La chasse aux papillons [Zorro/Sanji]

Tous deux entrérent dans la demeure de la vieille dame. Il y avait beaucoup de livres sur un peu tout, mais surtout sur la médecine. Aparament elle aimait bien lire. Sanji prit la parole.

Excusez nous, madame, mais nous nous sommes perdus. Nous sommes tombés par hasard sur votre maison. Est-ce que vous connaissez un peu le coin ?

La vieille dame répondit.

-Eh bien, voilà un petit garçon bien poli.

Gna, Gna gna... C'était vraiment une vieille mamie gateaux, elle était attiré par Son Blond ou quoi ? Zoro affichait un air boudeur, ouais ca commencait déja bien pour Zoro. Que ce soit n'aporte quoi, un homme, une femme, une gamine, un gamin, une vieille ou un vieux qui disait quelques compliments ou qui était étrangement affecteux avec son blond, Zoro serait jaloux. C'était vraiment un gros jaloux. Mais alors la un énorme jaloux. Il était tellement possessifs... La grand mére les invita à s'asseoir, Zoro s'assit toujours boudeur. Puis la grand mére prit la parole.

-Bien, alors, que faites vous ici, mes petits ?

-Eh bien... Nous avons perdu quelque chose. Quelqu'un nous avait confié une petite boite noire et l'avions perdu. Du coup, nous la cherchons mais nous ne connaissons pas le coin. Il faut absolument qu'on retrouve cet objet avant de sortir d'ici, sinon, il nous tuera.

-C'est drôlement courageux de votre part. Je vous félicite. Mais dis moi, mon petit blondinet, qu'as tu à la cheville ?

HEIN ? ELLE VENAIT DE DIRE QUOI ?! MON PETIT BLONDINET ! Zoro sentit son sang bouillirent à l'intérieur de lui. Elle continuait ces petits compliments, Zoro allait explosé, déja qu'il était rouge de colére. Sanji dit.

-Euuh mon nom est Sanji, et avec moi, c'est Zorro.

-Bien bien, je suis Amarellys, mais appelez moi Ama. Bon, mon petit Sanji-kun, et serais-tu tordu la cheville ? Laisse moi voir ça.

Mais bon dieu, elle le faisait exprés, cette p'tite vieille ? Sanji-Kun ? Nan mais ca va pas la tête ! Sanji lui sourit, Zoro faillit lui sauté dessus et tué la vieille, s'en était vraiment trop ! Elle soigna la blessure de Sanji, elle le félicita, et elle se pencha, comme pour faire un bisou sur le crâne de Sanji... HEIN ? La réaction de Zoro fut directe, il mit la main sur le fourreau de son sabre et le sortit, ^puis il prit Sanji contre lui et tendait le sabre pour effrayé la vieille. Zoro hurla.

-JEN ETAIT SUR ! TU VEUT ME PRENDRE MON SANJI ! TU LAURA JAMAIS ! IL EST A MOI ! COMPRIS ! RIEN QUA MOI ! ALORS TU RETOUCHE UN DE SES CHEUVEUX ! TU VERRA MON SABRE DE PRES TU VERRAS !

La vieille pâlit un instant à la vue du sabre...

Zorro avait hurlé tellement fort que je sursautai. Je ne sais pas pourquoi mais je m'en doutais que ça allait finir comme ça. A la vue du sabre, la grand mère pâlit et recula de quelques pas.

-JEN ETAIT SUR ! TU VEUT ME PRENDRE MON SANJI ! TU LAURA JAMAIS ! IL EST A MOI ! COMPRIS ! RIEN QUA MOI ! ALORS TU RETOUCHE UN DE SES CHEUVEUX ! TU VERRA MON SABRE DE PRES TU VERRAS !

Maintenant, aucune chance de se faire passer pour des gamins. Zorro avait un regard tellement effrayant. Comme personne en semblait bouger, il fallait que j'agisse. D'abord, il fallait calmer mon bretteur. J'essayai de faire baisser son bras mais il le tenait fermement vers la vieille dame. Alors doucement, je passai mes bras autour de ses épaules et le serra contre moi avant de caresser toujorus aussi doucement ses cheveux.

-Calme Zorro... Caaalme... Ecoute.. je ne suis qu'à toi... d'accord ? Alors...calme toi... Schuuut...

Je le sentis se détendre petit à petit. Toujours avec mes gestes calculés, je déposai plusieurs petits baiser dans son cou. J'attendis qu'il fut totalement calme pour me détacher de lui avec la même lenteur. Je laissai quelques secondes mon regard se perdre dans le sien avant de poser un très court instant mes lèvres sur les siennes. Je lui fis un sourire, comme une promesse qu'il aurait ce qu'il veut plus tard, puis, je me retournai vers la grand mère, qui avait repris quelques couleurs. J'avançai doucement et lui prit la main. Je la caressai doucement pour la calmer elle aussi, mais pas avec autant de tendressse que pour Zorro. Puis, la vieille dit :

-Dites moi la vérité....Qui êtes vous ?

Je soupirai et lâcha sa main. Elle alla jusqu'à son siège et s'y assit lourdement. Je sentais que les frayeurs l'avait un peu retourné. Je pris la main de Zorro pour l'emmener s'asseoir avec moi. Depuis, il ne la lâcha plus, comme s'il avait peur que je m'en aille ou tout simplement comme signe que je n'étais qu'à lui. Je l'avais moi-même dit, et c'était la première fois que je me vouais tout entier à lui. Je voulais toujours en garder pour mes amis, mais il semblerait qu'il n'était pas encore prêt pour qu'il me partage. Sous les regards de la vieille femme, je commençai à raconter la vérité :

-En fait... Nous sommes pas des gamins, mais nous avons chacun une vingtaine d'années. Si notre apparence est ainsi, c'est parce que nous sommes victimes d'un sortilège qui nous a, à la fois rajeunis et en plus condamnés à rester ici. Pour sortir de la forêt et ainsi redevenir normals, il faut qu'on trouve une mystérieuse boîte noire.

-Qui vous a fait ça ?

-Un vieux mage appelé Carimatas je crois. Alors que nous nous promenions, je l'ai surpris à prendre des champignons vénénéux. En bon cuisinier, je lui ai dis et il m'a remercié. Il voulait nous inviter chez lui, mais... Zorro a refusé un peu brusquement, et il nous a traité de jeunots qui ne savent pas marcher et nous a ainsi condamnés de cette façon. Je... Nous voulions pas entrer dans les détails pour ne pas vous impliquer dedans. Quand on a vu votre maison, on s'est dit qu'on pourrait avoir un peu d'aide...

-Je vois... Carimatas fait encore des siennes. C'est un mage très puissant, mais il n'en fait qu'à sa tête et déteste vieillir. Je le connais, il ensorcèle sans cesse les gens pour un oui ou pour un non. Je ne sais pas si je pourrais vous être utile, mais je suis spécialisé dans la médecine des plantes. Je chercherais votre boite noire pendant ma cueillette, si vous voulez. Mais avant ça, que tout soit bien clair, vous entretenez quelle relation vous deux ?

Je rougis l'espace d'un instant. C'est vrai que la scène de tout à l'heure montrait bien qu'elle n'avait pas affaire à des gamins, et encore moins de simples amis. Je lui dis :

-He bien... NOus sommes ensemble voilà tout... Mais, euuh, ça ne vous étonne pas ?

-TU sais, jeune homme, quand on vieillit, on ne s'étonne plus de rien. Bien sur, Zorro-kun m'a un peu surprise avec son sabre, mais je vois parfaitement quel genre d'homme il est. Un homme extrèmement jaloux et possesif.

-Vous avez raison. Mais c'est avant tout le meilleur bretteur que je connaisse ! Après, il faut juste éviter les surnoms ou d'autres trucs, et Zorro ne mordra pas. IL n'est pas méchant, et puis, il m'est indispensable.

La vieille dame sourit, je fis de même. Je ressentais un peu ce que vivait Zorro lorsqu'on m'appelait familièrement. Le Zorro-kun de la grand mère m'avait fait tréssauter un peu. Je n'étais pas au point de hurler qu'il n'était qu'à moi, c'était minime comme sensation, mais je ne pouvais m'empêcher de le comprendre. Une fois les limites passées, il n'avait pas pu s'en empêcher.

Zoro lançait un regard trés effrayant à la vieille dame, un regard de mort dont il avait le secret. Sanji essaya de faire baisser son bras, mais Zoro ne bougea pas d'un poil. Alors Sanji passa son bras autour des épaules de Zoro et il serra Zoro. Le gamin aux cheuveux vert paru dabord surpris, car il avait légérement rougit, puis son blondinet lui caressa doucement les cheuveux. Si Zoro était un chat, il aurait ronronné à coup sur. Mais il se détendit peu à peu. Son beau petit blond lui murmura.

-Calme Zorro... Caaalme... Ecoute.. je ne suis qu'à toi... d'accord ? Alors...calme toi... Schuuut...

Il se détendit encore un peu, jusqu'a être totalement détendu. Sanji déposait de nombreux petits baisers dans son cou, ce qui le fit tout d'abord frissonait mais il se contenta de sourire. Il se sentait si bien avec son Sanji. Il baissa son bras. Puis Sanji se détacha de Zoro lentement. Ce qui paru déplaire tout d'abord au petit homme vert, mais son coq déposa un court instant, certe, mais il déposa un baiser sur les lévres de Zoro. Totalement "Hypnotisé " par son coq, il se laissa faire. Puis Sanji lui fit un petit sourire et il alla vers la vieille dame en lui tenant la main et en la caressant aussi. Zoro fronca un court instant les sourcils, puis il soupira. La vieille dame demanda.

-Dites moi la vérité....Qui êtes vous ?

Elle alla s'asseoir lourdement sur sa chaise et Sanji prit la main de Zoro. Il ne la lachait plus, il ne voulait pas qu'il reparte, il voulait qu'il reste auprés de lui. La vieille femme les regarda, Zoro aurait voulu faire son regard dont il avait le secret, mais Sanji n'aimerait pas. Sanji dit.

-En fait... Nous sommes pas des gamins, mais nous avons chacun une vingtaine d'années. Si notre apparence est ainsi, c'est parce que nous sommes victimes d'un sortilège qui nous a, à la fois rajeunis et en plus condamnés à rester ici. Pour sortir de la forêt et ainsi redevenir normals, il faut qu'on trouve une mystérieuse boîte noire

Zoro hocha la tête, mais sans rien dire, depuis un moment il ne disait pas grand chose, il pensait qu'il n'en avait pas vraiment besoin, c'était toujours son Sanji qui parlait alors... Mais cela ne lui déplaisait pas. Il s'en fichait.

-Qui vous a fait ça ?-Un vieux mage appelé Carimatas je crois. Alors que nous nous promenions, je l'ai surpris à prendre des champignons vénénéux. En bon cuisinier, je lui ai dis et il m'a remercié. Il voulait nous inviter chez lui, mais... Zorro a refusé un peu brusquement, et il nous a traité de jeunots qui ne savent pas marcher et nous a ainsi condamnés de cette façon. Je... Nous voulions pas entrer dans les détails pour ne pas vous impliquer dedans. Quand on a vu votre maison, on s'est dit qu'on pourrait avoir un peu d'aide...

