La chasse aux papillons [Zorro/Sanji]

De toutes les autres forêts, la Forêt Sombre avait la particularité de ne pas y être trop éclairée et ainsi de favoriser pas mal de champignons délicieux. Mais je ne m'y promenais pas seulement pour en faire la cueillette. Je cherchais tout simplement à me balader dans un endroit à l'ombre, à l'abri de la chaleur et de la foule. On peut dire que c'était l'endroit idéal lrosque la guerre ne massacrait pas l'endroit.
De toute façon, je n'avais rien à craindre, non pas parce que je me voyais spécialement fort, mais parce que Zorro était avec moi. Il n'y avait pas d'explication rationnelle à ça. Lorsqu'il était là, même une armée de Balrogh ne pouvait m'enlever la certitude d'être en sécurité avec lui. Non seulement il était fort, et toutes les qualités qu'on pouvait lui trouver, mais je l'aimais. Et ça, la science ne l'explique pas.

Nous marchions main dans la main, flânant d'un coin à un autre sans se soucier du reste. Quelques animaux passaient par là, mais la guerre avait un peu dévasté cet endroit. De longs chemins de boue traversaient la forêt, ce qui provoquait la fuite des bêtes alors que l'endroit était encore vivable et beau. Mais ça nous arrangeait justement, que l'endroit ne soit pas bondé. Puis, j'entendis un léger bruissement à quelques pas de nous. Je tournais vivement la tête pour voir un pèlerin en train de cueillir des champignons vénéneux. Sans m'attarder, je lâchai la main de mon bretteur préféré pour aller à sa rencontre et le lui dire :

-Euuuh Monsieur ? Si je puis me permettre, ces champignons ne sont pas comestibles. Vous risquez la mort à les manger.

Il me regarda et lacha le champignon. IL sortit un livre et le feuilleta. Je reconnus un vieux grimoire sur les champignons et il hocha la tête en trouvant l'espèce qu'il venait de prendre. J'eus le temps de le détailler un peu. IL était d'âge mur, légèrement vouté et tenait un bâton de bois. Habillé sobrement, il avait tout l'air d'un humain un peu perdu dans les environs. IL se retourna vers moi et me dit :

-Mer..merci ! Dire que j'allais me tromper, moi, un mage !

-Un mage ? Et bien, je n'aurais pas cru en voir un jour ! Ne me remerciez pas, en tant que cuisinier, c'est mon devoir de vous avertir de ce danger.

-Vous êtes cuisinier ? Ma foi, c'est très bien ça ! Quel est votre nom, jeune homme ? Mon nom est Carimatas.

-Je suis Sanji.. et mon....ami derrière, c'est Zorro !

Je n'osai pas trop lui dire quels liens nous avions Zorro et moi. Je laissai sà mon bretteur un petit sourire et un regard pour lui faire comprendre un peu dans quel situation il fallait nus mettre un court terme, puis, je le rejoignins. Mais le mage m'interpella :

-Dites moi... POur vous remercier, j'aimerais vous inviter chez moi. Je n'habite pas loin. Venez !

Je le regardai, un peu surpris avant de reporter mon regard sur Zorro, lui demandant s'il voulait bien m'accompagner là-bas. Je craignais que le refus de l'invitation ne le frustre un peu. Mais je n'avais pa svraiment envie de m'embarquer là dedans. J'avais un très mauvais souvenir des mages. Très mauvais.

Main dans la main, comme des gamins se promenant en forêt, Sanji et Zoro faisait un tour, non seulement car Sanji faisait la ceuillette de Champignons, mais aussi pour se dégourdire les jambes. Zoro regardait l'endroit. C'était particuliérement frais. Mais ca ne faisait pas de mal à Zoro. Aprés tout, il trouvait que ses derniers temps il faisait chaud. Heuresement cet endroit était loin de tout le monde, de la foule de fan qui les avaient entourés, Une semaine et quelques jours plus tôt. C'était un endroit parfait pour se détendre à deux, surtout en amoureux. Et surtout quand on se sentait bien avec celui qu'on aimait. Oui, Zoro était vraiment amoureux de Sanji et il se sentait bien en sa présence. Il pensa un moment à Chopper, qui était en train de dormir en sécurité dans leurs cabanes. De toute facon il savait que Chopper savait se défendre, il avait tout de même mangé le fruit Zoan. Puis toute son attention se concentra sur un vieillard ceuillant des champignons, Zoro s'y désintéréssa, mais Sanji n'était pas de cet avis, et il dit.

-Euuuh Monsieur ? Si je puis me permettre, ces champignons ne sont pas comestibles. Vous risquez la mort à les manger.

Le vieux lacha ses champignons et concidéra Sanji. Puis il sortit un livre et le feuilleta. Il répondu, de sa voix éraillé.

-Mer..merci ! Dire que j'allais me tromper, moi, un mage !

Ah oui ? Un mage ? Zoro pouffa dans son coin, un mage était censé tout savoir. Il leva les yeux au ciel et Sanji dit.

-Un mage ? Et bien, je n'aurais pas cru en voir un jour ! Ne me remerciez pas, en tant que cuisinier, c'est mon devoir de vous avertir de ce danger.

Mouais, mais ce Mage était franchement un raté, pour un Mage... Puis le viel homme disait qu'il s'appellait Casi...Tamas peut être ? Ou bien, Casiatams ? Zoro n'arrivait pas à prononcé son nom, mais peut importe, ils n'allaient sans doute pas s'attardé avec ce vieillard. Puis Sanji se retourna et il se présenta, et il présenta également Zoro. Le cuistot lui adressa un regard, puis un sourire. Sanji voulut rejoindre Zoro, mais le vieux interpella Sanji.

-Dites moi... POur vous remercier, j'aimerais vous inviter chez moi. Je n'habite pas loin. Venez !

Hein ? Pas question ! Zoro secoua la tête de gauche à droite et déclina l'invitation, non pas poliment loin de la.

-Non merci, je ne veut pas allez chez un vieux, encore moins chez un vieux ma...

Il se rendit compte de la bêtise qu'il venait de dire, il devint rouge, car il était trés embarassé. Le vieil homme était rouge, mais lui rouge de colére. Zoro regarda Sanji, peut être, lui pouvait rattrapé le coups ?

Si je n'osai pas dire ce que je pensais réellement de ce mage ni comme j'ai le souvenir de ce genre de personne, Zorro,lui, n'eut aucune hésitation, ce qui me valut un regard plus que surpris :

-Non merci, je ne veut pas allez chez un vieux, encore moins chez un vieux ma...

Il s'arrêta net. Ils étaient rouge tous les deux, mon bretteur par embarassement et le mage par colère. Zorro me regarda, suppliant, comme s'il espérait que je puise rattraper son erreur. Hélas, je soupirai et lui rendit un regard désolé, comme quoi je ne savais pas quoi faire. Je passa ma main sur le visage et essaya le coup du bluff, en espérant que Zorro suive et que le mage y croit :

-Zorro... Je sais que tu as été maudit par ce genre de personnes, mais ce n'est pas la même. Je sais très bien tout ça, mais ce n'était pas une raison. Excusez moi, Carimatas, de l'impolitesse de mon ami, mais il a vécu des moments assez durs avec les mages et a du mal à s'en remettre, surtout qu'il n'est pas des plus... polis, disons ça comme ça.

Mais cela n'apaisa pas le vieux mage. Il avait du senti que je mentais. Physiquement comme mentalement, je me préparais à lui faire face? Je n'avais jamais encore combbatu un magicien, mais ça ne pouvait pas être si dur. Puis, il parla :

-Vous avez..osé vous moquer de moi... On n'apprend pas à un vieux singe à faire des grimaces. Je sais que ce n'est qu'un tissu de mensonges... Je voulais simplement vous inviter... En fait, tu n'es pas comme je le pensais... Sanji... Tu n'es qu'un jeunot qui ne sait pas marcher, et qui essaie de guider ton ami sans même savoir où tu vas ni pouvoir le protéger...

-Il n'en a pas besoin ! Arrêtez vos histoires, s'il vous plait ! J'en menti, je le sais, mais je vous prie de nous excuser... Il ne voulait pas vous...

-Il suffit ! S'il suffisait de simples excuses ! Vous ne ressortirez pas de cet endroit ! Tant que vous n'ayez pas grandi !

Une masse d'énergie rouge se concentra autour de lui. Je ne savais plus quoi faire. Puis, il l'envoya sur nous. Je sentit mon corps rappetisser. MOn champ de vision changea. Puis, le mage disparut en montrant un objet, une espèce de petite boite noire rectangulaire. Il dit dans un souffle :

-Trouvez cet objet... Et vous pourrez sortir d'ici... Je vous donne cette chance, car tu m'as sauvé la vie, Sanji-kun ! Maintenant, sauvez vos propres vies plutôt !

IL avait complètement disparu. Sans savoir pourquoi, j'avais un champ de vision plus bas Je cherchais Zorro et le vit en face de moi. Je ne le reconnus pas tout de suite. Devant moi se tenait un petit garçon d'environ huit ans, avec les cheveux verts et trois boucles d'oreilles.

-Zorro... tu ...

Ma voix avait changé. J'avais de nouveau ma voix d'enfant. Je m'en doutais. MOi aussi j'étai sredeenu un enfant. Un peu paniqué, je me regardais. C'était bel et bien moi, mais ne plus petit. Mais alors...la force aussi ? Qu'est ce qui s'était passé ?

