xD) Il ouvrit sa main et dit d'un ton macabre...

-Hum...Encore eux ?...Pas d'probléme

Il mit sa main sur ses sabres et les sortis.Il en mit un dans sa bouche et prit les deux autres avec les mains.Il accrocha son bandana et reprit ses sabres puis il toussota a cause de la fumée de la ciguarette.Zoro se battait pour ces amis...Bien qu'il soit froid et dure avec Sanji c'était un amie hors paire et en même temp un rival...

-Je t'engeulerais plus tard Sanji,la je doit regler des comptes.

Il sortit en barrant le chemin.Les hommes continuait d'avancait et il leur jeta un regard noir...Il mit ses sabres en croix et se jeta sur eux sans attendre.

Zorro eut une réaction plutôt brutale à mon histoire, presque à m'en percer les tympans :

-FOUTU CUISINIER ! ON AURAIT PUT SE DEBROUILLER...

Je savais bien quel message il voulait dire par là, mais ça me faisait mal de me crier après de la sorte alors que je les avais sauvé. Il ne les connaissait pas. D'un murmure presque inaudible, je dis :

-Pas cette fois Zorro... Pas cette fois...

Même si je savais à quel point notre équipage était fort, je connaissais leurs limites et cet assaut auarit été notre perte. Bien qu'il joue les durs, Zorro n'aurait jamais pu se battre après sa blessure du combat précédent. Non, personne n'aurait pu, tout simplement parce qu'ils étaient trop forts et en pleine forme. C'était aussi une question de moment. Je ne savais même pas si on aurait pu les battre dans nos meilleurs jours. C'est pour ça que j'ai repoussé mes rêves. Il y a longtemps que je suis prêt à mourir...

Soudain, des bruits se firent entendre au loin. Un affrontement ? Kitai apparut alors, blessée :

- SAnji... Une... Attaque...

-Hum...Encore eux ?...Pas d'probléme. Je t'engeulerais plus tard Sanji,la je doit regler des comptes.

Le sabreur prit ses trois sabres et en plança un entre ses dents avant d'aller à l'assaut tandis que je remontais Kitai à l'abri et examinait sa blessure. Je la désinfecta rapidement et la banda. Je devais retrouner me battre. C'étaiit mon peuple non ?

-Attends moi là, Kitai, j'ai quelque petites choses à faire moi aussi.

Je descendis et retomba sur une personne blessée de la main du bretteur. Visiblement, mon aide n'était pas de trop mais sans plus. Quoique je dise, il était vraiment fort. Un des assailants me reconnut et fonça vers moi. Le temps qu'il arrive, j'eux le temps de lui dire quelque chose :

-Bon, maintenant, vous arrêtez de foncer vers la mort et vous restez chez vous. Vous allez me laisser tranquille. POur la ennième fois, je n'y suis pour rien dans les attaques et surtout... ARRETEZ DE VOUS EN PRENDRE A MES AMIS !!!

Je l'expédia à plusieurs mètres d'un seul coup de pied et commença à attaquer les autres, me mettant le plus loin possible de Zorro pour ne pas le gêner. Dans une valse endiablée, je terrassais tous mes ennemis sans exception, en répétant que rien n'était de ma faute. POurtant, ils continuaient mais ils oublièrent Kitai, l'un de mes objectifs. Kiiro cria et lança un jet de flamme pour écarter la petite armée, me laissant une occasion de les éliminer par l'effet de surprise.

Une fois l'affrontement finit, je remontai en vitesse inspecter Kitai. Tout allait bien, heureusement. Mais je devais partir d'ici au plus vite. Ils ne voulaient plus de moi apparament.

-Kitai, nous allons devoir changer de domicile... Te sens tu prête pour faire un voyage ?

Ensuite, je me tournai vers Zorro.

-Et toi ? TU vas faire quoi exactement ?

-Attends moi là, Kitai, j'ai quelque petites choses à faire moi aussi.
L'elfe sortit et déscendit. Moi, j'essayais de faire en sorte de minimiser la douleur. Si bien que je ne me souciais pas de ce qu'il se passais autour de moi. Autour de moi... Seulement des Ténèbres. Hmm... Il y a quelqu'un... Qui est-ce ? Je ne sais pas. Hmmm.... On me parle...
- N'oublie jamais ton pouvoir. N'oublie jamais ce nom. L'heure est venue pour moi de refaire surface. Je suis **** ******
- Hmm ? Je n'entend pas. Que dit-tu ? Ey !!! Ne pars pas si vite !! JE ne connais même pas ton nom !! Dit-moi au moins ton nom !!
- Je suis....

Il me fit sursauter, si bien que, par instainct, je replia mes ailes autour de moi, comme pour me protéger d'un ennemi inconnu.

-Kitai, nous allons devoir changer de domicile... Te sens tu prête pour faire un voyage ?

- Ca dépent.... A pied, ça peut aller, à la limite. ...
Je n'acheva pas ma phrase, étant inutile de suggérer un vol, surtout mon aile blessé, et les deux autres ne possédant pas d'ailes.

A, voilà un grand point faible que mes ailes, à la fois si solides et si fragiles... J'ai comme l'impression qu'elles peuvent me protéger...

-Et toi ? TU vas faire quoi exactement ?
Je me tourna. Vers où ? Vers un endroit où Je sentaiS une présence à la fois si familière et si inconnue...
Bien que je ne le sache pas, c'est par là-bas que sont les terres neutres.Je commença à déplier mes ailesn lenttement, comme si j'eu crains qu'un ennemi arrive...