-Je vois... Carimatas fait encore des siennes. C'est un mage très puissant, mais il n'en fait qu'à sa tête et déteste vieillir. Je le connais, il ensorcèle sans cesse les gens pour un oui ou pour un non. Je ne sais pas si je pourrais vous être utile, mais je suis spécialisé dans la médecine des plantes. Je chercherais votre boite noire pendant ma cueillette, si vous voulez. Mais avant ça, que tout soit bien clair, vous entretenez quelle relation vous deux ?

Ah ! Il le savait bien que c'était un mage trés puissant, il en avait eu plusieurs fois la preuve. Et apparament il ensorcelé les gens pour un oui ou bien pour un non, quel vieux sage ennuyeux ! Il n'avait rien d'autre à faire que d'ensorceler les gens pour rien ? Zoro soupira une nouvelle fois. Puis elle demanda quel réaction ils avaient tous les deux, Zoro fusilla du regard Sanji, comme pour lui dire "Tu n'as pas intêrêt à y dire !" Mais Sanji semblait faire confiance à cette vieille dame, alors il dit.

-He bien... NOus sommes ensemble voilà tout... Mais, euuh, ça ne vous étonne pas ?

Il était obligé d'y dire ! Zoro grogna, et il soupira, la vieille repondit.

-TU sais, jeune homme, quand on vieillit, on ne s'étonne plus de rien. Bien sur, Zorro-kun m'a un peu surprise avec son sabre, mais je vois parfaitement quel genre d'homme il est. Un homme extrèmement jaloux et possesif.

Pff, et alors ca lui faisait quoi ? Et pis de quel droit elle pouvait l'appeler Zoro - Kun ? Il gronda légérement.

-Vous avez raison. Mais c'est avant tout le meilleur bretteur que je connaisse ! Après, il faut juste éviter les surnoms ou d'autres trucs, et Zorro ne mordra pas. IL n'est pas méchant, et puis, il m'est indispensable.

Mais c'était pas un chien ! Puis Sanji dit qu'il était le meilleur bretteur qu'il connaissait, Zoro sourit à Sanji, puis il dit qu'il fallait juste éviter les surnoms ou autre, et Zoro ne "mordra pas" Zoro grogna quand Sanji dit ca, ce n'était pas un chien ! Il n'était ^pas méchant mais apparament il lui était indispensable, Zoro lui sourit.

-Il m'est également indispensable. Vous ne savez à quel point. Je l'aime beaucoup.

Zorro grogna plusieurs fois pednat l'entretien avec la vieille dame. Le fait que je lui fasse confiance ou que je lui dise quelques trucs personnelles devaient l'énerver un peu, peut-être. Mes dernières phrases le fiirent grogner avant de lui arracher un sourire. Je préférais largement qu'il sourit plutôt que de gronder. Il était beaucoup plus mignon souriant.

-Il m'est également indispensable. Vous ne savez à quel point. Je l'aime beaucoup.

-Seulement beaucoup ? Mais moi, je t'aime à n'en plus pouvoir !

Je ris en lui caressant les cheveux. Je savais bien à quel point il tenait à moi, pour l'avoir vu de mes propres yeux, mais j'avais eu soudainement envie de dire ça. Parce que je voulais détendre un peu l'atmosphère encore un peu anxieuse. D'ailleurs, la grand mère rit elle aussi. C'était sans doute plus drôle de voir des gamins se disputer ainsi que des jeunes adultes. Je vis Zorro sourire encore une fois. Vraiment, je le préférais souriant. J'emêlais mes doigts entre les siens, puis, je demandais :

-Dites moi, Ama, quel genre de médecine pratiquez vous ?

-Oh, un peu de tout. Disons que j'ai été médecin dans le temps. Je peux autant guérir les maladies que les blessures, du moment qu'il y a des herbes dans le coin. Avec mes plantations personnelles, j'ai ce qu'il faut. Après, je n'ai pas vraiment d'autres compétences.

-Mais c'est déjà bien ! Je n'ai que de très vagues connaissances et ça nous serait bien pratique, vous savez ! Comme ça, si Zorro est blessé, je pourrais vous le confier. Parce que moi, je ne peux pas vraiment l'aider. Je ne sais que reconnaitre les plantes et en utiliser certaines mais c'était avant tout de la cuisine. Du coup, j'avais un peu peur pour lui.

-Très bien, je vous aiderais. Mais que diriez vous d'habiter ici pendant vos recherches ? Vous seriez bien là, non ?

La proposition était, il est vrai, alléchante. La maison était moins somaire, plus confortable et je pouvais y faire la cuisine mieux que là-bas. Mais je savais que Zorro n'allait pas être content. Il ne faisait pas encore confiance à la vieille femme, et il y avait une question de garder notre intimité, ou peut-être simplement me garder pour lui tout seul. Je secouai doucement la tête, pour dire non :

-C'est très aimable à vous, mais je crains de devoir refuser. Nous passerons vous voir assez souvent quand même, en cas de besoin ou pour voir où vous avez cherché la boite noire. Nous nous sommes installés pas loin. Mais, je.. nous préfèrerons être un peu tout les deux. Ce n'est pas contre vous, mais...

-N'en dis pas plus, je comprends tout à fait. Vous voulez manger quelque chose ?

-Merci bien, mais je pense qu'on va continuer nos recherches. Je vous remercie pour votre hospitalité et votre aide.

-N'en fais pas tant ! Allez, revenez quand vous voulez, ma porte est toujours ouverte pour vous !

Elle nous raccompagna jusqu'à la porte et nous observa jusqu'à ce qu'on disparaisse de son champ de vision. Zorro n'avait toujours pas lâché ma main, et je ne tenais pas non plus à le faire. Nous continuâmes un court moment nos recherches dans le silence. Je ramassais toutes sortes de baies et quelques champignons avant. Puis, ma langue se délia :

-Dis, tu comptes faire encore longtemps ton jaloux, Zorro-chou ? Je sais que tu m'aimes comme je t'aime, mais est-ce si incontrôlable que ça ? J'aimerais t'aider moi, tu sais. Parce que ça ne doit pas être facile. Alors, est-ce que tu peux m'expliquer un peu, s'il te plait...enfin, si tu veux...

Sanji répondit.

-Seulement beaucoup ? Mais moi, je t'aime à n'en plus pouvoir !

Zoro sourit légérement. La grand mére riait. Zoro bouda un peu, la grand mére n'avait pas à se marrer, celon le petit garcon. Elle n'avait rien à faire la dedans. De quoi se melait-elle ? Sanji riait en caressant les cheuveux vert du petit bretteur. Zoro sourit et mit sa tête sur l'épaule de Sanji. Puis Zoro redressa sa tête et emmela ses doigts entre les siens. Zoro mit son front contre celui de Sanji. Puis une conversation commenca.

-Dites moi, Ama, quel genre de médecine pratiquez vous ?

-Oh, un peu de tout. Disons que j'ai été médecin dans le temps. Je peux autant guérir les maladies que les blessures, du moment qu'il y a des herbes dans le coin. Avec mes plantations personnelles, j'ai ce qu'il faut. Après, je n'ai pas vraiment d'autres compétences.

-Mais c'est déjà bien ! Je n'ai que de très vagues connaissances et ça nous serait bien pratique, vous savez ! Comme ça, si Zorro est blessé, je pourrais vous le confier. Parce que moi, je ne peux pas vraiment l'aider. Je ne sais que reconnaitre les plantes et en utiliser certaines mais c'était avant tout de la cuisine. Du coup, j'avais un peu peur pour lui.

-Très bien, je vous aiderais. Mais que diriez vous d'habiter ici pendant vos recherches ? Vous seriez bien là, non ?

Zoro fit la moue, ah non ! Il préférait n'être rien qu'a Sanji. Zoro considéra longuement Sanji, qui semblait réfléchir, c'était vrai que c'était mieux que la cabane qu'il avait fabriqué, mais bon... Il préférait rester bien gentiment avec Sanji, déja que Chopper l'avait un peu dérangé au début, alors elle... Son coq préférée semblait lire dans les pensée du petit bretteur, il hocha la tête de gauche à droite, comme pour dire non et il dit.

C'est très aimable à vous, mais je crains de devoir refuser. Nous passerons vous voir assez souvent quand même, en cas de besoin ou pour voir où vous avez cherché la boite noire. Nous nous sommes installés pas loin. Mais, je.. nous préfèrerons être un peu tout les deux. Ce n'est pas contre vous, mais...

-N'en dis pas plus, je comprends tout à fait. Vous voulez manger quelque chose ?

-Merci bien, mais je pense qu'on va continuer nos recherches. Je vous remercie pour votre hospitalité et votre aide.

-N'en fais pas tant ! Allez, revenez quand vous voulez, ma porte est toujours ouverte pour vous !

Mouais mouais c'est ca... Zoro avait pas vraiment envie de retourner chez cette vieille... Mais bon il le ferait pour faire plaisir à son amour. Puis la vieille les racompagna jusqu"a la porte, et ils partirent à nouveau main dans la main... Le silence s'était installé entre eux deux, Sanji ceuillait des champignons et des baie, et Zoro regardait le paysage, quand Sanji dit.

-Dis, tu comptes faire encore longtemps ton jaloux, Zorro-chou ? Je sais que tu m'aimes comme je t'aime, mais est-ce si incontrôlable que ça ? J'aimerais t'aider moi, tu sais. Parce que ça ne doit pas être facile. Alors, est-ce que tu peux m'expliquer un peu, s'il te plait...enfin, si tu veux...

Zoro regarda longuement Sanji, pourquoi était-il jaloux ? La peur, la peur d'être remplacée... Bien que si il répondait. Sanji allait lui faire la tête il en était sur. Alors il soupira mais dit quand même.

-Bah, écoute c'est la peur, j'ai peur que tu me remplace, ou bien j'ai peur que tu ne t'occupe plus de moi ou j'ai peur qu'on te fasse du mal... Tu sais, c'est dur pour moi, je ne controle encore pas tout a fait mes sentiments...

Zorro hésita longuement avant de me répondre. Il semblait réfléchir sur la façon de me présenter les choses, puis, après un soupir, il parla :

-Bah, écoute c'est la peur, j'ai peur que tu me remplace, ou bien j'ai peur que tu ne t'occupe plus de moi ou j'ai peur qu'on te fasse du mal... Tu sais, c'est dur pour moi, je ne controle encore pas tout a fait mes sentiments...

Je savais bien que c'était dur pour lui, je m'en doutais. Il ne se controle pas car tout était encore neuf pour lui. Mais c'est aussi ce qui contribuait à son charme. Après, ses peurs n'étaient pas fondés, mais je n'étais pas vraiment mieux sur le coup. Je ne pouvais pas lui en vouloir. Je l'aimais trop pour ça. Je mme rapprochai encore un peu plus de lui, lâcha doucement sa main avant de passer mes bras autour de son cou et le serrer contre moi. Après quelques instants, je répondis en y laissant un petit soupir :

-Je sais... je sais que tout est encore nouveau pour toi... Mais tu n'as pas à t'inquiéter.. Même si je retrouve des amis, si je m'occupe d'eux, jamais je ne t'oublierais, et jamais je n'oublierais ta part dans tout ça, tu es beaucoup trop important. Et je t'aime trop pour pouvoir imaginer te remplacer. Ah ça non, jamais. Je t'aimerais toujours. Et puis, pour la suite, je compte entièrement sur toi pour me protéger du danger. Personne ne me fera de mal tant que tu seras avec moi. Alors ne te sépare jamais de moi. Le temps aidera à mieux te contrôler, et je ferais mon possible, d'accord ? Mais rien ne change, je t'aimerais toujours.