-Zorro... on... on est... on est redevenu gamin...

Je comprenais mieux son expression de gamin. Il s'était vengé admirablement bien. C'était vraiment une bonne idée. Mais nous étions dans la mouise. Maintenant, j'avais peur, un peu. Jusqu'à quel point nous avait-il rajeuni ? Je pris la main de Zorro. Je ne dis rien mais ma peur avait déjà été transmise par ce simple contact.

Zoro réprima une grimace, Sanji tenta de mentir, mais cela ne servait pas vraiment à quelque chose, la grimace de Zoro s'agrandit. Finalement le vieux mage parla.

-Vous avez..osé vous moquer de moi... On n'apprend pas à un vieux singe à faire des grimaces. Je sais que ce n'est qu'un tissu de mensonges... Je voulais simplement vous inviter... En fait, tu n'es pas comme je le pensais... Sanji... Tu n'es qu'un jeunot qui ne sait pas marcher, et qui essaie de guider ton ami sans même savoir où tu vas ni pouvoir le protéger...

Zoro se tapa le front avec la paume de sa main. Vraiment, mais quel idiot il faisait ! Un jeunot qui ne savait pas marcher ? Hein ?! Il mit la main sur son fourreau,on ne parlait pas de son Cuisinier comme ça ! Zoro grogna et il lanca.

-Espéce de vieux hiboux ! Tu n'as pas à insulté mon ami comme ca !

Mais malheuresement cela ne faisait rien au vieux mage. Sanji protesta, le vieux répondit.

-Il suffit ! S'il suffisait de simples excuses ! Vous ne ressortirez pas de cet endroit ! Tant que vous n'ayez pas grandi !

Grr ! Ce vieux hiboux commencait à lui taper sur le systéme nerveux. Il fronca les sourcils, il recommencait une seule insulte, il allait y passait ! Il n'y allait pas tout de suite, par respect des vieilles personnes, mais malheuresement Zoro sous estimer le vieux mage... Puis le vieux envoya un espece de rayon qui frappa Zoro de plein fouet, ce qui l'aveugla un court instant. Il se sentit, changer, comme ci son corp... Oui comme si son corp devenait plus... Petit ! Puis le vieux lanca

-Trouvez cet objet... Et vous pourrez sortir d'ici... Je vous donne cette chance, car tu m'as sauvé la vie, Sanji-kun ! Maintenant, sauvez vos propres vies plutôt !

NANI ?! Il avait osé dire Sanji-Kun ! Il avait osé ! C'était son blondinet ! Son blondinet rien qu'a lui . Zoro mit la main sur son fourreau sortit son sabre, il était lourd dit donc ! Mais en esseyant d'attaqué, il trébucha sur ses vêtements trop grands. Le vieux disparu. Zoro la face écrasé au sol, grogna de colére. Il ne pouvait pas laissé ce vieux filait comme ca. Il avait un honneur lui ! Puis il se releva et soupira. Sanji parla d'une voix... Vraiment enfantine. A quoi il jouait ? Il se retourna et fut frappé par la vision qui se tenait vers lui. Il ouvrit de grands yeux ébahit.

-On est des gosses ?... CEST PAS POSSIBLE !

Il cria la derniére phrases de sa voix de gamin de huit ans. Heuresement il avait encore ses katanas. Mais ses vêtements était beaucoup trop grands ! Il soupira de nouveau. Le petit blond lui donna la main. Zoro avala sa salive, ne sachant que faire. Il soupira et entraina Sanji. Il allait trouvé d'abord de la nourriture, il demanda.

-Peut tu me dire ou il y a de la bonne nourriture ? S'il te plait ?

Zorro lui aussi ne semblait plus y croire. Malheureusement pour lui, sa force avait beaucoup diminué et ses katanas devaient lui sembler beaucoup plus lourd. Mais le problème principal était les vêtements. Je nageai dedans si bien que mon pantalon avait glissé. Je resserai au maximum alors la ceinture avant de couper somairement le bas pour qu'il ne soit pas trop long. POur la chemise, je la retroussai comme je pouvaiset la ressera au nievau de la taille avec un pan de mon pantalon. Je devais avoir une fière allure, comme ça. Ou plutôt piètre allure.
Zorro commença à me guider. J'avais vraiment trop peur, non pas que je sois froussard, mais parce que j'avais peur d'être réellement redevenu celui que j'étais à huit ans, c'était à dire un faible. Je n'avais pas mes coups de pieds, je n'avais même pas la moitié du courage de Zorro. Je n'avais plus rien. Le cliquetis méttalique des sabres de mon bretteur me sortit de ma torpeur. IL devait porter les trois mais cela devait faire atrocement lourd maintenant. Je savais qu'il y tenait plus que sa vie, mais peut-être qu'il voudrait bien que je lui en porte un.

-Dis Zorro... T'es sur que... tu ne veux pas que je prenne l'un de tes sabres ? J'ia l'impression... que ça fait un peu lourd comme charge... Après, si tu veux pas...

Nous marchames encore un peu, sous la commande de Zorro. Puis, il me demanda :

-Peut tu me dire ou il y a de la bonne nourriture ? S'il te plait ?

Je levai la tête et réfléchit. J'étais toujorus cuisinier et j'avais toujours cette force là. Même si je n'étais qu'un gamin, faire la cuisine n'était pas une question de taille ni de force. Mes connaissances étaient restés telles quelles. J'avaçai un peu moi mêm eet regarda autour de moi pour trouver un arbre. Je le pointa avant de commener à monter dessus :

-Ces fruits sont comestibles... Attends, je vais en chercher.

J'étais plutôt doué pour grimper aux arbres et très vite, je fus assez haut pour atteindre les fruits. Je le slançai à Zorro avant de redescendre, une fois qu'on en avait asse. Nous étions toujorus des enfants, qu ece soit dans l'apetit ou dans la force. Je réfléchis encore un court moment, avant de dire à Zorro :

-Ce sort là... il doit être très puissant... Nous empêcher de sortir d'ici en laissant un objet adéquate et... le rajeunissement... C'est beaucoup. Il a beau se tromper, il a une réelle force, et c'ets peu dire. Par contre, il ne pourra pas jouer avec la nature en sa faveur. Normalement, la forêt restera la même. IL reste quand même un certain nombre de danger, mais pas celui des Balrogh ou je ne...

J'avai slégèrement tourné la tête pour voir un epsèce d'araignée aussi grosse que ma main. Mon sang n'avait fait qu'un tour et j'avais crié, en m'aggripant à Zorro. S'il y avait bien une chose dont j'avais peur, c'était ce genre de bestioles. Je restai là, tremblant. J'avais oublié que, plsu petit, je voyai les insectes. Finalement, la partie allait être plus dur que je ne pensais.

Sanji avait demandé si il voulait bien qu'il porte un de ses sabres. Zoro soupira, habituellement personne, je dit bien, personne n'aurait eu le droit de touché à ses sabres. Mais la, ce n'était pas vraiment pareil, c'était son p'tit blondinet à lui. Il soupira et hocha la tête. Sanji leva la tête et sembla réfléchir, Il regarda attentivement un arbre, et il regardait également ses fruits. Il conclut.

-Ces fruits sont comestibles... Attends, je vais en chercher.

Zoro acquiesca. Même petit, Sanji était trés doué pour monter aux arbres, et il arriva assez vite en haut. Sanji lui lanca des fruits qu'il rattrapa habilement. Puis il redescendit. Le petit Sanji réfléchit encore un petit moment, puis il dit.

-Ce sort là... il doit être très puissant... Nous empêcher de sortir d'ici en laissant un objet adéquate et... le rajeunissement... C'est beaucoup. Il a beau se tromper, il a une réelle force, et c'ets peu dire. Par contre, il ne pourra pas jouer avec la nature en sa faveur. Normalement, la forêt restera la même. IL reste quand même un certain nombre de danger, mais pas celui des Balrogh ou je ne...

En effet, ce sort semblait vraiment puissant. C'est vrai que même si il s'était trompé, il était fort. Zoro rougit un instant, c'était lui qui avait déclencher tout ça. Il baissa la tête et dit.

-Je suis désoler... C'est de ma faute si tout ca est arrivé... J'aurai jamais du dire ca... Mais bon, je le revoit ce Mage, je le coupe en rondelle, croit moi !

Puis il allait s'asseoir, Quand soudain Sanji s'accrocha à Zoro. Il avait crié. Il y avait la, une assez grosse araignée. Zoro haussa un sourcil, il avait peur des araignées. Il soupira et Mini Zoro écrasa l'araignée avec son talon. Puis il demanda à Sanji.

-Alors comme ça tu est arachnophobe ? T'inquiéte pas, je te protégerait contre elle, si tu veut.

Il sourit un peu. Puis une fois tranquille, il s'assit et bailla, il invita Sanji à faire de même. Il mit les fruits dans ses poches, et il doucement, sans vraiment s'en rendre compte, il mit la tête sur les genoux de Sanji et s'endormit.

Zorro m'avait confié l'un de ses sabres. J'avais vu un instant d'hésitation avant qu'il me le donne. J'avais souri. Il me vouait vraiment une confiance totale. Remarque, c'était réciproque.
Mon mini bretteur s'excusa d'avoir offensé le mage. Mais ce n'était pas ça, le problème. Je suis sur qu'il aurait quand même fait quelque chose. Je n'avais vraiment confiance en ce genre de type. Quelque chose em disait qu'il ne nous invitait pas seulement pour une visite.

