Petits crimes en famille [CHopper/Zorro/Sanji]

Zorro dormait à point nomé quand quelque chose de lourd attérit sur lui, ce qui le fit sursauter et il se reveilla. Sanji était la, en face de lui, le visage proche de celui de Zorro. Zorro rougit car non seulement il était prit par surprise mais car Sanji était trééés proche, et quand il était mal reveillé... C'était pas trés bon de faire ca.... Chopper sauta sur le dos de Sanji pour lui dire bonjour à son tour et Zorro soupira quand ils s'en allérent... Pffou faut pas l'étouffer dés le matin ! Il soupira et alla se douché. Il mit une belle chemise noir et un jean trouée. Il alla mangé et comme d'habitude c'était délicieux.

-Bon, c'est pas tout mais il va falloir faire des courses si on ne veut pas mourir de faim ! Que m'aime me suive ! Enfin, ceux qui veulent m'accompagner en tout cas.

Ouais... Sanji avait raison, alors avec Chopper il le suivit. Ils arrivérent en ville et le slogan de Carré au four retentissait encore une fois, pas question de retourner la bas ! Mais Sanji heuresement,n'avait pas envie non plus de retourner à ce magasin de fou furieux ! Mais une fois au marché une fille demanda

-Qu'il est mignon... Je peux le prendre dans mes bras, s'il vous plait ?

Le pauvre Chopper faisait une mine déconfite, il détéstait qu'on le traite comme une peluche ! Et Sanji prit sa defense.

-Euh... c'est que...

Bon, il ne savait pas quoi dire d'autre, La fille l'emmena et d'autres filles l'entourérent, et la Zorro était plié en deux, il pouffait et riait aux éclats !

-C'est pas vrai... Il nous ont piqué Chopper... Hey, s'il vous plait, rendez le nous ! C'est notre ami et il n'aime pas trop qu'on el caline...


Sanji tenta d'aller le délivré mais quelque chose ou plutot une fille le retint, elle l'avait prit par la main, alors la, Zorro passa sa main sur le Wado, mais avant il observa... En faite, il délivra d'abord Chopper puis il observa.

-EUh...S'il vous plait... Vous pouvez me laisser partir ?

-Oh non... Vous êtes bien Sanji, n'est ce pas ? Pas la peine de nier, nous vous reconnaitrons entre mille. S'il vous plait, vous pouvez accepter à notre faveur ?

-Eh bien, ça dépend ce que c'est et si vous me laissez partir ensuite...

-Oh bien sur... Nous aimerions juste... un calin !

Un calin... QUOI ?????!!!! UN CALIN ???? AAAAHHHH ! Alors la ! Avec une lueur meurtriére dans les yeux, Zorro était vraiment en colére, il y avait au tour de lui, une aura de colére et il était rouge de colére et il avait des flammes autour de lui... La s'en était vraiment trop ! Vraiment trop ! Ces filles allait payer ! Oh oui... Zorro sortit ses sabres et il fonca dans le tas, il dégomma les filles sans se soucier si elles étaient mortes ou non, elles hurlérent et tous les regards était sur Zorro. Elle était vraiment bléssée ! Et trés gravement, les coupures étaient profondes et elles baignaient dans une flaque de sang... Les gens autours d'eux criaient... Merde ! Ho tant pis... Mais on entendit une siréne ! Ho mon dieu ! Zorro regarda sanji et sourit d'un sourire machiavélique.

Evidemment, Zorro avait voulu s'amuser, et evidemment il allait faire un carnage... Et... Enfin bref... Il sourit et sortit ses sabres pour parer les tirs et pour attaquer. Il fit plusieurs techiniques, il avait fait un Demon Slash, un Dragon Slash et d'autres techniques... Mais bien sûr ils étaient beaucoup trop ! Mais il fallait survivre, il avait déja recu quelques balles à l'épaules mais il s'en fichait il continuait de se battre. Enfin Sanji cria.

-Zorro ! Chopper ! Rendez vous au centre des rêves !

Tien ? Le centre des rêves, il regarda un moment Sanji combattre mais il recu une balle dans le bras faute d'inattention. Il tourna sa tête vers les flics et les regarda d'un regard démoniaque... Il se déchaina et en mit beaucoup au tapis mais il ne les avait pas tous tué mais il avait tout de même un peu peur car, il y en avait qui se cachait désormais. Pfeuh ! Quelles trouillards ! A cotés de lui Chopper s'était transformé et il était déja en train de dégommer des gendarmes. Zorro arriva à se frayer un passage et il se dépêcha de trouvé un abris car cette fois, il revenait par dizaines et ils étaient beaucoup trop nombreux ! D'accord, il avait un honneur mais il n 'était pas fou non plus ! D'accord , il préférait mourire que perdre mais il voulait aussi voir ou était Sanji pour pouvoir le protéger ! Malheuresement, quand Chopper et l'escrimeur arrivérent au parc, il y avait la, Sanji dans une voiture et qui recevait des coups de feu. Tout alla trés vite, L'escrimeur n'avait pas eu le temps de comprendre tout ce qu'il s'était passé car, La voiture allait explosé et elle était retourné, sur le sol. Zorro couru vers la voiture.

-Nooon ! San...

L'explosion lui coupa la parole. Zorro recula mais Sanji ne fut pas épargné, il fut projeté contre un arbre et il s'évanouit. Alors la ! ILS ALLAIENT PAYER ! Il regarda Sanji, puis les flics, et encore Sanji puis les gendarmes. Le bretteur jeta son plus effrayant regard diabolique et il se jeta dans le tas. Sous l'effet de la colére, il était capable de prouesse, et ca ne m'étonne pas qu'il est tout tué en seulement quelques coups... Mais il ne s'en tira pas neuf, il était couvert de sang, mais peut importe, il n'avaient pas le temps d'acheter de la nourriture, ils y feraient plus tard, il fallait revenir en sécurité !