Nous restâmes un moment sans bouger avant que je me détache tout doucement de lui, non sans quelques regrets. Je repris sa main et nous continuâmes nos recherches. Au bout d'un petit moment, je pris les champignons que j'avais cueillis et un petit récipient que j'avais taillé auparavant. J'allumai un petit feu grâce à mon briquet et un petit tas de bois et fit chauffer les champignons, avec quelques herbes afin d'en faire une salade. Puis, je tendis le bol à Zorro.

-Tiens, c'est pour toi !

Je lui laissai manger le bol entier tandis que je grignotai les baies et autres fruits des buissons. Je n'avais pas vraiment faim, en fait. Quelque chose m'inquiétait. C'était... C'était comme lorsque je mourrais de faim, sur la falaise avec Zeff. Peut-être que mon corps était revenu à cette époque ? Je ne savais pas vraiment et je ne cherchai pas à trouver la cause de mon tourment. Peut-être que ce n'était qu'un inquiétude par rapport à la suite ou un autre sentiment qui me coupait l'appétit. Une fois le repas terminé, je lavai le récipient dans un petit cours d'eau et nous reprimes nos recherches, toujours main dans la main.
Nous nous étions pas mal éloigné de la cabane maintenant, et je commençai à fatiguer un peu. Je cherchai des yeux un endroit où se poser un peu, lorsque je marchais sur un drôle de truc. Je levai mon pied et vit une espèce de petite feuille avec une drôle d'inscription dessus. Du doigt, je parcourus l'insigne et une légère brise m'enveloppa. MOn T-shirt se souleva sous l'air et mes pieds commencèrent à décoller du sol. Je ne pus même pas rattraper la main de Zorro que j'étais déjà à la cîme des arbres. Je lâchai le talisman, mais je me tenais toujours dans les airs, en agitant fortement mes jambes, comme si j'allais tomber.

-Zorro !!

J'étai complètement paniqué. Que faire ? Au moins, je ne montais pas plus haut, mais je n'avais aucune idée de quand la magie prendrait fin, ni comment redescendre de là. Je regardais mon petit btteur, l'air désespéré, toujorus suspendu à un fil invisible. J'essayai de marcher dans le vide. Mon corps s'activa et... j'avançai ! Mais comment ? Je ne savais pas ! EN reprenant mon calme, j'entamai la descente pour voir si ça marchait. Je réussis à redescendre vers Zorro, non sans quelques larmes de frayeur. J'étais arrivé à sa hauteur, en essuyant mes yeux, mais mes pieds voulaient pas toucher le sol. Je ne pouvais pas rester ainsi ! J'eus soudain une idée et prit la main de Zorro. Je la serrai fort et commença à m'élever dans les airs, comme tout à l'heure. Mon mini bretteur me suivit, l'air abasourdi. Je lui conseillais de marcher, comme moi, ce qu'il fit. Bientôt, nous étions plus hauts que n'importe quel arbre. C'était à la fois effrayant et magnifique. POur le premier côté, maintenant que j'avais Zorro avec moi, je ne craignais plus rien. Il ne restait qu'à admirer le paysage de nuages.

-C'est beau... Si on m'avait dit que la magie permettrait de faire ça...

Mais il restait un problème toujours : comment redescendre ? Combien de temps nous restait-il avant que la magie prenne fin ? Quand allais-je pouvoir retoucehr le sol ? Je ne savais pas quoi répondre à toutes ces questions et je me contentais de regarder ce qu'il y avait autour de moi, en restant collé à mon Zorro-chou. Peut-être que lui aura une idée. Au pire, il était là, c'est tout ce qui importait.

Sanji semblait réfléchir un instant. Puis il dit.

-Je sais... je sais que tout est encore nouveau pour toi... Mais tu n'as pas à t'inquiéter.. Même si je retrouve des amis, si je m'occupe d'eux, jamais je ne t'oublierais, et jamais je n'oublierais ta part dans tout ça, tu es beaucoup trop important. Et je t'aime trop pour pouvoir imaginer te remplacer. Ah ça non, jamais. Je t'aimerais toujours. Et puis, pour la suite, je compte entièrement sur toi pour me protéger du danger. Personne ne me fera de mal tant que tu seras avec moi. Alors ne te sépare jamais de moi. Le temps aidera à mieux te contrôler, et je ferais mon possible, d'accord ? Mais rien ne change, je t'aimerais toujours.

Mouais, il avait sans doute raison. Il savait trés bien que Sanji l'aimait, mais il ne pouvait s'empêcher de penser ca, que voulez vous, il était trés possessifs ! Mais bon, sans doute avec le temps, ca passera ! Il comprenait que Sanji ne le remplacerait jamais mais il ne pouvait s'empêcher d'être jaloux ! Puis Sanji lacha la main de Zoro et mit ses bras autour de son cou. Zoro sourit et lui caressa lentement les cheuveux. Aprés un moment à rester comme ca, Sanji lacha Zoro doucement et reprit la main de Zoro. Zoro lui sourit, il aimait tellement Sanji ! Il était si beau, si mignon... Il ne pouvait dire toutes ses qualités... Mais il n'avait pas de défault aux yeux de Zoro. Puis au bout d'un moment son coq blond prit les champignons qu'il avait fraichement ceuilli et sortit un recipient. Il alluma un feu grace à son briquet , puis il fit chauffer les champignons avec quelques herbes. Une fois la cuisson finit, il tendit le bol au gamin aux cheuveux vert et il dit

-Tiens, c'est pour toi !

Zoro sourit et déposa un baiser sur ses lévres, comme pour le remercier. C'était l'espace de quelques secondes. Puis il mit fin au baiser et entama son bol. Comme d'habitude c'était délicieux, Zoro engloutit trés vite le plat et il félicita Sanji d'avoir fait un si bon travail avec aussi peu de matériel. Sanji avait apparament pas trés faim, il grignota quelques baies. Une fois le repas terminé, Sanji lava le plat dans un petit cours d'eau et il reprit la main de Zoro et ils partirent en quête de la boite noire et d'éventuel nourriture. Soudain, Sanji marcha sur quelque chose qui fit un buit de froissement. C'était une feuille, Sanji la prit et il lit les inscriptions a voix haute. Tout d'un coup, une brise l'emporta et son t-shirt se souleva. Zoro particuliérement étonné, ouvrit de grands yeux d'abord ébahi. Puis désespérer, il ne pouvait montait aussi haut ! Sanji cria.

-Zorro !!

Zoro fronca les sourcils, il voudrait tellement le rejoindre ! Sanji semblait paniqué, lui. Sanji essaya de redescendre vers Zoro, avec quelques larmes. Soudain Sanji prit la main de Zoro, ce qui le fit, à son tour, monter haut dans le ciel. Zoro affichait un air complétement ahurie. Sanji se collait contre lui et il lui conseilla de marcher comme Sanji. Il le fit, c'était complétement dément ! Ils étaient maintenant plus haut que les arbres. Sanji admira le paysage et il dit.

-C'est beau... Si on m'avait dit que la magie permettrait de faire ça...

Zoro sourit et hocha la tête. Oui c'était trés beau... Mais bon, le probléme n'était pas la, il fallait redescendre. Zoro commenca à essayer de redescendre, en marchant comme l'avait fait Sanji. Mais ca ne semblait pas marcher ! Il soupira et tenta de s'aggripait à un arbre, mais il n'y arriva pas. C'était perdu d'avance. Il soupira et s'assit, il fallait trouver une solution !

Après quelques instants de contemplation, Zorro essaya de descendre. Je fis de même, mais rien ne voulait marcher. Malgré nos efforts, nous restions en suspension dans les airs sans savoir pourquoi. Je commençai réellement à me demander si nous pouvions regagner le sol. Je serrai un peu plus encore la main de Zorro. Que faire ? Je tâtai l'air sous mes pieds mais ne trouvais rien, même pas une texture qui aurait pu nous soulever. Puis, je repensais à l'incantation. Je la dis à voix haute :

-Etropsnart suov irakih on ezak... Mais attends, c'est de l'Elfique ça !

Très ancien, mais je comprenais un peu ce que ça voulait dire. C'était une vieille louange au dieu des nuages pour pouvoir chasser les oiseaux. Souvent, pour ce genre de petites incantations, il fallait inverser les mots. Mais là, le sort était un peu plus puissant, si bien que seul l'inversion des mots n'était pas suffisante. Il fallait trouver
autre chose. Je traduis alors en langue commune :

-Que la lumière du vent m'emporte....

Normalement, ce genre d'incantation était plutôt du genre, que le ciel m'accompagne un cout moment, mais faire appel à la lumière signifiait faire appel à la magie adéquate, qui était difficile d'assimilation. Et le fait que n'importe qui puisse l'utiliser montrait bien la puissance du sort, bien qu'il soit mineur. IL fallait peut-être inverser carrément le sens de la phrase. Mais le contraire du vent n'existait pas. Je réfléchis alors aux vieilles incantations magiques elfiques. Celle de la terre, peut-être. Je dis :

-Eritta suov egak on ihcust !

Tout doucement, nos corps entamèrent la descente. Je souris faiblement : ça avait marché ! Je regardais une dernière fois le paysage nuageux avant que mes pieds touchent le sol. Nous étions sauvés. Mais, d'autres sorts nous attendaient -ils ? Quelqu'un l'avait posé là, peut-être par hasard mais surement pas en le faisant bêtement tomber. Il était destiné à être utilisé par n'importe qui. Carimatas ? Peut-être. Ou alors, un autre ennemi. Je voulus faire part de mes inquiétudes à Zorro mais m'abstina. Vu que je n'en savais pas assez, ce n'était pas la peine.
Tout doucement, mes jambes lachèrent un peu et je glissai sur le sol. J'étais fatigué et les émotions du vol m'avaient achevés. Je m'appuya contre un arbre et invitai Zorro à faire de même. Puis, tout doucement, je posai ma tête contre son épaule et fermai les yeux. Je ne dormais pas, mais je naviguai dans le monde des rêves pour m'offrir un peu de repos. J'avais beau être transformé en gamin au beau milieu d'une forêt, tant qu'il état là, j'étais en sécurité.
Un peu de temps passa lorsqu'un bruissement se fit entendre. J'ouvris doucement les yeux, les cligna pour stabiliser ma vision, et leva ma tête de l'épaule de Zorro. Aucun monstre à l'horizon. J'allais reposer ma tête contre lui lorsqu'un deuxième bruit parvint à mes oreilles. Il était sorti de sa cachette et nous avions devant nous un ours de taille modeste. EN adulte, il ne nous aurait pas causé de problèmes, mais étant en gamin, il était plus grand et plus fort. Il nous remarqua et nous fixa de ses prunelles jaunes. Je lisai dans son regard ses intentions. Il voulait nous croquer pour son déjeuner. J'essayai de reculer un peu avant de me souvenir qu'il y avait un arbre derrière moi. Je m'agrippai à Zorro. La bête grogna, comme pour engager le combat et commença lnetment à s'avancer vers moi. Il ne visait pas mon bretteur, mais moi. Quelques larmes vinrent perler au coin de mes yeux et j'appelai à l'aide. Je ne fis rien d'autre, même pas un geste pour me réfugier quelque part. Il était déjà mon refuge. Je criai, paniqué :

-Zo..Zorrooooo !

Zoro réfléchissait toujours à comment descendre... Mais Sanji dit.