-Non, je ne pense pas qu'il s'est juste offensé par ce que tu as dit. Il... Il essayait peut-être de préparer un poison, ou alors se faire corriger par un jeunot l'a aussi vexé. Je pense qu'il est beaucoup plus fort qu'on ne le croit. Mais tu pourras le découper en rondelles... Si tu me laisse lui éclater sa tronche de vieux.

Je lui en voulais tout autant. Je n'aimais rétrécir et revenir sur mon passé. Enfin, il le fallait bien et je n'étais pas seul. D'ailleurs, le mini Zorro que j'avais avec moi était vraiment trop chou.
Puis, l'araignée revint en face de moi. Je vis Zorro hausser un sourcil avant d'écraser l'arachnide. Je regardais toujours la bestiole, encore un peu apeuré, toujours accroché à lui. S'il y avait une chose que je ne supportais pas, c'était ces bêbêtes là. Depuis tout petit, je ne pouvais pas les voir.

-Alors comme ça tu est arachnophobe ? T'inquiéte pas, je te protégerait contre elle, si tu veut.

-....oui...je t'en... prie....

Il avait souri. Je me détendis un peu. Nous nous asseyâmes par terre. Je déposai le sabre à côté de moi. Puis, doucement, Zorro somnola et s'endormit sur mes genoux. Il était trop mignon comme ça. Résigné à veiller sur lui, je carressai doucement ses cheveux, toujorus aussi doux, et regardai tout autour de moi, en gardant un oeil sur lui. La forêt était dangereuse, surtout pour des gamins comme nous. Si jamais un animal nous attaquait, je ne savais pas quoi faire à part fuir. Je tremblai un court moment avant de me resaisir. Gamin, je n'étais pas courageux et j'étais seul. Maintenant, j'avai schangé. Je réfléchis alors sur la façon de coment survivre et sortir de là. Il nous fallait une cabane... Dans un arbre pour éviter les ours et les sangliers. Sortir le jour et chercher dans un périmètre bien formé avant de rentrer. Chercher la boite noire. A force, je sentais le sommeil me gagner. nefant, nous avions beaoucoup plus besoin de dormir. Mais je devais veiller sur Zorro.
J'entendis un cri d'oiseau qui me fit sursauter. Décidement, j'avais vraiment trop peur. Je regardais Zorro dormir, et retrouva mon courage. J'étais toujours le même, il fallait que je m'en persuade. Puis, un énorme vautour se posa en face de moi. IL lorgnait Zorro avec un drôle d'air.

-Il..il n'est pas mort..; Va t'en... Allez, va t'en !

Mais il attendait sagement que je parte. Je pris peur. Mes coups de pieds n'allaient avoir aucun effet. J'empoignai le sabre que mon bretteur m'avait confié et je le tira. J'essayai de faire fuir l'oiseau mais il ne voulut pas bouger. Alors je décalai Zorro pour me lever et fonça sur l'oiseau. Je le touchai les pattes et il s'envola ne criant de douleur. Son sang m'éclaboussa. J'étais poisseux mais j'avais sauvé mon ami. San splus tarder, je le remis dans sa position initiale, toujorus en surveillant les alentours. Pas d'insecte, ni rien. Le calme plat. Et ce fut ça qui m'endormit, toujours la main dans les cheveux de Zorro

Zoro se reveilla doucement, et vit que Sanji avait les mains sur ses cheuveux. Délicatement il s'enleva et il s'assit à cotés de Sanji, il était vraiment mignon, comme ca en Mini Sanji, surtout quand il dormait. Il posa sa tête sur les épaules du petit blondinet. Il était poisseux, plein de sang. Zoro rétira sa tête de son épaule et prit un bandana qu'il avait gardé en poche (Oui Zoro a toujours un bandana de rechange x) ) Il était vieux, et Zoro ne le mettait presque plu, alors doucement il essuya le visage de Sanji avec. Puis il secoua le bandana et le remit dans sa poche. Brusquement, il entendit un bruit sourd. Il se retourna et fut stupéfait... Il avala sa salive, il y avait un sanglier qui les regardaient... Comme un prédateur. Zoro savait qu'il ne fallait pas reculé en présence d'un Sanglier. Alors il le regarda droit dans les yeux, il s'avanca. Le sanglier recula et fuit. Le petit bonhomme aux cheuveux vert soupira et s'assit de nouveau à cotés de Sanji. Son ventre gargouilla et il sortit les fruits de sa Poche, il en mit un sur les genoux de Sanji et en mangea un autre. Il était bon, ce fruit !
Puis une fois avoir mangé, il réfléchit... Comment est ce qu'ils pourraient survivre ? Il se le demandait bien... Il fallait construire une cabane, peut être même chassé... Et puis bien sûr, trouvé la boite noire... Il soupira... Par quoi allait -il commencé ? Bon il allait déja attendre que Sanji se reveille. Alors c'est ce qu'il fit... Il attendit que Sanji se reveille; tout en guettant le moindre petit animal ou le moindre danger.

36 tourments.... 72 tourments.... 108 tourments... Nuit sans sommeil... et le démon se réveille... Comme un mirage, ce qui était un devint trois. Je me lève et marche, mais je ne suis plus seul, je suis trois. L'un de moi est habillé en bleu, l'autre en rose et le dernier en vert. Puis, un quatrième en blanc apparut. 144 Tourments...le rouge m'envahit et je redeviens bébé. Un enfant de deux ans qui ne rêve que d'être aimé. Sa mère, mourrante, son père, medecin et mage complètement bourré. Il y eut des coups, des fuites, de la faim et du désespoir. Sous un ciel orageux, je marche, à quatres pattes, dans la boue et essaie de vivre. Je cherche le bonheur, à fuir, mais bien vite, il me rattrape encore. Le vent chante encore.

Entends tu le hurlement d'un jeune loup qui se meurt d'amour ?
Entends tu les pleurs du chat sauvage au petit jour ?

L'air du vent. Ma marche s'arrête bientôt. Je grimpe pour me cacher. Tout n'est que silence et tristesse. Tout ? Presque. Je ne suis plus seul, mais quatres. Et un cinquième tente d'apparaitre. 180 Tourments...

Je me réveille doucement. Je n'avais fait qu'un rêve san sfin, où mon image ne cesse de se multiplier. Je vis Zorro à côté de moi, réveillé, en tran de scruter les alentours. Je n'avais plus autant de snag sur moi mai sje ne cherchais pas à comprendre. je bailla en me frottant le syeux pour y voir bien clair. Puis, je m'étire un peu et dit à Zorro :

-Désolé... je me suis endormi... je devais veiller sur toi et...

IL avait l'air de faire exactement la même chose que moi : me veiller. Je n'avais pas tenu mon rôle jusqu'au bout. Enfin, je devais surement avoir besoin de dormir. Enfin, maintenant, il fallait s'activer. Si nous voulions survirvre, il fallait agir vite et tout prévoir. Nous étions redevenus des gamins, donc il fallait ruser et non compter sur la force brute. Je réfléchis une seconde, puis dit à Zorro :

-Il faudrait...construire une cabane en hauteur. Nous n'avon splus la même force qu'en étant adulte et... je tiens à te prévenir... je n'ai aucune force dans mes coups de pieds. Donc, je suis qu'un faible gamin sans défense. Mais par contre, je sais encore ce qu'il faut faire pour survivre dans cet enfer. Il va donc falloir qu'on contruise une cabane dans un arbre pour y dormir et s'y protéger. Ensuite... un epetite réserve de nourriture, mais petite et qu'on récoltera chaque jour. Et... après... il faut faire des recherches de la boite noire. Mais bien organisé pour la trouver plus vite. Sortir le jour, et la nuit se cacher... et dormir...

Une autre araignée se tenait devant moi. je tentais de garder mon calme mais je tremblai toujorurs. J en'avais bougé, ni crié, j'étais juste pétrifié. Une petite larme avait perlé. Je pus articuler le nom de mon mini bretteur pour qu'il m'aide. J en'aimais pas ces bestioles. Je ne les supportais pas. Une fois écrasé, je me levais, toujorus tremblotant, et dit :

-On..on va construire là haut... C'est assez solide... et y'a pas de nourriture pour attirer les animaux... TU peux m'aider...s'il te plait ?

Zoro regardait les alentours, quand Sanji se reveilla. Zoro tourna la tête vers Sanji et regarda son mini cuistot. Il bailla et se frotta les yeux. Puis il dit.

-Désolé... je me suis endormi... je devais veiller sur toi et...

Zoro haussa les épaules, ce n'était pas grave, ils étaient toujours la. Zoro veillait Sanji, en regardant les alentours, pour pouvoir le portéger. Il espérait vraiment qu'ils puissent sortir de la, car pour son rêve c'était galére ! Pour le rêve de Sanji aussi c'était galére, car il était carrément coincé ici... Et il fallait retrouvait cette boite noire...

-Il faudrait...construire une cabane en hauteur. Nous n'avon splus la même force qu'en étant adulte et... je tiens à te prévenir... je n'ai aucune force dans mes coups de pieds. Donc, je suis qu'un faible gamin sans défense. Mais par contre, je sais encore ce qu'il faut faire pour survivre dans cet enfer. Il va donc falloir qu'on contruise une cabane dans un arbre pour y dormir et s'y protéger. Ensuite... un epetite réserve de nourriture, mais petite et qu'on récoltera chaque jour. Et... après... il faut faire des recherches de la boite noire. Mais bien organisé pour la trouver plus vite. Sortir le jour, et la nuit se cacher... et dormir...