Etropsnart suov irakih on ezak... Mais attends, c'est de l'Elfique ça !

Ah ? C'était de l'elfique alors... Mouais, ca ne les avancaient pas vraiment... Enfin pas pour Zoro, cette langue était totalement inconnu pour lui... Puis Sanji reprit la parole.

-Que la lumière du vent m'emporte....

A quoi il jouait bon sang ? Est ce qu'il allait bien ? Zoro posa la question directement.

-Tu est sur que ca va ?

Sanji semblait reflechir, pendant ce temps, Zoro pensait... Ouais , c'était pas dans ses habitudes, mais il pensait à Chopper qui était tout seul,la bas... Le pauvre, il devait se demander où ils étaient passé tous les deux... Ouais, bah il lui raconterait quand ils rentreront... Enfin du moins , si ils arrivent à rentrer... Mais Zoro était pérsuadé qu'ils y arriveraient, et il avait un honneur aussi !Et il avait aussi sa fiérté... Sanji dit.

-Eritta suov egak on ihcust !

Zoro regarda Sanji et haussa un sourcil, il était fou ou quoi ? Brusquement, ils descendirent tous deux, Zoro se demandait pourquoi ! Qui avait fait ca ? Sanji ? Peut être que ce qu'il avait dit était une formule magique ? Tous deux rattérirent assez.... Brusquement... Zoro avait les fesses par terre et Sanji avait un peu glissé... Zoro se releva et s'adossa contre un arbre, Sanji le rejoint et mit la tête sur les épaules de Zoro. Celui ci sourit, il était si bien avec son Sanji... Il était complétement fou de lui... Soudain, Sanji eut l'air apeuré, et un grognement se fit entendre, Zoro tourna la tête et vit un ours, ca aurait était facile si il n'était pas des gamins. Zoro prit son sabre et essaya de combattre le grand ours... Ce fut dur, mais il y arriva, non sans blessure... Il trancha une épaule de l'ours, il planta son sabre dans la poitrine de l'ours, et aprés d'autre chose comme ca, l'ours mourut... Et bien sûr Zoro s'évanouit, et tomba par terre, plein de sangs... Les blessures étaient tout de même profondes...

Zorro sortit son sabre et courra entre moi et l'ours. Sans bouger, je le regardai se battre. Son sabre trancha l'épaule d'abord, puis la poitrine. CHaque semblait plus puissant encore, plus douloureux pour l'ours. Mais la bête ne se laissa pas faire. Elle se défendait férocement jusqu'à entailler les membres de mon ami. Pour moi, le combat dura longtemps, trop longtemps. Zorro souffrait, le sang coulait et la bestiole ne mourrait pas. Combien de temps encore ? Je n'en sais rien. Finalement, ce fut mon bretteur qui gagna. Avant même que je pus soupirer de soulagement, il tomba à terre, évanoui. Le sang coulait toujours. Je me levai et courrut vers lui avant de retomber après quelques pas pour vomir. Ce n'était pas le combat, non. J'avais des nausées depuis le début de la journée. Mais mon estomac n'avait pas pu en tenir plus. Je rendis alors mon repas en toussotant la bile amère. D'un geste vif, je m'essuyao la bouche pour accourir vers Zorro. Je n'avais plus vraiment de force, mais il fallait qu eje fasse quelque chose. Très vite, j'enlevai mon T-shirt afin de faire des bandages somaires et les premiers soins.

-Ca ne va pas être suffisant... Zorro...

IL fallait que je l'emmène chez la grand mère, et vite ! Je me levai, vacillai un peu et le prit sur mes épaules. IL était lourd et je n'avais plus aucune force. Mais je commençai à marcher, en le trainant un peu. Trè vite, je fus essoufflé. De la sueur perla sur mon front. Je l'essuyai et remarquai que j'avais de la fièvre. Serais-je tombé malade ? Non, pas maintenant ! Mon estomac fit encore un haut-le coeur et je vomis sur le bord de la route. Je ne crachai que de la bile acide. Mon ventre me faisait mal à n'en plus pouvoir. Je m'écrasai à terre, à bout de force. J'aurais puu renoncer là, mais j'aimais trop Zorro pour pouvoir imaginer attendre encore un peu. Je repris mon courage à deux mains et me releva. Je tibutai et je ne comptais plus les ois où je tombai par la douleur. Ma vue n'était plus tout à fait clair lorsque je trouvais enfin la maison de la vieille dame. Je mis toute m aforce pour frapper et j'entendis des bruits de pas arriver. ELle ouvrit et fut pris de frayeur en nous voyant, l'un dans le sang, l'autre couvert de sueurs, torse nu. Je tombai à terre devant elle et réussit à articuler :

-S'il vous plait...Sauvez le... Savuez Zorro...

-Oh mon dieu ! Ne t'en fais pas mon petit, ne t'en fais pas, je m'en occupe tout de suite.

A la fois soulagé et inquiet, je me laissai porter par la vieille femme et sombra dans l'insconcience. La seule chose dont j'avais encore conscience, c'est que Zorro était avec moi. Je tenai sfermement sa main pour ne pas le quitter. ET je ne la lachai à aucun moment.

Un rêve... Emboité dans un autre... des chiffres.. partout.. Les nombres s'additionnent à n'en plus pouvoir jusqu'à me donner la nausée. Dans ma tête, tout est embrumé. Tout s'ajoute... Que ce soit des couvertures ou des personnes. ILs grimpent l'escalier... Vont sur le fauteuiL... ils sont trop nombreux... PItié.. stop !

J'ouvris les yeux doucement. Le plafond était en bois, mais bien luisant. Je n'avais pas revé alors, j'étais bien chez la grand mère. Ouille, ma tête. J'avais mal et mon ventre était encore douloureux. Je n'avais plus rien à vomir, par chance, car je sentais encore les nausées me prendre violement. j'avais quelque chose dans ma main. Une autre main. Rien qu'au toucher, je la reconnaissais entre mille. Celle de Zorro. Tout doucement, je tournai la tête vers lui. IL était bandé correctement et dormait à poings fermés. Sa respiration régulière me permettait de voir qu'il allait bien. Je souris et doucement, je caressai sa main dans mon pouce. Je restai à le contempler avant que des pas résonnèrent dans la salle. Je levai la tête et vit la vieille dame me sourire.

-Tu es réveillé ? Je m'inquiétais pour toi, tu sais. Tu m'as supplié de m'occuper d'abord de Zorro-kun, alors je l'ai fait, mais tu m'avais l'air bien mal en point. Evidement, puisque tu as attrapé un virus appelé Gastérovol. Rien de grave, mais tu auras de la fièvre et des nausées pendant deux jours.

-Ah... Désolé...

-Tu n'as pas à t'excuser. Tiens, bois ça ! C'est une tisane contre la nausée pour calmer ton estomac, ainsi de quoi faire baisser ta fièvre. TU devrais vite te remettre sur pied pour ton Zorro, je pense. Il préfère surement que tu aille bien et que tu t'occupe de lui.

Elle avait raison, indéniablement. Je pris la tisane, m'assit doucement en ne lâchant pas la main de Zorro, puis la but d'une traite en réprimant mes haut-le coeur. IL fallait que je guérisse. Au moins pour lui. J'avais oublié que mon corps d'enfant était fragile aux maladies. Je redonnais la tasse à Ama, qui me sourit.

-Bien... Maintenant, repose toi ! C'est le plus important. Dis moi quand il sera révéillé, d'accord ? En tout cas, vous avez eu de la chance. Vous partagez vraiment des liens indesctructibles.

Même mieux que ça, j'avais envie de dire, mais je me tus. Je m'allongeais et me replongeai dans ma contemplation de Zorro. Même s'il valait mieux que je dorme, il voulait le regarder, veiller sur lui. Je caressai toujorus aussi doucement sa main avec mon pouce, en souriant faiblement à cause de mes souffrances. Finalement, le sommeil eut raison de moi et je m'endormis, la conscience plus tranquille pour avoir sauvé celui que j'aime.

Rêve...

Zoro était couché sur une clairiére, dans des fleurs... Les rayons de soleils se faufilait entre les branches et les feuilles d'arbres... C'était calme, a part les bruits habituel de la forêt, comme par exemple les animaux et leurs occupations... Le pic-vert tapa du bec sur un arbre, le sanglier frottait ses défenses pour marquer son territoire, des oiseaux chantaient... Des bruits d'animaux quoi... Soudain, l'homme aux cheuveux vert entendit un bruit, un bruit de pas... Avec des tintements ? Enfin plus précisément des tintements de sabres qui s'entrechoquaient... ce bruit, Zoro le reconnaitrait entre milles ! Soudain une jeune fille d'a peu prés le même age que Zoro apparu. Elle ressemblait étrangement à Kuina, c'est-a -dire des cheuveux noirs et mi-longs. Elle avait des sabres sur elle, et elle avait les même yeux que Kuina, par contre elle portait des lunettes... Soudain elle sortit un sabre de son fourreau et elle trancha Zoro, en deux, trés facilement... Non ce n'était pas réelle ! Il n'était pas aussi facile à tuer !

Fin du rêve...

Zoro se reveilla d'un coup, il ouvrit de grands yeux et échappa un gémissement de surprise... Peu à peu, il se calma. Il était ou ? Il sentit une main avec lui, il regardait à qui appartenait cette main, elle était à Sanji, Zoro sourit, Il était si mignon quand il dormait... Zoro se demanda ou ils étaient ? Il tourna la tête et vit la vieille... Il grommela un instant, mais bon... C'était pour guérir Sanji, alors... Son blondinet d'amour avait l'air vraiment malade, et Zoro s'inquiétait tellement de Sanji qu'il demanda à la vieille femme.

-Il va bien ? Ce n'est pas trop grave j'éspére ? Ho... Je m'en veut, c'est de ma faute tout ca, si je n'avait pas traité ce maudit vieux !

Il soupira et baissa la tête, son coq lui disait que ce n'était pas de sa faute, mais il pensait le contraire... C'était entiérement de sa faute ! Si il n'avait pas traité ce vieux ! Il serait sans doute tous les deux, avec Chopper, en bonne santée... Beaucoup trop inquiet, il sortit de son lit et s'assit à cotés de Sanji, doucement... Il passa sa main sur le front de son cuistot et fut surprit de sentir un contact aussi chaud... Doucement, il caressa la joue de Sanji... Le pauvre... Zoro s'en fichait de lui, tout ce qui lui importait c'était Sanji...

Au lieu de dériver toujorus sur les mêmes rêves, j'essayai d'imaginer un autre pays, ou tout simplement un idéal. Même si c'est un tourment. Je n'arrivais pas à dormir vraiment. Je nageai dans un malaise continu, remplis de créatures bizarres et de passages chaotiques du passé. Où était Zorro ? Je n'aimais pas ça du tout. J'essayai de me réveiller mais je restai dans une espèce de demi-conscience, ou j'entendais la voix de mon bretteur. Il s'était réveillé ?

-Il va bien ? Ce n'est pas trop grave j'éspére ? Ho... Je m'en veut, c'est de ma faute tout ca, si je n'avait pas traité ce maudit vieux !