Zoro hocha la tête, effectivement il fallait commencé à construire la cabane, mais comment ? Zoro soupira et demanda.

-Bon je doit certainement être bêtes, mais comment comptes tu faire une cabane ? On est que des gosses aprés tout...

Puis Sanji appella faiblement le petit bretteur, il alla à sa rescousse et courut écrasé l'araignée. Il sourit et prit la main du mini cuistot. Puis il dit.

-T'en fait pas, toutes ces vilaines petites araignées seront éxtérminé !

Puis son mini coq lui dit, toujours aussi tremblant.

-On..on va construire là haut... C'est asse-z solide... et y'a pas de nourriture pour attirer les animaux... TU peux m'aider...s'il te plait ?

Zoro hocha la tête et commenca à rassemblé des objets pour pouvoir construire la cabane. Il commenca à la construire et demanda à Sanji.

-Dit, Kawai-Sanji, tu peut m'aider ? S'il te plait ?

Kawai-Sanji était le nouveau surnom de Sanji, il fallait bien qu'il lu en trouve un !

Nous commençâmes à construire la cabane en hauteur. Il fallait d'abord rassembler des matériaux avant de les monter. Installé sur une branche, je prenais les objets pour les poser là-haut. Zorro m'avait gentimment demander de l'aider, ce que je fis. J'avais toujorus construit des cabanes dans les arbres depuis tout petit. Alors la taille importait peu.

-Dit, Kawai-Sanji, tu peut m'aider ? S'il te plait ?

-Euuuh bien sur. Tu vas me passer les objets par en bas et je m'occupe du reste. J'ai toujours su faire ça, quand j'étais gamin... Enfin, par le passé quoi.

Il m'avait trouvé un nouveau surnom. Kawai-Sanji ? Ce ne sonnait pas mal, mais je préférais mon Zorro-chou. Enfin, normal, le seul surnom que j'aurais pu me donner était celui de la MArine, La jambe noire. Mais celui-ci était mignon. Mon mini bretteur et moi finirent de construire notre cabane et je testai sa solidité. Tout allait bien. J'invitai Zorro à monter et lui présenta l'endroit. C'était somaire mais largement suffisant. Nous n'allions pa srester ici pour la vie, tout de même.

-Voilà ! C'est notre chez-nous ! Enfin, provisoirement...

Je sortis de la cabane et sauta par terre. Maintenant, il fallait entamer les recherches. j'attendis que Zorro-chou me rejoigne avant de lui demander :

-Maintenant, il va falloir faire quelques recherches et plus de trouver un peu de nourriture sur le retour. Mais il ne faut pas cehrcher deux fois au même endroit. Alors on commence par où que je le note ?

Je cherchais un stylo dans ma poche et le sortit. Avec ça, je pouvais marquer les arbres et de cette façon, noter notre position. J'avais aussi le sabre de Zorro mais je ne voulais pas l'abimer ni l'utiliser, sauf en cas d'urgence. Au moins, je pouvais me défendre avec, même si ce n'était rien. Nous commeçames à chercher. Je serrai fort la main de Zorro et regardai partout nerveusement. Je vis des arbres fruitiers et des champignons comestibles. Je marquai les arbres pour le chemin du retour.

-Au moins, on ne mourra pas de faim ni de soif. Il y a un cours d'eau pas loin. Espérons juste que la guerre n'arrivera pas là et qu'il n'y ait pas trop d'animaux. J'espère que la chance sera un peu avec nous.

Mais toujours aucune trace de la boite noire. Comme si ça allait être facile. Je réfléchissais en même temps que je marchais. Il allait encore falloir ruser. IL l'avait pas seulement laissé tomber mais l'avait bel et bien caché. A mon avis, dans un endroit innacessible, ou difficile, ou pire encore. Ce foutu mage ne m'avait laissé à peine une chance. Il voulait réellement qu'on grandisse ! Mais je ne voulais pas passer ma vie ici moi ! J'avais bien autre chose à faire ! On avair laissé CHopper tout seul, et puis, je ne voulais plus être le petit gamin faible. S'il fallait tout réapprendre, je n'allais pas pouvoir.
Nous nous étions assez éloigné maintenant. J'entendis un cri derrière moi. Doucement, je me retournai. Il y avait le même vautour qui voulait boulloter Zorro, avec un Loup-garou. Il n'avait pas l'air commode. Mais pas du tout. Je me rapprochai de plus en plus de Zorro jusqu'à le coller presque.

-Zo..Zorro ? On a un problème là.... Il... le vautour...je l'ai... excuse moi.. c'était pour te sauver...

Je ne savais absolument pas me défendre et je n'osai pas bouger? J'espérais seulement que le Loup-garou n'attaque pas. J'allais être un poinds pour Zorro plus qu'un aide. MAis je croyais encore à la chance et en Zorro. Avec un peu de chance, il était resté assez fort et l'effet de surprise pouvait être en notre faveur grâce à nos apparences de gamins.

Sanji vint l'aidé et il dit.

-Euuuh bien sur. Tu vas me passer les objets par en bas et je m'occupe du reste. J'ai toujours su faire ça, quand j'étais gamin... Enfin, par le passé quoi

Alors Zoro joua son rôle, il lui passa les objets. Une fois que son mini coq et lui eurent finit, Sanji invita Zoro à monté. Il monta et Sanji lui présenta l'endroit, c'était pas mal, il y avait juste un grand lit. Zoro s'assit dessus et soupira. Il fallait trouvé la boite noir, mais sans doute plus tard... Puis Sanji descendit, Zoro le suivit.

-Maintenant, il va falloir faire quelques recherches et plus de trouver un peu de nourriture sur le retour. Mais il ne faut pas cehrcher deux fois au même endroit. Alors on commence par où que je le note ?

Petit Zoro acquiesca. Oui en effet il fallait commencer à faire quelques reserves. Sanji lui demanda par ou il allaient commencer, Zoro haussa les épaules, il n'en avait aucune idée, l'endroit était plutot... Comment dire, assez grand et il y avait un large choix de direction... Pourtant ils se mirent en route, Sanji serra fort la main du petit bretteur et Zoro fit de même. Il y avait des champignons et des fruits, mais il n'avait aucune idée si ils étaient comestible, c'était Sanji le spécialiste, aprés tout ? Son petit blond marquait les arbres pour le chemin du retour. Puis il dit.

-Au moins, on ne mourra pas de faim ni de soif. Il y a un cours d'eau pas loin. Espérons juste que la guerre n'arrivera pas là et qu'il n'y ait pas trop d'animaux. J'espère que la chance sera un peu avec nous.

Oui c'était sur, il y avait presque tout ce qu'il fallait dans cet forêt, en tout cas en nourriture. Zoro dit.

-Ne t'en fait pas, nous y arriverons, j'en suis sur !

Zoro serra à son tour la main de Sanji, en tout cas il éspérait, car si ils passaient tous les deux leurs vies ici, pour leurs rêves c'était fichu ! Et en plus ils avaient laissé Chopper tout seul... Il allait sans doute s'inquiéter... Zoro soupira, comment Chopper réagira quand il ne les verra plus ? Si ca se trouve il est déja reveillé... Soudain un cri retentit, Zoro n'y fit d'abord pas attention, mais son blondinet lui, était collé à Zoro et il dit.

-Zo..Zorro ? On a un problème là.... Il... le vautour...je l'ai... excuse moi.. c'était pour te sauver...

Zoro se retourna lentement et il fit face... A un vautour accompagné par un loup garou ! Il ouvrit de grands yeux ébahit. Il ferma les yeux et il dit à Sanji.

-Reste en arriére, Sanji-Kun je te protége !

Même si ils étaient un peu lourd, Zoro prit ses deux sabres qui lui rester. Il courut vers le vautour et le loup garou, pour le vautour ce fit facile, il était déja bléssé, Zoro lui coupa un bout de ses ailes et il ne put plus volé, aprés il acheva son travail avec un bon coup de sabres dans la poitrine. Puis ce fut au tour du loup garou, qui fut cette fois, beaucoup plus impressionant ! Mais Zoro avait un honneur, et il ne le laisserait jamais tombé, alors évitant les coups de griffes et les coups de crocs du loup garou, alors que celui ci essayait de mordre Zoro en se baissant, Zoro planta son sabre dans la truffe de l'abominable monstre poilu. Il hurla et Zoro en profita pour achevé son travail pour le bléssé à l'épaule, il fuit. Zoro était tout de même bléssé. Et un enfant ne pouvait tenir le choc, alors il s'évanouit...

Zorro se retourna doucement et fit une tête ébahi avant de reprendre son sérieux et de se concentrer. Il cria et partit au combat :

-Reste en arriére, Sanji-Kun je te protége !

Je serrai son dernier sabre et le regarda combattre. Il tua le vautour très vite. La blessure que je lui avais faite l'avait assez affaibli. Zorro découpa l'une de ses ailes puis l'acheva par un coup dans la poitrine. POur le loup-garou, ce fut plus dur. Zorro réussit à esquiver ses attaques grâce à sa petite taille mais il ne put en éviter quelques uns.

-Zorro !