-Oh non, il ne va pas bien du tout ! IL a attrapé le virus Gastérovol, pas contagieux et pas dangereux, ne t'inquiète pas, mais il en a pour deux jours de nausées et de fièvre. Après les plantes que je lui ai donné, ça devrait l'aider un peu, mais ce qu'il lui faut, c'est du repos et du soutien. Il a trop forcé, ce petit. Il a été jusqu'à te porter jusqu'ici, au bord de l'évanouissement. Il avait déjà rendu tout son repas et était en pleine crise. Et dans tout ça, il ne s'inquiète que pour toi ! Toi aussi guéris vite poru t'en occuper. Le tracas n'est pas bon pour son état.

Je sentis sa main bouger de place. Un léger bruissement de tissu, puis, il s'assit près de moi. Je réprimais un haut-le coeur. Décidement, même le remède de la grand mère ne marchait pas. C'était bien le moment de tomber malade. Je sentis sa main toucher mon front brûlant de fièvre. Il la retira vite fait. En même temps, j'étais tellement embrumé que la solution possible était la fièvre. Puis, je sentis sa main caresser tout doucement ma joue. Si la tisane ne m'avait fait aucun effet, juste ce contact me fit faire un léger sourire. Il était là, et avait l'air pas trop mal.

-Toi aussi, tu devrais faire attention ! Ne vas pas aggraver tes blessures ! Enfin, tu ne bouges pas trop et que tu restes calme, ça devrait guérir vite. Je vais te préparer un petit remontant. Mais surtout, n'essaie pas de faire quelque chose de pas raisonnable. Si tu ne le fais pas pour moi, fais le pour lui au moins.

J'entendis la vieille femme sortir de la pièce. Zorro était toujours près de moi. J'avais un peu froid, même si mon corps était brulant de fièvre, et je bougeai tout doucement pour me rapprocher de Zorro. Puis, je réussis à sortir de ma torpeur et ouvrit doucement les yeux. Il était là, devant moi. Il allait plutôt bien, mise à part son masque d'inquiétude. Je lui souris faiblement. Je ne me sentais pas bien, j'étais malade à en crever, mais le seul fait qu'il soit là était d'un réconfort sans pareil. Je comprenais maintenant ce que voulait dire aimer à la folie qu'on dit si souvent en éfeuilletant une fleur. J'étais tout simplement fou amoureux de lui. Doucement, j'articulai quelques mots :

-Zorro... Est-ce que... tu vas... bien ? Guéris vite... s'il te plait... et... reste... avec moi...

J'essayai de bouger un peu mais mon estomac douloureux m'empêchait de bouger. J'eus cru vomir mais je me retins pour ne pas toucher Zorro. Purée, ça faisait un mal de chien. Je toussotai pour éliminer la bile amère coincée dans ma gorge et m'avançai doucement pour poser ma tête sur les genous de mon bretteur adoré. C'était chaud, et agréable. Toujours aussi doucement, je me recroquevilla sur moi-même pour être toujours plus près de lui. Puis, je récupéra dans ma poche le fameux bandana à fleurs qu'il m'avait offert. D'une main, je gardais celle de Zorro et de l'autre, je tenais contre moi le bout de tissu qui m'était si précieux. J'entendis alors des pas arriver, puis la vieille dame avec un plat à manger. Mes nausées me reprient violement mais je ne bronchai pas.

-Tiens Zorro ! C'est bon pour ce que t'as ! Et toi Sanji, tu as besoin de quelque chose ?

-N..Non merci...

-Tu es encore brulant ma parole ! J'en étais sur, tu as trop tiré sur la corde. Enfin, peu importe. Repose toi bien maintenant, et tout ira mieux ensuite.

Je bougeai juste un tout petit peu la tête pour lui dire que j'obéirai avant de fermer les yeux. J'étais si fatigué, mais en même temps, je n'avais pas vraiment sommeil. Toujours bien serré contre Zorro, je finis par m'endormir. Cette fois, je ne fis pas de rêve bizarre et mon repos fut enfin paisible.

Zoro regarda Sanji qui commencait à se reveiller, Zoro afficha son plus beau sourire pour pouvoir réchauffer un peu Sanji... Au moins de l'intérieur, il se mit à caresser doucement les cheuveux de son blondinet. Sanji semblait vraiment mal, Ce qui rendait Zoro encore plus inquiet, le pauvre, ca lui faisait mal à lui aussi... Lui était moins mal déja ! Soudain, Sanji se reveilla doucement, il ouvrit les yeux doucement... Zoro lui sourit, Sanji se serra contre Zoro, Zoro se rapprocha un peu de lui... A paramant il n'allait pas bien du tout. Le jeune bretteur le serra contre lui. Il l'aimait tellement ! Il ne voulait pas qu'il reste comme ca! Il fallait que lui même guérrisse vite pour s'occuper de Sanji comme avait dit la grand mére... Il le fallait ! Et il était pérsuadé de pouvoir réaliser cela... Sanji dit soudain.

-Zorro... Est-ce que... tu vas... bien ? Guéris vite... s'il te plait... et... reste... avec moi...

Zoro sourit, toujours s'occupait des autres en premier... Toujours aussi bon et généreux... Ah... Son Sanji Chéri ! Zoro regarda Sanji dans les yeux.

-Sanji... Voyons, c'est toi le plus mal en point ! Tu te rends compte à quel point tu est malade ! Ne t'inquiéte pas pour moi, occupe toi de toi !

Il fallit vomir sur Zoro... Le pauvre... La vieille arriva et dit.

-Tiens Zorro ! C'est bon pour ce que t'as ! Et toi Sanji, tu as besoin de quelque chose ?

-N..Non merci...

-Tu es encore brulant ma parole ! J'en étais sur, tu as trop tiré sur la corde. Enfin, peu importe. Repose toi bien maintenant, et tout ira mieux ensuite.

Zoro but le remede, c'était vraiment déguelasse, mais bon, c'était un médoc alors... Il but rapidement, il fallait qu'il guérrisse, pour que Sanji guérisse à son tour, Sanji mit la tête sur les genoux de Zoro... Et Zoro ne put s'empêcher de s'endormir à son tour !

Si je n'étais pas parti dans le monde cauchemardesque, je n'avais plus vraiment conscience du temps qui passait. Je dus me réveiller en pleine nuit, en proie à un terrible haut-le-coeur, si bien que je vomis par terre. J'avais de justesse évité de salir Zorro. J'avais vraiment mal. La grand mère, en m'entendu tousser, accourut et vint me voir.

-Sanji ! Est-ce que ça va ?

-Ou...oui... J'ai juste mal... très mal...

Je recrachai de la bile amère avant que mes spasmes s'arrêtent. Juste la douleur restait. Doucement, la vieille femme posa l amain sur mon front. Elle semblait se rassurer un peu. Je me sentais moins embrumé. La fièvre avait du baissé un peu. Puis, elle nettoya le sol avant de me conseiller de me rendormir. Comme si c'était facile ! J'avais tellement mal qu'on aurait pu me planter un pieu dans le ventre sans que je sente la différence. Je levai les yeux et vit mon Zorro dormir à poings fermés. Je serrai un peu sa main pour me rassurer et me donner du courage pour supporter la douleur. Même si j'étais affreusement malade, même s'il me disait que m'occuper que de moi, je ne pouvais m'empecher de penser à lui. Il n'avait pas vraiment l'air mal en point, contrairement à moi, et dormait paisiblement. Il fallait que j'arrête de l'inquiéter, moi aussi. Je voulais guérir. Malheureusement, j'en avais encore ppour un petit moment. Finalement, après un petit moment de lutte avec mon estomac, je réussis à trouver un sommeil agité et retombait dans la douleur des rêves sans fin.

Ceux qui ne connaissent pas la faim ne peuvent pas savoir la peur que d'être sur un îlot, sans nourriture, just eà attendre que la mort vienne. 85 jours n'ont pas réussis à tuer un homme, à me tuer, à nous tuer. Mais combien de temps un homme pouvait-il lutter contre une douleur aussi forte ?
36 Tourments.... 72 tourments... 108 Tourments... 144 Tourments... Ils s'ajoutent et se meurent. De toutes les couleurs, Rose, vert, rouge, bleu, violet, orange, jaune, turquoise, blanc et même noir. J'étouffe...

De l'attentat n'en plus finir...
Du désespoir à en vomir...

Alors que le crépuscule tombe, l'ombre et la nuit envahissent l'endroit. Bientôt, des ruines prennent place et je suis sous les décombres. Juste une suite illogique de faits incompréhensibles. Une main se tend vers moi et je l'attrape. Je peux afin sortir de ce rêve sans fin.

Le soleil me narguait dehors et me réveilla. J'avais ouvert tout doucement les yeux. Mon corps endolori ne voulait plus bouger et je gardais encore le gout amère de la bile en bouche. Pire que n'importe quel médicament. Je préférais de loin lorsque Zorro m'embrassait ! EN parlant de lui, j'essayai de lever un oeil sur lui. IL avait l'air d'aller toujours aussi bien, et dormait encore paisiblement. Je n'avais pas bougé et je restai toujours allongé sur ses genous. Au moins, j'étais bien ici. La vieille dame vint me voir, avec une même tasse fumante en main.

-Sanji, bois ça s'il te plait. C'est pour que tu aille mieux. Il y a déjà une petite amélioration, c'est une bonne chose.

-Mer..merci.. Et.. excusez moi pour hier soir...

-Mais non, ce n'est pas de ta faute. Je préfère que tu vomisse par terre plutôt que sur les genous de ton ami. Allez, va, ce n'est plus qu'un mauvais souvenir. Occupe toi de guérir et non du reste ! Il te l'a dit, non ?

Elle désigna Zorro avant de me donner la tasse. Toujours les même haut-le-coeur mais je la bus quand même. J'avais juste un instant quitté les genous de mon bretteur pour m'asseoir mais ça me manquait déjà, si bien que je me remis dans ma position initiale. J'étais mieux là, plus en sécurité et son contact m'aidait à me sentir mieux. La grand mère avait raison : il m'avait dit de m'occuper que de moi-même. Je souris faiblement et restai à le contempler en attendant son réveil. La vieille femme était parti avec la tasse vide. Plus efficace que n'importe quel médicament, il y avait Zorro. J'aurais voulu me serrer encore plus contre lui, mais je n'osai pas le réveiller. J'attendis juste qu'il ouvre les yeux pour lui sourire, un faible sourire mais avec toute l'intention que je pouvais y mettre, avce un simple bonjour. Il avait peut-être faim, mais je ne pouvais pas me lever. Je ne pouvais pas quitter se sgenous. Que ce soit physiquement ou mentalement, je ne pouvais pas quitter Zorro. Je ne le voulais pas. Je le voulais auprès de moi, pour que je puisse sentir sa main me caresser lentement mes cheveux, pour que je puisse le voir veiller sur moi, pour qu'il soit là, avec moi, tout simplement.

Zoro ne rêvait même pas, mais il dormait, même si il entendait quelques murmures, comme des chuchotements... Il avait mal, mais déja moins que son blondinet. Il était si bien avec lui ! Le sentir auprés de lui, le proteger donc veiller sur lui... De toute facon, pour lui, tant que Sanji était la il allait parfaitement bien ! Oui... L'amour que porte Zoro pour Sanji est sans limite ! Il se reveilla, il ouvrit doucement les yeux et leva la tête, sa nuque était un peu douloureuse, mais ca ce n'était pas du tout grave ! Sanji lui souriait faiblement, Zoro lui rendit son sourire. Rien qu'un petit sourire de son coq blond illuminait sa journée. Sanji se mit assis quelque instants, puis il retournit sur les genoux de Zoro, ce qui le fit sourire. Il caressa lentement les cheuveux de Sanji comme à son habitude, c'était si agréable... Zoro était un vrai garde du corps ! Du m oins pour Sanji ! Il devait veiller sur lui, quoi qu'il arrive ! La grand mére arriva, elle était sur le point de partir pour laisser Sanji et Zoro en paix mais Zoro lanca.

-Euh, puis -je vous aider ? En quoi que ce soit ? A vrai dire je m'ennuie un peu, même si je ne me lasse pas de la présence de Sanji, mon corp réclame de l'exercices, alors si vous avez besoin de quelque chose...

Je n'avais pa svraiment sommeil mais j'avais fermé les yeux pour profiter au mieux de l'instant. Zoror était là, avec moi, en train de caresser doucement mes cheveux. J'en oubliais même mes douleurs. Il n'y avait rien de plus agréable. J'avais juste un petit souri. Un petit sourire pour une complicité sans limite. Je l'aimais vraiment à n'en plus pouvoir, je n'avais pas menti. Je ne pouvais pas l'aimer plus, tout simplement. J'entendis Zorro dire :

-Euh, puis -je vous aider ? En quoi que ce soit ? A vrai dire je m'ennuie un peu, même si je ne me lasse pas de la présence de Sanji, mon corp réclame de l'exercices, alors si vous avez besoin de quelque chose...

C'est vrai que depuis qu'il était avec moi, Zorro n'avait pas fait tant d'exercice que ça. J'avais oublié que la plupart du temps, il soulevait des poids énormes des milliers de fois. Impossible de le battre en force brute. D'un côté, je ne voulais pas qu'il parte. Je voulais encore le sentir à mes côtés, pour qu'il veille sur moi. Mais je ne pouvais pas l'en empêcher. J'ouvris tout doucement les yeux pour voir ce qui se passait.

-Eh bien, une aide ne serait pas de refus ! Tu dois toujours éviter de trop en faire mais j'ai bien besoin de ton aide pour certaines choses. D'abord, je vais m'occuper de tes bandages. Ensuite, j'ai un certain nom de médicaments à faire, nottament pour Sanji. Alors que tu m'aide à cueillir les plantes qu'il faut et les broyer n'est pas de refus.

LA vieille dame s'approcha pour défaire les bandes de Zorro. Je ne bougeai pas et laissai faire la grand mère pour profiter encore de la présence de mon bretteur adoré. Je n'avais pa svraiment envie de le laisser partir mais en même temps, je ne voulais pas l'empêcher de bouger. Une fois soigné, Zorro se leva et déposa ma tête sur l'oreiller avec une extrème douceur. C'est avec un léger regret que je lâchai sa main. Mais, d'un petit sourire, je lui fis comprendre qu'il pouvait y aller sans crainte. Comme si la grand mère nous avait vu, elle installa son plan de travail dans la même pièce. Puis, elle guida Zorro sur les choses à faire. IL avait l'air si sérieux ! Je les observai, enfin surtout mon amour de bretteur, pendant un très long moment. La souffrance me faisait quelque fois gémir mais j'essayai de ne pas le faire remarquer. Il me semblait par contre qu emon bluff ne marche pas. Après quelques heures de travail, la vieille femme dit :

-Bien, tu travaille vraiment bien ! Un merveilleux assistant ! Il est temps de faire à manger maintenant... Tiens, donne ça à ton ami et ensuite, viens m'aider s'il te plait.

Elle lui donna une espèce de pillule avec un verre d'eau. Qu'est ce que c'était encore ? Bah, un médicament sans doute. Mais fait par Zorro. L'efficacité était au moins doublé ! Doucement, en réprimant encore un haut-le coeur, je m'assis et avala la pilule sans rien dire. Puis, je redonnai le verre à Zorro et posa mon front contre le sien. Je plongeai quelques instants dans ses magnifiques yeux avant de le remercier :

-Merci... Merci beaucoup...Zorro...

Je lui souris faiblement et me détacha de lui pour me rallonger. J'étais encore mal, contre mon gré. Je voulais pourtant aider moi aussi, ne plus être un fardeau pour lui, mais rien à faire. Il ne me restait qu'à guérir au plus vite. Je le regardai s'éloigner doucement et attendit qu'il revienne pour rouvrir les yeux que j'avais fermé pour garder son image dans mon esprit.

Zoro regarda la vielle dame, elle voulait bien de son aide, il acquiesca et se leva avec regret, il ne voulait pas quitter son blondinet il était tellement bien aveclui ! Ils devaient ceuillir quelques herbes et faire quelques travaux, tant mieux ! Il avait besoin d'exercices ! C'était sur... Il avait de la chance, il faisait beaucoup de travail, tant mieux ! Il était trés sérieux et concentrés. Il sentait le doux regard de Sanji dans son dos, il ne put s'empêcher de tourner la tête et de lui sourire. Une fois beaucoup d'heures de travail accomplit, il s'assit à cotés de son blondinet.La vielle dit.

-Bien, tu travaille vraiment bien ! Un merveilleux assistant ! Il est temps de faire à manger maintenant... Tiens, donne ça à ton ami et ensuite, viens m'aider s'il te plait.

Il hocha la tête et se leva, il prépara un médoc et le donna doucement à Sanji. Il le but et Zoro sourit, comme pour l'encourager. Zoro reprit le vers et le donna à la vieille dame pour qu'elle le range, Son coq mit son front contre celui de Zoro, Le petit bonhomme vert sourit et l'embrassa, il était si bien, avec lui, il resterait toujours avec lui, il éspérait en tout cas !

-Merci... Merci beaucoup...Zorro...

Zoro lui souri et lui caressa doucement la joue, Sanji s'allonga, Zoro se mit dans le lit de Sanji et le serra contre lui, et lui chuchota à l'oreille.

-T'inquiéte ch'te lacherai pas !

Il n'était pas parti. Il était resté avec moi. Avant même que je m'allonge, juste pendant que je laissai mon regard se perdre dans le sien, il m'embrassa. Je me laissai faire, profitant de l'instant pour oublier tout ce qu'il pouvait y avoir autour de moi, ce qui me concernait, à part lui. Il s edétacha doucement et me sourit. Un véritable concentré d'amour et de tendresse. Il avait tant changé. Mais en une version que je préférais. Il me caressa doucement la joue avant que je m'allonge. J'étais encore trop mal pour tenir assis plus longtemps. Au lieu de partir, Zorro se glissa à mes côtés et me serra contre lui. Le revoilà, le contact que je cherchais tant. Il me chuchota à l'oreille :

-T'inquiéte ch'te lacherai pas !

-Tant mieux ! J'ai pas l'intention de te laisser partir...

Je me mis face à lui et lui sourit. Doucement, je passais mes bras autour de lui pour être bien collé contre lui avant de fermer les yeux. J'étais bien mieux là. J'entendis la grand mère revenir nous voir, comme si elle cherchait Zorro. J'avais le dos tourné à elle, donc je ne pouvais pas la voir mais je devinais bien son petit sourire avant de repartir, nous laissant notre moment à tous les deux. Jalouse peut-être ? C'était mon Zorro autant que j'étais son Sanji. Sur cette pensée, je profitais de la présence de mon bretteur à moi, me collant contre lui. IL était si chaud, alors que la fièvre me faisiat frissoner un peu. Je me laissai porter par son étreinte et traversa un court moment de demi-sommeil. Puis, j'ouvris de nouveau les yeux pour le voir, si près de moi. Doucement, je relevai un peu la tête pour la glisser dans son cou et lui déposer quelques baisers et lui murmurant un petit je t'aime. Puis, tout serré contre lui, je finis par m'endormir, le serrant toujours contre moi de façon à ce qu'il ne parte pas.

J'émergeai doucement de mon sommeil. Je n'avais pas fait de rêve cette fois, et c'était tant mieux. Il y avait toujours Zorro contre moi et je lui souris. Il était vraiment resté jusqu'au bout. Il devait sans doute avoir faim. La grand mère, d'ailleurs, arriva avec un plat fumant et encore la même tasse que j'avais bu. Elle nous sourit et parla :

-Zorro, tu dois avoir faim, non ? Je t'ai apporté de quoi te requinquer ! Dis moi si tu veux travailler après ça ou pas. Et pour toi Sanji, mon remède spécial pour t'aider à guérir. Allez, avalez moi tout ça !

Tout doucement, avec Zorro, je m'assis pour prendre la tasse. Toujours le même liquide dedans. Je le bus san srechigner, trouvant le gout assez atroce. Je n'avais pas remarqué jusque là à cause de mes vomissements mais je ne pus réprimer une petite grimace. Zorro, lui, mangea l'assiette de bon coeur. Si j'allais mieux, je n'avais pas du tout envie de manger. Je m'appuyai sur mon bretteur afin de me reposer un peu avant qu'il termine, après quoi, je m'endormis serré contre lui. Au creux de ses bras, c'était bien là le meilleur endroit que je connaisse.

Sanji répondit à Zoro.

-Tant mieux ! J'ai pas l'intention de te laisser partir...

Sanji lui sourit, Ah ! Son beau sourire, magnifique, tendre et unique au monde... Et ses yeux... Zoro avait envie de se perdre à jamais dedans, il s étaient si beau... Ils étaient d'un magnifique bleu... Zoro aurait presque voulu rester tout le temps à le regarder ! La vieille voulut venir mais elle parti aussitot. Zoro savait que c'était pour leurs laisser un peu de temps tout les deux. L'ex jeune homme aux cheuveux vert sourit, elle n'était pas si terrible que ca... Peut être ? Sanji se collait à Zoro, Zoro fit de même pour le rassuré un peu. Il semblait un peu moins malade, mais il l'était quand même...Un court instant , Sanji semblait somnolait, puis il leva les yeux vers Zoro, celui ci lui sourit. Son beau blond releva la tête et la mit dans son cou, il y déposa des petits baisers et il murmura un petit "Je t'aime " Zoro sourit et il dit de sa plus douce voix.

-Moi aussi... Tu ne sais pas à quel point...

Doucement son coq préféré s'endormit, Zoro lui, n'était pas fatigué, alors il resta éveillé jusqu'a que son blondinet se reveille. Quand il se reveilla, automatiquement, Zoro passa sa main sur le front de Sanji. Il était encore un peu chaud... Il en profita pour lui caresser un peu le front. Puis la vieille dame arriva et dit.

-Zorro, tu dois avoir faim, non ? Je t'ai apporté de quoi te requinquer ! Dis moi si tu veux travailler après ça ou pas. Et pour toi Sanji, mon remède spécial pour t'aider à guérir. Allez, avalez moi tout ça !

Maintenant qu'elle le disait, c'était vrai, il avait vraiment faim ! La vieille lui donna un plateau et elle donna une tasse à Sanji. Sanji le but avec un air de dégout, mais à l'inverse, Zoro mangeait vraiment de bon coeur, c'était délicieux ! Mais bien sûr il préférait la cuisine de son blondinet ! Une fois tout ca finit, il redonna le plat à la vieille et son beau blond se mit dans les bras de Zoro, ils s'endormirent une nouvelles fois, tout deux...