Il lui trancha la truffe avant de le finir à l'épaule. Le loup partit en hurlant. Je fus osulagé, mais dès que je vis Zorro tomber, je pris peur et alla le voir en courant. Il était blessé et son corps d'enfant n'y avait pas résisté. Je m'epressai de regarder ses blessures pour les soigner. Grâce à la richesse de la forêt, j'ai pu trouver des herbes pour désinfecter et le soulager. Puis, je confectionnai des bandages avec le bas de mon pantalon. Une fois fait, j'attendis qu'il se réveille.
Soudain, j'entendis un hurlement, celui d'un loup. Je pris peur. Les loup-gaours revenaient ? J'essayai de porter mon bretteur mais je ne tenai pas cinq mètres. Les hurlements approchèrent. Que faire ? Que faire ? Je vis la meute arriver. Ce n'était pas des Loup-garous mais de simples loups qui passaient par là. Une bande de sept loups. Je m'approchai doucement, en laissant le sabre de Zorro à côté de lui. J'essayai de leur parler, doucement, comme je l'avai sfait chez les loups avant. Ils comprirent qe nous n'étions pas des dangers. Mieux encore, ils commençèrent à essayer de réveiller Zorro. Dès qu'il ouvrit les yeux, ils me laissèrent passer pour que je le voie. Je soupirai de soulagement. Il avait l'air d'aller bien, heureusement.

-Zorro... Tu vas bien... J'avais... j'avais peur... que tu sois vraiment gravement blessé... Faut pas que tu laisses ta vie juste pour me sauver ! Tu sais très bien que je te tuerais si tu meurs ! Espèce d'idiot !

Je n'étais pas crédible vu que quelques larmes avaient perlées. Je lui pris sa main et la serra. Finalement, on s'en était bien sorti. Enfin, je 'navais pas fait grand chose. Je m'éloigna un tout petit peu de lui et cueilla quelques fruits et champignons que je mis dans ma poche. J'en pris un et le mit dans la main de Zorro avant d'en manger un. Je me rendis compte ensuite que le sloups étaient toujours là.

-EUuuuh les loups...m'ont..aidés.. à te réveiller. Ils sont gentils...ne t'inquiète pas... Je... j'ai pu leur parler... Nous en serons pas en danger.. avec les loups.

ILs voulurent me dire quelque chose. Je compris. La guerre allait bientôt arriver ici, mais pa slà où nous logions. Il me dirent aussi que la tanière n'était pas loin et que je pourrais venir. Je leur demandais pourquoi tant dégard envers nous et ils me dirent qu'ils n'aimaient pas le lanceur de sort. Le mage, sans doute. Les loups sont des créatures bien étranges. Ils savaient qu'on était ensorcelé. Je hochai la tête et les remercia. Ils partirent en me laissant un hurlement, comme pour inndiquer le mot de passe d'un appel à l'aide. Je me retournai ensuite vers Zorro.

-La guerre arrivera ici, mais pas dans la cabane.... Il va falloir etre prudent si on veut chercher dans ce coin. Les loups peuvent nous aider, mais très peu. Et puis, tu seras là... Mais je ne veux pas que tu risque encore ta vie, d'accord ? Je ne t'aide pas beaucoup, et même si tu me portes autant d'affection, je ne veux pas que tu meurs pour moi. Je peux encore faire diversion.

Il avait aussi son honneur à protéger, je le savais, mais il fallait qu'il comprenne que son corps d'enfant était beaucoup moins résistant que celui d'un adulte. Je pouvai strès bien m'enfuir pour faire diversion. POur le moemnt, je me sentais un peu inutile, sauf par mes idées et mes connaissances. Mais bon, je ne savais même plus me défendre. Alors je me demandai svraiment si je n'étais une gêne plus qu'atre chos epour mon Zorro-chou.

Zoro sentit qu'on le touchait. Il s'entit comme ci quelqu'un l'enveloppait de quelque chose. Il entendit comme un murmure, quelqu'un qui parlait doucement, puis il sentit quelque chose de froid et d'humide. Il se reveilla en sursaut au contact froid. Il soupira et regarda les loups, Sanji dit.
-Zorro... Tu vas bien... J'avais... j'avais peur... que tu sois vraiment gravement blessé... Faut pas que tu laisses ta vie juste pour me sauver ! Tu sais très bien que je te tuerais si tu meurs ! Espèce d'idiot !

Zoro haussa les épaules, c'était pas logique, si il mourait, comment Sanji pouvait le tuer ? Bizzare... Zoro retorqua.

-Je ne mourait pas de toute facon...

Puis Sanji dit.

-EUuuuh les loups...m'ont..aidés.. à te réveiller. Ils sont gentils...ne t'inquiète pas... Je... j'ai pu leur parler... Nous en serons pas en danger.. avec les loups.

Zoro haussa les épaules, il regarda Sanji droit dans les yeux... Ses magnifiques yeux... Bleu... Il se perdait dedans, ils étaient si beaux... Zoro secoua la tête pour ne pas trop se perdre dedans et pouvoir répondre.

-Tu sais, j'en ai pas l'air comme ça , mais j'aime plutot bien les animaux, enfin je veut dire, je ne les détéste pas, je les aime bien.

Ce n'était pas une passion, maisi il aimait tout de même un peu les animaux. Il s'entendait assez bien avec eux, doucement il caressa la tête du loup, Son pelage était doux ! Il avait l'air d'aimer ca. Puis Sanji et les loups entamérent une conversation. Puis Sanji hocha la tête et sembla vouloir les remerciait, ils partirent et lancérent un dernier appel à Sanji. Puis son petit blondinet tourna la tête vers Zoro et lui dit.

-La guerre arrivera ici, mais pas dans la cabane.... Il va falloir etre prudent si on veut chercher dans ce coin. Les loups peuvent nous aider, mais très peu. Et puis, tu seras là... Mais je ne veux pas que tu risque encore ta vie, d'accord ? Je ne t'aide pas beaucoup, et même si tu me portes autant d'affection, je ne veux pas que tu meurs pour moi. Je peux encore faire diversion.

Zoro soupira en entendant cette nouvelle, la guerre, encore la guerre, c'était pénible à force d'entendre parler tout le temps de cette guerre, il devait l'avouer... Sanji disait que les loups pouvait les aider. Zoro hocha la tête, oui peut être... Et puis il disait que Zoro serait la, mais il ne pas qu'il risque sa vie. Il disait qu'il ne voulait pas qu'il meurt pour lui. Zoro dit.

-Je te le répéte, tout d'abord je ne mourrais pas , et puis tu sais trés bien que tu compte beaucoup à mes yeux, donc je ne mourrais pas, Baka !

Il soupira, Sanji commencait vraiment à dire n'aporte quoi... Il lui était utile et Zoro l'aimait... Il s'approcha du vautour mort et le regarda un instant en demandant à Sanji.

-C'est comestible ?

Aprés tout, c'était de la viande, non ? Et puis Luffy mangeait des trucs bien pire des fois et... Ah non ! Maintenant il se mettait à penser à son capitaine ! Il soupira, tout l'équipage lui manquait autant que Sanji...

Zorro me répétait la même phrase : je ne mourrais pas. Il avait peut-être confiance en lui, j'avais tout de même peur quand il se battait vraiment contre un ennemi fort. Et puisque'il était redevenu gamin, je ne pouvais m'empêcher d'avoir peur pour lui, autant qu'il comptait à mes yeux. C'était quelque chose de réciproque.

-Je sais... Mais n'oublie pas que tu es sous forme de gamin maintenant et que tu n'as pas du tout la même résistance. Je ne pourrais cesser de m'inquiéter pour toi seulement lorsque nous aurions retrouvé nos véritables formes. Ce n'est pas du à un manque de confiance en toi mais mon amour pour toi. Je... je ne sais comment tu étais à huit ans, mais moi, j'étais plus faible que tu ne le penses et je ne peux t'aider que par mes connaissances. Je compte entièrement sur toi pour la suite. Imagine un peu comment je m'inquiète pour toi... Juste, promets moi de ne pas prendre trop de risques, d'accord ?

Zorro alla alors vers le vautour et me demanda si c'était comestible. Je n'avais personnellement jamais cuisiné ce genre de plats
mais ça ne devait pas être mauvais. J'en avais déjà vu dan scertains bouquins. Mais il y avait deux trucs à faire dans ce cas : bien épicer le tout et le cuire jusqu'à coeur. La première n'allait pas être trop difficile, mais la seconde demandait du feu. Je cherchais alors dans ma chemis,e voir si j'avais gardé mon briquet et je le trouvais avec mon paquet de cigarette.

-C'est comestible, mais il faudra que tu m'aide à le cuire, ce bestiau. Faut-il encore que je trouve des herbes aromatiques pour l'assaisonner, sinon, ça ne sera pas bon.

Je cherchais autour de moi pour trouver différentes herbes un peu plus loin. Il y avait vraiment de tout, dans cette forêt. Maintenant, il fallait transporter le vautour près de la cabane, c'était plus sur que de rester ici. J'accrochai le sabre que Zorro m'avait confié à ma ceinture et commençai à porter le volatile. IL fallait le tirer mai il était assez lourd. Le loup-garou avait du surement l'élever lui-même et ainsi le muscler et l'endurcir.

-Zorro-chou, tu peux m'aider ? Je ne vais pas y arriver tout seul... S'il te plait...