Un monde sans couleur, où tout est noir et blanc. Le gris devient transition et mon corps se multiplie toujours. Les tourments s'additionnent alors que mon esprit ne demande qu'à être seul. CHaque nuance passe, jusqu'à ce que tout devienne un arc-en-ciel de gris, un camaieu magnifique empli de désespoir. Je veux mourir, quitter cet endroit pour revenir à la couleur. Les tourments s'ajoutent. Encore et encore. Puis, chacun se forme, devient une propre personnalité. Naif, généreux, intelligent, impatient, téméraire, émotif et bien d'autres encore. Avais-je autant de facette ou le rêve prenait la place de la réalité. Tout continue jusqu'à m'étouffer. Je tousse et cracha un liquide qui ne peut qu'être du sang. Tout tourne autour de moi tandis que les autres moi tentent de m'étrangler. Je souffre et essaie d'appeler de l'aide, sans espoir. D'un geste désespéré, je me raccroche à quelque chose, avant de sombrer dans le vide noir et sans chaleur.

Je me réveille, les yeux noyés de larmes. Pourquoi sans cesse voir le désespoir en rêve alors que je n'imaginais pas une seconde vivre dans un endroit pareil. J'essuie lentement mes yeux et regarde autour de moi. Il faisait nuit, et tout le monde semblait dormir paisiblement. Un spasme me reprit et je me tordais sous la douleur. Encore ? Bientôt, ça allait faire deux jours ! Je réprimais un haut-le-coeur, mais je sentais que je n'allais pas tarder à vomir. Tout doucement, je m'écartai des bras de mon Zorro et laissa mon estomac se tordre pour rendre ce que j'avais avalé. Sans doute le contenu de la tasse. C'était peut-être la méthode pour éliminer le virus. Ou alors, je faisai sde sérieuses complications. Comme je m'en doutais, la vieille femme vint me voir. En m'essuyant la bouche de la bile amère, je lui demandais entre deux halètements :

-Ama...c'est.. c'est pour me faire rendre, c'est ça ?

-Eh bien... Disons que ce virus vint nottament de la nourriture, donc je te fais éliminer la maladie en nettoyant ton estomac. Alors oui, c'est pour ça que tu as autant mal. Mais c'est la seule méthode efficace si tu ne veux pas trainer la maladie trop longtemps et que ça devienne grave.

-Je comprends....

Je toussotai encore de la bile avant que ça se calme. Dire que la vieille osait dire que ce n'était pas grave ! Elle voulait juste nous rassurer. J'espérais que Zorro dormait vraiment pour éviter qu'il ne s'inquiète. La grand mère me conseilla de dormir. J'avais mal à la tête, à la fois froid et chaud. La fièvre sans doute. Tout doucement, je me glissai entre les bras de mon bretteur. C'était chaud... Je me collai contre lui, puis, levai la tête pour l'admirer. Je n'avais plus sommeil mais simplement le contempler suffirait à m'occuper. De quoi pouvait-il rêver ? J'essayai de me demander sur quel sujet, si c'était heureux ou non, ou encore pleins d'autres choses avant de moi même finalement sombrer dans le sommeil.

Lorsque je me réveilla la deuxième fois, après avoir continué mes rêves sans fin, je remarquais qu'il manquait quelque chose. J'ouvris les yeux mais ne trouvait pas Zorro en face de moi. Un peu brusquement, je levai le haut du corps pour essayer de l'apercevoir mais il n'était pas là. Mon ventre me fit comprendre que ce n'était pas une bonne idée et je dus retomber sur le lit avec un gémissement. Je me recroquevillai sur moi même, les bras autour de mon ventre et attendit que la douleur passe. Où était-il ? A demi-réveillé, je criai à moité :

-Zorro ? Zorro ?!!?

Mon ventre m'empêcha d'en dire plus. J'avais vraiment mal, en plus de la fièvre qui me faisait frissoner. Normalement, ça devait aller mieux, mais peut-être que c'était la dernière soufrance. Et pour la passer, je voulais Zorro. Fermant les yeux, je continuai à murmurer son prénom tandis que je me pliai en deux par la douleur avant de toussoter un peu de bile. Je le voulais auprès de moi. Où était-il ? Zorro...

Rêve...

Noir... Le noir... Tout était noir autour de lui, il était attaché avec des chaînes, de lourdes chaînes que même lui ne pouvait pas briser, mais il se débattait sans relache pour essayer de sortir... Puis il vu... Il y avait son blondinet, en sang. Cela énérvé encore plus Zoro, il tirait de toute ses forces sur les chaines, en criant le nom de son amour. Il se battait pour sa libérté... Il se battait pour son amour...

Fin du rêve.

Zoro se reveilla en sursaut. Il avait eu peur, la premiére fois de sa vie qu'il avait eut aussi peur. Enfaite il n'avait presque jamais eu peur... Dans ses bras, son Sanji dormait. Voyant la vieille dame faisant la cuisine il demanda pas trop fort.

- Vous avez besoin d'aide ?

-Oui s'il te plait, vient m'aider.

Il se leva doucement pour ne pas reveiller Sanji, il alla en cuisine pour aider la vieille. Il travailla longtemps avec elle, ils firent quelques ceuillettes ect... Puis à la fin, ils refirent la cuisine, mais cette fois pour le déjeuner. Soudain, Zoro entendit Sanji criait son nom. Qu'est ce qu'il avait ? Inquiet, il laissa tomba ses légumes qu'il était en train d'éplucher et courut vers son beau blond. Il regarda Sanji, il avait l'air vraiment mal en point, il s'installa un peu dans le lit et il caressa doucement la joue de son blondinet, il le serrait contre lui. Il dit d'une voix calme et rassurante.

-Ne t'en fait pas, je suis la... S'il te plait ne t'inquiéte pas... Je serait toujours la pour toi, tu le sais...

La vieille femme arriva, Zoro tourna la tête et lui dit.

-Je suis vraiment désoler... Je vais devoir rester au prés de Sanji.

-Ne t'inquiéte pas, je comprend tout à fait.

-Merci...

Il déposa un doux baiser sur le front de Sanji, et il posa son front contre celui de Sanji, il était assez chaud ! Le pauvre, il fallait rester auprés de lui ! Il ne voulait pas le lacher, en tout cas il ne pouvait pas. Il resterait avec Sanji jusqu'au bout !

Alors que je l'appelais sans cesse, je sentis la présence de Zorro près de moi. Même les yeux fermés, je le sentais. Une aura peut-être, ou je ne sais quoi. Sa main vint doucement caresser ma joue mais je ne pus esquisser l'ombre d'un sourire à cause de la douleur. Je l'entendis parler :

-Ne t'en fait pas, je suis la... S'il te plait ne t'inquiéte pas... Je serait toujours la pour toi, tu le sais...

Je le savais. Je le savais que trop bien que je pouvais compter sur lui. Seulement, il n'avait pas été là un court moment. Je sentis ses bras m'étreigner contre lui. Même si cela aurait du m'arracher un sourire, je n'y arrivais pas, à cause de la même douleur. J'entendais faiblement le dialogue échangé entre la vieille dame et Zorro. J'ouvris doucement les yeux et vit la grand mère impassible, comme si elle s'y attendait. Puis, ma vue devint flou et je refermai les paupière. Mon bretteur déposa un baiser sur mon front avant de remarquer la fièvre qui me prenait. Doucement, je bougeai mes deux bras afin de les décoller de mon abdomen douloureux pour m'aggriper à Zorro. J'avais mal, si mal que j'aurais voulu que tout se termine S'il n'avait pas été là, je ne sais pas ce que j'aurais fait. Pendant un instant, je crus mourir. Ma vie ne pouvait pas s'arreter là, je ne le voulais pas. J'avais encore tant de choses à réaliser. Et je ne pouvais pas abandonner mon amour de cette façon. Ne n'étions nous pas promis de rester ensemble pour toujours ? Alors tout ne pouvait pas prendre fin ici. J'entendis un vague son. Je reconnus avec difficulté la grand mère. Elle semblait dire une phrase du genre « le voilà », ou une histoire de phase terminale avant que mon estomac atteigne le sommet de la douleur. Je hurlai. Une fois. Les larmes coulèrent et vinrent mourir sur les bras de mon Zorro. De toute mes forces, je m'aggripai à lui pour trouver le courage de résister. Rien que son contact m'empêchait de flancher. Ama approcha, selon les bruits de pas que je percevais. JE n'y fis pas attention. Quelque chose semblait remonter mon corps, jusqu'à me forcer à vomir. Je crachai par terre un mélange de sang, de bile et un espèce de ver ailé. La vieille l'attrapa et le tua. Toutes mes douleurs avaient disparues. Je n'avais plus rien. Encore sous le choc, je restai bien serré contre Zorro. Alors que je cachai ma tête dans le torse de mon bretteur, j'entendis la vieille parler :

- Voilà la vraie forme de la maladie. Ce ver est capable de remonter les artères et te tuer si tu ne l'élimine pas vite : Enfin, après un petit régime le temps que tu te remette, il n'en paraitra plus.

Elle avait osé dire que ce n'était pas grave ! Sur le coup, je lui en voulais un peu mais c'était grâce à elle que j'étais en vie. Tout doucement, je décollai ma tête du torse de Zorro et lui sourit, avant de m'appuyer de tout mon poids sur lui afin de le faire basculer sur le lit, avec moi au dessus. Je posai ensuite ma tête dans son cou, de façon à ce qu'il ne voit pas mes yeux pour laisser libre cours à mes larmes. Je lui murmurai :

-J'ai eu peur de mourir.... et de ne plus jamais te revoir...

Je sanglotai légèrement maitenant. Il me fallut un bon moment avant que je me calme. Les yeux encore trempés de larmes, j'enlevai ma tête de sa cachette, regardai Zorro un moment et l'embrassai longuement. Lorsque je mis fin au baiser, je lui chochutai un petit merci avant de le laisser se relever. Je remerciai également la grand mère pour m'avoir sauvé. Elle dit :

- Ce n'est rien, je ne pouvais pas vous laisser mourir ! Venez plutôt manger tous les deux, ça vous fera du bien !

Il est vrai que, une fois le ver sorti, mon ventre ne cessait de me réclamer de la nourriture. Doucement, j'essayai de me lever mais je dus m'appuyer contre Zorro pour pouvoir aller jusqu'en cuisines. La maladie m'avait beaucoup affaibli, sans parler du fait de ne rien manger. Elle m'invita à m'asseoir et me donna un bol de potage chaud, une tranche de pain et de l'eau.

-Il faut repprendre doucement pour ton estomac. Pour le moment, tu n'as pas le droit à autre chose. Suis bien mes conseils et tu seras sur pieds bientôt !

Je hochai positivement la tête avant de commencer à manger. C'était bien préparé mais il manquait encore quelque chose niveau goût. En même temps, j'étais professionnel mais pas elle. J'avalai tranquillement mon repas d'une main, l'autre étant occupé à tenir celle de mon Zorro. Si les médicaments m'avaient soignés, je n'aurais pas tenu sans lui. Une fois le repas fini, la vieille femme me proposa de me reposer, ce que j'accepta. Avec l'aide de Zorro, je marchais jusqu'à mon lit et m'y allongea. Je le regardai avant de lui dire :

- Tu peux aider Ama pour divers tâches mais... s'il te plait... reste avec moi jusqu'à ce que je m'endorme...

Je lui souris doucement avant de fermer les yeux, profitant de sa présence. J'avais toujours gardé sa main dans la mienne. Je finis par m'endormir. Pas de rêves cette fois, ni de tourments. La maladie avait bel et bien quitté mon corps.