Une fois de retour à la cabane, je montai poser les différents ingrédients que j'avais cueilli et n eprit que ceux qui m'allait être utile. Je redescendis et demanda à Zorro de m'aider à trouver du bois pour allumer un feu. Une fois cette tâche faite, je découpais l'animal pour avoir les morceaux à manger. Je pris le sabre de Zorro pour faire ça, sous son autorisation. Ensuite, avec mon briquet, j'allumais un feu et fit rôtir les morceuax de viande dessus. Je les assaisonnait au fur et à mesure. Ca non plus, je n'avais pas oublié. Celui prit pas mal de temps, mais c'était le secret pour que la viande soit meilleure. Une ofis prêt, j'appelais Zorro pour manger. Ce n'était pas mauvais mais la viande n'était pas extra, ce qui gâchait les herbes que j'avais utilisé. Enfin bon, c'était une aubaine de trouver de la viande. Et puis, il n'y avait rien de pire que la faim. Une fois le repas fini, j'éteignais le feu pour ne pas trop se faire remarquer par les autres Loup-garous. Je n'avais vraiment pas envie de me frotter à d'autres de ces bestioles. Zorro avait déjà été assez blessé comme ça. Je remontais ensuite dans l'arbre et y invita Zorro.

-Il faut que tu te reposes un peu, Zorro. Tu as été blessé et il faut que tu évite de trop forcer. Je n'ai pu que de prodiguer les premiers soins. Si tu es plus gravement blessé, je ne pourrais rien faire pour toi. C'est un secret, dans ce genre de vie. Et puis, je veillerais sur toi.

Je tendis la main pour l'y inviter. Il avait été mordu par un Loup-garou quand même. Loup-garou ? Et merde ! Je sauta de l'arbre à la va vite et me tordit un peu la cheville. Je gémis un peu de douleur mais continuai. Je recherchais quelque chose, une plante. Après quelques minutes, je la trouvais et la broya avec un bâton dan sun petit récipient en pierre que j'avais taillé tout à l'heure. Je mélangeais avec un peu d'eau et l'orffrit à Zorro, qui le but.

-C'était... Tu as été mordu par un Loup-Garou. T'aurais pu le devenir sans ce médicament. Et je ne pense pas que ce soit une bonne idée. MAis maintenant, c'est bon... Va te reposer s'il te plait.

Je remontais dans l'arbre avec un petit gémissement et me massa la cheville une fois en haut. Dans ma panique, je n'avais pas fait attention. Mais rien de grave. Je m'inquiétais surtout pour Zorro. J'espérais que le médicament fasse effet et que je n'avais pas agi trop tard.

Sanji répondit.

-Je sais... Mais n'oublie pas que tu es sous forme de gamin maintenant et que tu n'as pas du tout la même résistance. Je ne pourrais cesser de m'inquiéter pour toi seulement lorsque nous aurions retrouvé nos véritables formes. Ce n'est pas du à un manque de confiance en toi mais mon amour pour toi. Je... je ne sais comment tu étais à huit ans, mais moi, j'étais plus faible que tu ne le penses et je ne peux t'aider que par mes connaissances. Je compte entièrement sur toi pour la suite. Imagine un peu comment je m'inquiète pour toi... Juste, promets moi de ne pas prendre trop de risques, d'accord ?

Ouais mais bon, même sous forme d"un gosse, Zoro était tout de même sur et certain de ne pas pouvoir mourir ! Il était tellement sur de lui. Mais bon, il n'allait rien dire pour ne pas contrarié Sanji. Quand Zoro avait posé sa question sur le vautour, Sanji sembla réfléchir et sortit un briquet puis il dit.

-C'est comestible, mais il faudra que tu m'aide à le cuire, ce bestiau. Faut-il encore que je trouve des herbes aromatiques pour l'assaisonner, sinon, ça ne sera pas bon

Zoro hocha la tête, il allait l'aider si il voulait, il ferait tout pour aider son Sanji adoré ! Puis Sanji alla chercher des herbes. Une fois ceuillit, il aida Sanji à transporté le vautour, c'est vrai que pour un vautour, il était lourd !
Puis ils entrérent dans la cabane, puis ils redescendirent et Sanji demanda à Zoro de chercher du bois. Une fois le bois trouvé, Sanji découpa l'animal en morceau avec le sabre de Zoro, Son sabre allait être taché de sang ! Il soupira. Tant pis il le nettoira. Puis son mini coq alluma un feu avec son briquet et il fit rotir les morceaux de viande, il l'assaisoner au fur et a mesure, Ah qu'il était mignon, mini Sanji quand il faisait la cuisine ! Puis Sanji appella Zoro, et Zoro vint tout de suite. Il commenca à mangé... Ben cette viande était... Spéciale, ce n'était pas vraiment mauvais, mais c'était vraiment bizzare. Sanji éteignit le feu et invita Zoro a remonté dans la cabane. Puis Sanji lui dit.

-Il faut que tu te reposes un peu, Zorro. Tu as été blessé et il faut que tu évite de trop forcer. Je n'ai pu que de prodiguer les premiers soins. Si tu es plus gravement blessé, je ne pourrais rien faire pour toi. C'est un secret, dans ce genre de vie. Et puis, je veillerais sur toi.

Zoro soupira, ca va ! Il allait bien ! Mais bon pour faire plaisir à Sanji il allait se reposé ! Puis Sanji sauta de l'arbre vite et se tordit la cheville, puis il alla chercher je ne sais quoi et revint avec une mixture, Zoro la but. Pouah ! C'était dégeulasse ! Il avala difficilement la dérniére gorgée et il demanda à Sanji.

-Tu veut m'empoisonner ou quoi ? C'est infecte !

Sanji répondit.

-C'était... Tu as été mordu par un Loup-Garou. T'aurais pu le devenir sans ce médicament. Et je ne pense pas que ce soit une bonne idée. MAis maintenant, c'est bon... Va te reposer s'il te plait.

Hein ? Heuresement que Sanji était la ! Puis Sanji demanda à Zoro de se reposé, Zoro grogna un peu mais il alla se reposé.

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Un moment aprés avoir dormi assez longtemps, il s'étira et bailla. Puis il vit Sanji a cotés de lui. Il lui sourit et prit sa main, il voulait se baladé un peu... Ils descendirent et commencérent à marcher. Puis il sentit une présence dérriére lui, il se retourna lentement, et il faillit tombé en voyant ca. Il dit à Sanji.

-Sanji... Surtout... Surtout ne te retourne pas !

La devant lui, se trouvait une araignée géante, Zoro ouvrit de grands yeux ébahit. Qu'est ce qu'il pourrait faire face à cet adversaire géant ? L'araignée faisait au moin deux métre ! Il sortit ses sabres et Monta sur l'araignée. Il planta ses katanas, le sang giclait... Il traca un long trait sur le dos de l'araignée, elle poussa un cri (?) et tomba... Elle était morte...

Zorro avait rechigné pour aller se reposer mais il s'endormit très vite. Il était mignon, endormi. Je devais veiller sur lui maintenant. Le temps ne me parut pas si long que je ne le pensais. Je passais mon temps à l'observer. Aucune bestiole ne venait nous embêter, ni même un simple papillon. Tout était calme, mais je ne m'endormis pas. Si jamais tout tournait mal, je devais être là.
Lorsqu'il se réveilla, il s'étira avant de me sourire. Il avait pris ma main et je lui rendis son sourire. Il me fit comprendre qu'il voulait aller se balader. Je me levai et nous descendimes de l'arbre pour sortir un peu. Ma cheville me lançait un peu, mais c'était rien. Nous commencèrent à marcher un peu lorsque Zorro s'arrêta nettement et se retourna. IL avat l'air d'avoir vu un truc horrible, alors je voulus voir ce qu'il y avait derrière mais il me dit :

-Sanji... Surtout... Surtout ne te retourne pas !

Je ne bougeais plus. Zorro srotit ses sabres et courra derrière. Je ne voulus pas m eretrouner mais rien que le cri de la bestiole me fit comprendre à qui il avait affaire. Une araignée... géante. Un frisson me parcourut. Je me sentais étouffer. Des larmes coulèrent. J'avais peur, très peur. J'osai me retourner tout doucement et vit la bête, morte. Mais j'avais toujorus peur.

-Zo..rro...

Mes genoux se dérobèrent sous moi. J'étais par terre, tremblant et pleurant. Je ne pouvais détacher mon regard de l'araignée. Je n'arrivais même pas à penser correctement. Cete bestiole occupait tout mon esprit. Je restai là, pétrifié. Dès que Zorro fut à ma hauteur, je m'accrochai à lui et me cacha la tête dans son torse. Il fallait qu'on sorte d'ici. Je ne voulais plus voir ces bestioles. Plus jamais.

Même si il n'avait pas vu la grosse bestiole, il commencait à pleuré, puis il se retourna tout doucement et vu l'aragnée géante, alors la, il pleura et il tomba. Zoro courut vers lui et Sanji mit sa tête sur le torse de Zoro, il le serra, pauvre Sanji... Il le serra et le serra, puis il eut une idée, Il mit Sanji en face de Zoro et il se rapprocha du visage du blond, lentement il posa ses lévres sur celle de Sanji et l'embrassa. Puis il décolla ses lévres et regarda Sanji droit dans ses beaux yeux et le resserat. Zoro prit Sanji dans ses bras, il était un peu plus lourd qu'avant, mais Zoro tiendrait le coup. Il s'éloigna de l'araignée et une fois loin d'elle il posa Sanji. Puis il sortit de sa poche, deux téléphone en forme de canard. Un canarophone, et il en donna un à Sanji, celui de Sanji était couleur or et il dit.

-J'ai attendu pour te le donné. Je l'ai depuis qu'on à était en ville. Garde le bien. Je pense que tu sais que ca sert à communiquer.

Je sentis l'étreinte de Zorro. Mais j'étais encore trop paniqué pour penser à autre chose qu'à l'araignée géante dans mon dos. J'ouvris les yeux et je vis mon bretteur en face de moi. Je me perdis un instant dans le reflet vert de ses yeux, puis il s'approcha et posa ses lèvres sur les miennes. Même si ce n'était rien qu'un court moment, j'oubliai tout ce qu'il y avait autour de moi. Je ne pensais qu'à Zorro. Lui et seulement lui. Jusqu'à ce qu'il mette fin au baiser. Je laissai mon regard se perdre dans le sien avant qu'il me resserre contre lui et il m'eloigna de l'endroit où la bestiole était morte. Il me posa une fois un peu plus loin. J'étais plus lourd que lorsque mes jambes étaient paralysées, puisqu'il n'avait plus la même force, mais il tint bon. Je commençai à réellement me calmer mais je restai toujours serré contre lui. J'étais en sécurité là, au moins. Et il n'y avait plus aucune araignée.
Zorro s'agita et sortit quelque chose de sa poche. C'était deux espèces de canards, l'un or et l'autre argenté. Il me donna le premier en disant :

-J'ai attendu pour te le donné. Je l'ai depuis qu'on à était en ville. Garde le bien. Je pense que tu sais que ca sert à communiquer.

C'était un canarophone ? Le principe était le même qu'un escargophone. Je le pris et le contemplai doucement, en me concentrant sur les moindres recoins de l'objet pour finir de me calmer. Puis, je reportai mon regard sur Zorro, et un léger osurire s'imprima sur mon visage :

-Mer..merci... Merci beaucoup...

POur le remercier, je lui fis un gros calin, ce qui acheva de me calmer et d'oublier l'arachnide. Je rangeai le canarophone dans ma poche. Puis, je m'écartai un peu de Zorro. Derrière lui, je vis alors une chose bizarre. Un espèce d'extoplasme à moitié transparent, avec de légers reflets bleus. Un autre frisson parcourut mon corps mais je paniquai moins.

-Zo...Zorro... Euuh... y'a;..y'a... un fantome...

Je l'avais resserré, ne quittant pas des yeux le fantome. Il n'avait pas l'air de vouloir me faire de mal mais je n'étais pas tranquille. Enfin, si Zorro n'avait pas été là, je me serais carapaté en courant.

Sanji remercia Zoro et sourit, Zoro sourit à son tour. Il était content que son cadeau lui plaise, il lui avait couté cher. Soudain Sanji fit une tête de mort vivant et il semblait avoir peur, mais moins qu"avec l'araignée.

-Zo...Zorro... Euuh... y'a;..y'a... un fantome...

A quoi il jouait ? Il leva les ciels, il plaisantait ? Zoro ne croyait pas aux esprits bien qu'il connaisse le numéro des GhostBusters. Il se retourna lentement, et la une vision le frappa. Des fantômes... Plein... De tout genre, des gluants et verdâtre, des fantômes de monstre, des fantômes d'humains. Sa machoire faillit se décroché, à ce moment la, il prit son canardophone et composa le numéro des Chasseurs de fantômes.

-A...Allo ? S... O S Fantômes ? Euh venez vite... NOUS SOMMES ENTOURES DE FANTOMES !

-Ou vous situez vous ?

-Euh, la forêt sombre !

-On arrive !

Zoro se colla à Sanji, des cris de fantômes, des fantômes eux même, des poltergeist qui s'amusait à les faire tombé, des boule lumineuse. Soudain un espéce de bruit assourdissant ce fit entendre. (https://www.youtube.com/watch?v=00M4ucq-5Qw&feature=related)
Puis une voiture aux allures vraiment bizzare apparut, toujours avec ce couinement insuportable. Les fantômes parurent effrayé mais ils ne bougérent pas, Quatre chasseurs de fantômes sortirent et dirent.

- Nous sommes la ! Ne vous en faites pas !

Un homme à lunettes dit.

-Ray, tu t'occupe des polteirgeist, moi je m'occupe des boules lumineuse, et toi peter et Winston tu vas avec Peter ! Allez go !

A ce moment la, ils s'éparpillérent et poursuivirent les fantômes avec des armes étranges... Pendant qu'ils les poursuivaient Zoro regarda Sanji.

-T'as vu, j'ai des relations !

Puis ils revinrent et ils eurent finit leurs travail. Ils avait le sourire aux lévres et ils repartirent en disant.

-Voila, ils sont tous la dedans ! Vous en faites pas, aux moindres petit fantômes, rappellez nous!

A ce moment la, la voiture démarra et le couinement reprit de plus belle et ils partirent... Eux ils pouvaient ? Alors ca ne marchait que pour eux... Il n'y avait que eux qui rentraient et qui ne sortaient pas... Il soupira, mais aux moins les fantomes ne reviendront pas de sitôt !

(Pure délire x) )

Zorro ne me crut que lorsqu'il se retourna. Il fit une tête à s'en décrocher la machoire. Moi, je paniquais un peu plus encore au fur et à mesure que d'autres fantomes arrivaient. Je n'aurais cru que ça n'existait que dans les films de fictions et les romans moi ! Je vis Zorro prendre son canarophone argenté et composer un numéro. Qui pouvait-il appeler ? Quelqu'un décrocha au bout du fil et il dit :

-A...Allo ? S... O S Fantômes ? Euh venez vite... NOUS SOMMES ENTOURES DE FANTOMES ! ..... Euh, la forêt sombre !

J'avais entendu celui su'il avait appelé dire un truc du genre : on arrive mais je n'en savais pas plus. Mon bretteur se colla contre moi, en regardant les fantômes crier, des espèces de boules lumineuses et d'autres extoplasmes bien sympathique. J'avais essayé de reculer un peu mais je piétinai au même endroit, toujours autant aggripé à Zorro. Mais c'était ma journée aujourd'hui !
Puis, j'entendis un bruit assoursissant, une espèce de sirène qui résonnait comme un cri. Le bruit se rapprocha et je vis une voiture aux allures spéciales, avec un dessin d'un fantome baré. SOS Fantome ? Quatres hommes sortirent de la voiture. L'un d'eux dit :

- Nous sommes la ! Ne vous en faites pas !

Ouais, enfin, les fantomes étaient toujours là, à les observer, un peu effrayé. Je ne bougeai plus, les laissant élaborer leur tactique. Puis, ils sortirent des armes un peu bizarres, qui ressemblait un peu à un lance-flamme. Zorro me dit :

-T'as vu, j'ai des relations !

-...Ou..Ouais... On peut dire ça comme ça...

Les chasseurs de fantomes firent leur travail. Bientôt, il n'y avait plus aucun extoplasme. Ils revinrent vers nous, avec un sourire, et nous dirent qu'au moindre problème de fantome, il fallait les appeler mais que le problème était réglé. Puis, ils partirent dans le même boucan. Ils étaient sortis de la forêt sans problème. Contrairemen tà nous, cette action leur était possible. Le sort du mage devait vraiment être puissant. Tout le danger était écarté au moins, mais il me fallut du temps avant de me lever. Je n'avais plus aucune force dans les jambes tellement les émotions d'aujourd'hui avaient été fortes. Je réussis tout de même à me mettre debout en m'appuyant un peu sur Zorro. J'eus un léger vertige, une légère baisse de tension mais je ne vacillai pas. Puis, je regardais Zorro et lui demanda :

-On...on rentre ?

Je commençai à marcher un peu, en serrant fort la main de Zorro. Il fallait que je le remercie. Aujourd'hui encore, il m'avait sauvé plusieurs fois. Pourquoi n'est-ce pas le contraire ? POurquoi étais-je aussi faible ? Je me rappelai alors des paroles de Zorro qui me disaient que j'étais toujours fort à ses yeux. C'est vrai, il ne fallait pas que je l'oublie. Qu'importe le reste ! C'est Zorro qui comptait plus que tout. Je me trounai vers lui, laissa mon regard se perdre dans le sien avant de dire :

-Merci... Merci.. de m'avoir sauvé... Merci...

Je ne lui dis pas pour ma pseudo-faiblesse, ni même la question sur comment me rendre utile. Il l'avait dit non ? Il est toujorus fort à ses yeux. Alors je n'avais qu'à faire de mon mieux, comme d'habitude.

Sanji paru, peu convaincu par les paroles de Zoro, Zoro haussa les épaules. Au moins tous deux seraient tranquille pendant un moment, enfin du moins jusqu'a qu'ils sortent de la. Il soupira. Il commencait à faire frais, Zoro se surprit à avoir quelque frissons. Il n'était pas vraiment habitué a avoir froid mais maintenant qu'il était redevenu un enfant. Sanji sembla vouloir se levé, il mit sa main sur l'épaule de Zoro pour pouvoir se lever, il semblait avoir un leger vertige, Zoro sourit et dit.

-T'en fait pas, je m'en charge.

Il prit mini Sanji dans ses bras, bien qu'un peu lourd, il arriva à le porter jusqu'a la cabane, et le posa sur le lit, il bailla, ca faisait longtemps qu'il ne faisait plus de petites siestes, mais le systéme de Zoro marchait comme ça, entrainement = siestes, et pas d'entrainement = Moins de sieste.
Mais c'était surtout qu'il n'en avait pas vraiment le temps de faire des entrainement... La nuit commença à tombé. Mais d'abord un magnifique coucher de soleil se produirent devant leurs yeux, Zoro prit la main de Sanji et lui caressa doucement ses cheuveux. Puis une fois le début de la nuit commencé, il bailla. Il était vraiment fatigué et il avait un peu froid... Mais bon, il se coucha dans le lit et dit.