Zoro ne lacha en aucun cas Sanji, Il ne voulait pas qu'il parte ! Non jamais il ne partirait, il ne le devait pas, il ne pouvait pas. Son beau blond s'aggripa à Zoro, Zoro ressera son etreinte. Sanji semblait trés mal, Zoro essayait de le consoler... Il lui caresser les cheveux, tout en lui disant mentalement d'être fort et de résister. Zoro ne pouvait pas imaginer Sanji mourrire. Déja qu'il n'aimait pas qu'on l'abime ! C'était parfaitement inimaginable ! Sa vie sans Sanji, elle ne valait rien. Soudain la vieille femme cria.

-Attention, le voila !

De quoi elle parlait ? De toute facon, elle était folle alors... Son beau blond hurla, et Zoro ne pouvait pas le voir hurler... Il serra les dents. Sanji pleurait à présent, ses larmes coulérent sur le bras de Zoro. Le pauvre... La vieille sembla s'approchait. Soudain Sanji cracha un peu de sang mélangeait avec de la bile, il y avait un éspéce de ver avec des ailes, Zoro haussa un sourcil, c'était quoi ca ? La vieille n'avait pas l'air de se poser de question et elle le tua. Sanji n'avait plus l'air d'avoir mal, en tout cas moins... Il mit la tête dans le torse de Zoro. Celui ci ne put s'empêcher de caresser les cheuveux de son coq. La vieille dit.

- Voilà la vraie forme de la maladie. Ce ver est capable de remonter les artères et te tuer si tu ne l'élimine pas vite : Enfin, après un petit régime le temps que tu te remette, il n'en paraitra plus

Ah, d'accord... Alors c'était ca, la maladie ? Sanji enleva sa tête du torse de Zoro, et sourit, puis il le fit basculer et Sanji se retrouva au dessus de Zoro. Zoro, surpris, ouvrit un instant de grands yeux. Puis il haussa les épaules et sourit, amusé. Sanji mit la tête dans le cou du bretteur, ce qui le fit frissonner un instant. Zoro sentit quelque chose d'humide sur son cou, alors il comprit que son pauvre petit coq, pleurait. Il murmura.

-J'ai eu peur de mourir.... et de ne plus jamais te revoir...

Zoro soupira et caressa la nuque de Sanji, comme pour le rassurer. Sanji enleva sa tête du cou de Zoro, et il le regarda un peu avant de l'embrasser. Comme d'habitude, Zoro fut surpris, car il ne si attendait pas. Mais aprés il n'était plus surpris et il se laissa faire. Puis Sanji mit fin au baiser et il chuchota à Zoro un petit merci, ce qui fit sourire Zoro. Puis il dit merci à la vieille dame et elle dit.

Ce n'est rien, je ne pouvais pas vous laisser mourir ! Venez plutôt manger tous les deux, ça vous fera du bien !

Parfait, Zoro avait faim ! Il se leva doucement et attendit Sanji avant de s'installer à table. La vieille dame servit un bol de potage Chaud, un verre d'eau et une tranche de pain. Zoro commenca à manger, c'était assez bon... La vieille dame dit.

-Il faut repprendre doucement pour ton estomac. Pour le moment, tu n'as pas le droit à autre chose. Suis bien mes conseils et tu seras sur pieds bientôt !

C'est vrai que Sanji ferait mieu de surveiller ce qu'il devait manger... Ah... Le pauvre c'était tout le temps lui qui se ramassait toute les malédictions, toute les maladies... Sanji prit la main de Zoro, Zoro ne broncha pas, il était même heureux...Il serra la main de Sanji tout en mangeant. Une fois le repas finit, ils sortirent de table. Zoro aida son coq à marcher et il s'installérent dans le lit. Sanji dit.

- Tu peux aider Ama pour divers tâches mais... s'il te plait... reste avec moi jusqu'à ce que je m'endorme...

Zoro sourit et hocha la tête, en murmurant un petit "D'accord" Zoro attendit un peu qu'il s'endorment et avant de quitter le lit, il caressa un peu Sanji et il sortit du lit... Puis il aida Ama avec diverses tâches, et enfin le soir, il se coucha en souhaitant bonne nuit à Ama et en le souhaitant à Son petit Sanji, même si il était endormi. Zoro s'installa dans le lit et s'endormit...

Je me réveillai en pleine nuit san aucune raison apparente. IL est vrai que je dormais depuis la mi-journée, mais pourquoi maintenant ? Je tournai la tête et vit Zorro près de moi qui dormait paisiblement. Je souris et me rapprocha un peu de lui. J'avais du l'inquiéter, et surtout lui causer des ennuis. Il fallait que je devienne plus fort. Même si je l'étais déjà à ses yeux. Si je voulais le protéger à mon tour ou tout simplement arrêter de compter tant sur lui, c'était la seule façon. Une chance qu'il soit là, tout de même.
J'entendis un bruit venant de la porte. Instinctivement, je me cachais sous les draps, en faisant semblant de dormir. La vieille femme arriva avec un autre homme. Je reconnus Carimatas. Que faisait-il là ? Je vérifiai alors que Zorro dorme bien. Comment aurait-il réagi en le voyant sinon ? Ils commencèrent une conversation et c'est en serrant la main de mon bretteur que j'écoutais en silence ce qu'ils disaient :

-Comment ça se fait que tu ais ces deux gamins chez toi, Ama ?

-Et toi donc ? Pour les as tu rétréci ? Sanji-kun a frôlé la mort je te signale ! Et Zorro-kun, lui, aurait pu lui aussi être sérieusement touché !

-C'est des gosses encore ! Ils ont osé se moquer de moi !

-Des gosses ? Mais ce sont des gens biens oui ! Sanji-kun a eu le gastérovol. En pleine crise, il a porté jusqu'à chez moi son ami gravement blessé. Qui ferais ça ? Pas toi en tout cas ! Zorro-kun, lui, est très serviable et très gentil, mais un peu maladroit dans ses paroles, c'est tout. Il a tout fait lui aussi pour protéger son ami ! Ils partagent des liens si profonds que personne ne peut comprendre ! Et toi, tu les ensorcèle juste parce que tu ne supporte pas de prendre de l'âge ?

-Tss, t'aurais mieux fait de les laisser crever ! Le blond aurait clamsé très vite en tout cas ! Le désespoir de l'autre aurait été magnifique à voir. Nous sommes en temps de guerre, Ama, et leurs têtes sont mises à prix !

-Recherchés ou pas, tu n'as rien à faire ici sauf les rendre comme avant ! Laisse ces gamins tranquille et surtout, laisse les redevenir normal !

-Non... Ils trouveront par eux-même ! Mais bon, je leur ferai un cadeau, pour demain matin ! [/i]

La suite n'était qu'une sucession de disputes incompréhensibles. Au moins, la vieille était avec nous. Fatigué de les écouter, je me retournai du côté de Zorro pour l'admirer, puis me serrer contre lui avant de m'endormir. NOus verrons bien demain quel est ce fameux cadeau.

Le soleil était déjà haut lorsque j'ouvris une deuxième fois les yeux. J'ouvris doucement les yeux. J'avais faim. Et envie de bouger un peu. Je remarquais que Zorro n'était plus à mes côtés. Il s'était levé sans doute. Je fis de même. Tiens ? J'étais plus haut maintenant ? Je me vis alors dans le reflet de la vitre. Hein ? Je n'étais plus un gamin de huit ans mais maintenant un jeune adolescent d'environ quinze ans ! Je touchai mon visage et mes cheveux pour vérifier si tout était à moi. Oui, c'était bien ça. Et si... et si c'était ça, le cadeau du mage ? Je souris. Au moins, j'étais plus fort. Je me levai doucement et fit marcher mes jambes. J'entrai dans la cuisine ou m'attendait déjà mon bretteur et Ama. IL avait lui aussi grandi. Il avait toujours le même regard qu'en étant adulte mais toujours avec une certaine candeur. C'était peut-être à cet âge qu'il était le mieux. Enfin, je l'aimais toujours autant.

[i]-Tiens, toi aussi tu as grandi ? C'est surement le sortilège qui faiblit un peu par votre comportement. C'est mieux comme ça. Tu récupèrera plus vite comme ça, Sanji. Allez, viens t'asseoir pour manger !

Je m'assis à côté de mon Zorro et mangea ce qu'elle me donna, à savoir de l'eau, du pain et un peu de confiture. Elle me conseilla de me reposer encore une fois, mais j'étais trop plein d'énergie pour ne pas bouger. Je proposai à Zorro d'aller faire un petit tour dehors. Mais avant, la vieille nous prêta des vêtements, car les autres étaient devenus trop serrés. Une fois dehors, je racontai ce que j'avais entendu hier soir. Je ne savais pas quoi en penser, mais une chose est sure, c'est que j'étais plus fort. Après mon histoire, je lui souris et dit :

-Au moins, à cet âge, je suis plus fort ! On va pouvoir vraiment avancer nos recherches et sortir vite d'ici. Cette fois, je pourrais réellement t'aider !

Pendant la nuit, Zoro entendit des murmures, mais il était un peu endormit donc il ne cherchait pas vraiment à s'y intéréssé... Il s'endormit vite...

Le lendemain il se reveilla le premier pour une fois, il se leva et remarqua qu'il était beaucoup plus haut. Hein ? Il s'étira un peu et bailla, puis doucement il alla se regarder dans la glace. Il echappa un petit cri de surprise quand il se vut, adolescent. Au moins il avait des techniques et pouvait plus protéger Sanji. Il marcha jusqu'a la cuisine, où il y avait la vieille. Quand elle se retourna, elle paru un peu surprise et elle dit.

-Tiens, tu as grandi ? C'est une bonne chose !

Puis elle servit Zoro, elle lui donna un verre d'eau, du pain avec un pot de confiture à la fraise. Zoro commenca à mangeait, quand il entendu un bruit. Sanji était levé, lui aussi et il était adolescent, lui aussi. Sanji était plutôt mignon... De toute facon , il était toujours mignon alors...

[i]-Tiens, toi aussi tu as grandi ? C'est surement le sortilège qui faiblit un peu par votre comportement. C'est mieux comme ça. Tu récupèrera plus vite comme ça, Sanji. Allez, viens t'asseoir pour manger !

Oui, il était maintenant un adolescent de 15 ans, tout comme Zoro. Il finit de manger et attendit Sanji. Celui ci lui proposa d'aller faire un tour à l'éxtérieur, Zoro hoch la tête, oui ca leurs feraient du bien de se dégourdirent les pattes... Mais juste avant, la vieille dame nous prêta des vêtements. Enfin, ils sortirent. Sanji lui raconta qu'il avait entendu, la nuit une conversation entre Carimatas et Ama... Ah, tien ? C'était lui qui les avait rendu en adolescent ? C'était étonnant de la part d'un vieux egoïste pareil... Sanji dit.

Au moins, à cet âge, je suis plus fort ! On va pouvoir vraiment avancer nos recherches et sortir vite d'ici. Cette fois, je pourrais réellement t'aider !

Zoro lui sourit et l'embrassa. Puis il mit fin au baiser et lui dit.

-Tu m'as toujours était d'une grande aide.

Aprés leurs balade, main dans la main, ils rentrairent. Zoro dit.

-Je crois qu'on va pouvoir rentrer, Sanji est presque guérit, je pourrais parfaitement m'occuper de lui.

La vieille hocha la tête et les accompagna jusqu'au pas de la porte. Elle leurs dirent aurevoir et ils s'en allérent jusqu'a la cabane...

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