-Bonne nuit !

Comme je tremblai sur mes jambes, Zorro me prit dans ses bras et me porta jusqu'à la cabane. Je n'avais pas voulu ça, surtout que je devais être un peu lourd pour lui désormais, mais il ne m'avait pas laissé le temps. Une fois là-bas, il me posa sur le lit et bailla. Je fis de même. EN fait, j'étais terriblement fatigué. Quoi de plus normal, vu que le soleil déclinait déjà. Nous pouvions voir le magnifique coucher de soleil illunimer la cabane. Doucement, mon bretteur me prit la main, avant de me carresser les cheveux. Je souris et m'appuya contre lui. Pour une fin de journée, c'était pas mal.
Une fois la nuit installé, Zorro bailla et se coucha sur le lit. IL eut le temps de dire un bref bonne nuit avant se sombrer dans le sommeil. Je le regardai un instant avant de le rejoindre. Il avait l'air d'avoir un peu froid, et je n'étais pas san sfrissoner un peu. Doucement, pour ne pas le réveiller, je le serrai un peu contre moi et m'endormit à mon tour, espérant que demain serait un meilleur jour.

Je courrais dans une plaine verdoyante. J'essayai d'échapper à mes assaillants mais mes petites jambes ne suffisaient pas. Quelques larmes coulèrent le long de mes joues. Vite ! Il fallait aller plus vite ! Je trébuchai et tombai par terre, en m'égratinant de partout. Très vite, je me relevai pour retomber encore. Ma cheville me faisiat mal. Mais je ne perdis pas de temps et fit au mieux pour continuer de courir. Je voulais survivre. Je me cachai alors dans un buisson et laissai mes ennemis passer sans me voir. Combien de temps encore pouvais je tenir à ce rythme ? Il fallait m'enfuir, à tout jamais. Avec lui.

Un rayon de soleil vint me caresser le visage. Je clignai plusieurs fois des yeux pour rétablir ma vision et m'assit doucement. Zorro dormait encore à côté de moi. Je souris en le regardant, puis décidai à me lever. Je descendis de l'arbre et cherchai quelques fruits pour compléter ce que j'avais pour le petit déjeuner. Avec les différents fruits, je concoctai une espèce de salade de fruits, en attendant que mon bretteur favori se réveille. Après quoi, il allait falloir continuer nos recherches. Je regardai ma cheville et je vis qu'elle avait un peu enflée. Je la massai tout doucement mais je ne pus retenir un petit gémissement. Avec le reste d'herbes médicinales, je les bouillis de façon à en faire une espèce de pommade pour l'appliquer sur la cheville douloureuse. Au moins, ça allait peut-être faire un peu effet. J'avais oublié que j'étais moi aussi un gamin. Ma résistance avait tout aussi baissé que pour Zorro. Celui-ci, d'ailleurs, se réveilla et je l'accueillis avec un sourire et un salut matinal. Après notre déjeuner, je descendis de l'arbre, plus doucement cette fois afin de ménager mon articulation. J'espérais que Zorro ne le remarque pas.

-Tu viens ? Faut qu'on continue nos recherches... Et puis, il nous fait de quoi manger pour ce midi et ce soir. Nous devrions aller dans ce coin là.

Je désignai un endroit très boisé. Ce n'était pas facile de s'y faufiler mais étant enfant, nous y arrivons sans problème. Et puis, je pensais fortement que le mage ne nous avait pas simplifié la tâche. Je repris la main de Zorro et l'emmena dans ce coin afin de rechercher la fameuse boite noire. Je trouvais sur le chemin des mûres et d'autres baies du même genre. Il y avait vraiment de tout partout. Mais aucune trace de ce que nous cherchions. Je vis alors au loin une petite maison. Faite de bois, elle n'était pas aussi somaire que la notre. Je fis signe à Zorro d'approcher. Elle semblait habitée, mais je ne savais pas par qui. JE chuchotais alors à mon bretteur :

-A ton avis, on va voir ?

On pouvait tout aussi bien l'espionner pour voir à qui on avait affaire, ou encore n'y prêter aucune attention. Mais je sentais que peut-être nous aurions de l'aide par ses habitants, ou peut-être pas.

Zoro se leva. Il sortit du lit et vu que Sanji était déja debout , il préparait le petit déjeuner, Zoro lui fit un petit sourire et mangea. Puis ils descendirent de l'arbre, et Sanji prit la parole.

-Tu viens ? Faut qu'on continue nos recherches... Et puis, il nous fait de quoi manger pour ce midi et ce soir. Nous devrions aller dans ce coin là.

Zoro hocha la tête et suivit son mini coq, ils marchérent un moment, toujours main dans la main. Sanji trouva des baies et des mûres, il les ramassa. Tout deux chérchaient en vérité la boîte noire, mais ils cherchaient également des récolte pour le dîner et le déjeuner. Soudain ils arrivérent jusqu'a une petite maison en bois. Un habitant ? Sanji chuchota.

-A ton avis, on va voir ?

Zoro curieux, hocha la tête et s'avanca vers la petite maison. Il regarda discrétement par la fenêtre et vu une petite grand mére, assise en face d'un feu. Elle semblait concentré sur un livre, Zoro plissa les yeux pour pouvoir lire le titre "Les plantes médicinale." Apparament cette grand mére avait des connaissances, Zoro hésita un instant et demanda à Sanji.

-On y va ?

Par la fenêtre, je peux voir qui habitait l'endroit. IL y avait une grand mère qui se balançait sur une chaise à bascule. Elle était près d'un feu, en train de lire un bouquin. Je ne réussis pas à lire le titre, mais j'entendis Zorro le murmurer. Cette vieille femme devait avoir des bonnes connaissances sur le sujet, surement. Peut-être qu'elle pourrait nous aider. Mon bretteur proposa qu'on y aille et je hochai la tête avant de me lever. Nous apprchâmes doucement de la demeure, puis je frappai à la porte. J'entendis se déplacer et la grand mère ouvrit.

-Oh ! De si mignons visiteurs ?

-Excusez nous, madame, mais nous nous sommes perdus. Nous sommes tombés par hasard sur votre maison. Est-ce que vous connaissez un peu le coin ?

-Oh, je pense pouvoir peut-être vous aider. Entrez, entrez, je vous en prie ! Vous voulez un petit quelque chose ?

-Euuh, non merci, nous venons de déjeuner mais c'est très aimable à vous.

-Eh bien, voilà un petit garçon bien poli.

Elle nous invita à rentrer et je fis signe à Zorro d'entrer. Il avait l'air un peu boudeur. Il était surement en mode jaloux mais bon, je n'y pouvais rien. Il nous fallait des informations. Décidement, ça ne devait pas être facile de devoir toujorus lutter contre ses sentiments. j'avais pris l'habitude moi-même de ne pas en faire trop, mais lui n'avait pas tellement l'habitude de ce genre de choses alors que l'oeil du démon m'avait fait connaitre tout ça.
La demeure était assez spacieuse et bien rangée. IL y avait un nombre impressionant de bouquins. Beaucoup portaient sur la médecine, et d'autres sur la végétation. Il y avait du jardinage aussi, et de la cuisine. C'était assez impressionnant. La grand mère nous invita à s'asseoir.

-Bien, alors, que faites vous ici, mes petits ?

-Eh bien... Nous avons perdu quelque chose. Quelqu'un nous avait confié une petite boite noire et l'avions perdu. Du coup, nous la cherchons mais nous ne connaissons pas le coin. Il faut absolument qu'on retrouve cet objet avant de sortir d'ici, sinon, il nous tuera.

-C'est drôlement courageux de votre part. Je vous félicite. Mais dis moi, mon petit blondinet, qu'as tu à la cheville ?

-Euuh mon nom est Sanji, et avec moi, c'est Zorro.

-Bien bien, je suis Amarellys, mais appelez moi Ama. Bon, mon petit Sanji-kun, et serais-tu tordu la cheville ? Laisse moi voir ça.

Je regardai un instant Zorro, visiblement énervé. Il ne supportait peut-être pas la familiarité que la grand mère me vouait. Je lui souris faiblement avec un petit air désolé. Ama regarda ma cheville, chercha quelques plantes médicinales et les pilla à l'aide d'un mortier. Ensuite, elle appliqua la pate sur ma cheville aveec un bandage. ELle m'avait fait un peu mal, mais ça allait. Elle me félicita de mon courage et se pencha vers moi, comme pour me faire un bisou sur le haut du crâne. Mais elle n'eut pas le temps. Zorro avait immédiatement réagi. Il s'était écarté avec moi dans un bras, et un sabre dans l'autre. Il semblait prêt à attaquer au moindre mouvement. Je m'en doutais, c'était trop. Maintenant, il n'avait plus l'air d'un gamin, c'était sur. je ne voulais pas dire à la grand mère pour le sortilège mais là, on allait peut-être être obligé. Je manquai de tomber, vu que mon bretteur n'avait pas la même force, et m'accrocha lui pour ne pas finir par terre. Je le regardai, puis la vielle femme, et ainsi de suite jusqu'à ce que le silence se brise.

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