Chopper et Zorro s'étaient glissé dans des rues pour trouver le chemin de la sortie, et au bout d'un certain temps, ils trouvérent. La siréne de police était déja loin et le bretteur suivait Chopper en courant avec Sanji dans les bras. Il était bien calé contre Zorro, bien au chaud certainement... Ils arrivérent à la cabane et Zorro posa doucement Sanji sur le lit. Chopper finit de l'ausculter et de lui mettre des bandages quand son blondinet se reveilla. Zorro quand à lui, était soigné et il se tenait debout, vers le beau blond, et il le regardait d'un regard inquiet. Le pauvre, est ce qu'il allait bien ? Bon forcément, il n'allait pas au mieux de sa forme ! Mais bon... Le cuistot essaya de s'asseoir mais il manqua de tomber et heuresement Zorro le rattrapa de justesse. Il le recoucha et le coq dit.

-Je ne vous entends pas...

Ho non ? Ne me dite pas que ?... Chopper regarde Sanji, un peu choquer et il vérifie les oreilles du blond. Sanji s'était appuyé sur le bras de l'escrimeur et il ne bougea pas d'un poil. Chopper soupira un peu et il écrit.

-Sanji, tu as une surdité passagère. Normalement, ça disparatrai dans quelques jours. C'est à cause de l'explosion. Sinon, tu as six côtes cassées, la colone vertébrale fissuré à trois endroits, le bras gauche cassé, des brûlures un peu partout et des impacts de balles.


Mouais, les trucs habituelle quoi... Ce n'était donc pas si grave que ca ! Moui un peu quand même (xD) mais Sanji tiendrait le choc, c'était sur ! Le jeune homme au cheuveux verts regarda son coq un instant. Il était couvert de coupures et des bouts de ver était accroché à ses cheuveux. Ho... Ses cheuveux étaient maintenant si terne avec le sang... Quelle dommage, ils avaient perdu tout leurs eclats ! (xD) Chopper dit à Zorro.

-Hum, il est quand même bien ammoché, mais bon , je sais qu'il va tenir le coup ! Ca ne sera pas vraiment long, quelques jours à une semaine. Oui, je sais c'est long pour toi, mais je ne peut rien faire d'autre. C'est déja un bon reméde, normalement avec un traitement basique, ca aurait était fait en deux semaines alors c'est bon...

Le manieur de sabre soupira longuement, aprés tout, Chopper avait raison, c'était déja ca... Zorro prit Sanji dans ses bras juste pour le plaisir... Et il le posa sur une chaise tant dis que Chopper s'absenta on-ne - sait ou un moment...

(Mouais , je sais pas quoi faire aprés ><, je peut éditer si tu veut =S)

J'essayais de lire sur leurs lèvres, mais je ne compris pas un mot de ce que disait CHopper. Que pouvait-il dire ? Je n'en savais absolument rien et ça allait devenir énervant à la fin. En plus de ça, chaque respiration me faisait mal et mon dos m'empechait de me tenir assis correctement sans une aide derrière. Je regardais mon bras gauche. Une atelle avait été posé. Même si j'étais droitier, c'était plus aisé de cuisiner avec deux mains qu'une. Quelqu'un de fort, hein ? Tu parles ! Même pas capable de sauver sa peau tout seul oui ! Je sentis Zorro soupirer, du moins je crois. Chopper descendit de mon lit pour aller je ne sais où, peut-être dans sa chambre pour fabriquer des médicaments. Puis, je me sentis voler encore une fois. Mon bretteur venait de me porter pour m'assoir ailleurs. Je finis sur ses genoux, toujours à me questionner sur mooi-même. Le silence qui m'entourait m'enfonçait encore plus dans mes pensées, si bien que je n'arrivais pas à profiter de cet instant qu'on avait tous les deux. IL fallait que je lui pose la question. Je pris un carnet et un stylo venant de la poche de ma chemise et écrit une quetion, celle qui me tenait à coeur depuis un moment :

-En quoi suis-je fort pour toi ?

Puis, je lui donnai la feuille pour qu'il me réponde. IL devait bien comprendre que je ne doutais pas de lui mais que c'est de moi que je doutais. Depuis que nous nous étions retrouvés, je n'arrêtai pas de finir blessé gravement et surtout finir par être sauvé. Non le fait que Zorro me sauve me soit désagréable mais j'avais vraiment l'impression d'être faible, de ne pas m'être amélioré tout ce temps. J'étais son rival enfin ! POurtant, je n'avais plus l'impression de faire jeu égal avec lui, mais plutôt en dessous. Et je ne voyai pas non plus quelle force je pouvais avoir qu'il n'avait pas. Je le vis réfléchir quelques minutes avant d'écrire quelque chose et me le donner. LA réponse m'arracha un sourire (C'est à toi de trouver quoi mettre héhéhé ^^"). Pas un seul instant il avait douté de moi ou de ma force. Alors est-ce moi le problème ? Je n'en sais rien et je n'avais pas envie de réfléchir. Je quittais mon monde terne du silence pour le regarder lui. Bien sur, à quoi bon se démener à chercher une explication ? Du moment qu'il était là, tout allait bien non ? Mieux encore, n'avais-je pas sacrifié ma force juste pour lui ? Tout doucement, j'approchai mon visage du sien pour l'embrasser. Ma main droite vint se glisser dans ses cheveux tandis que la gauche, immobilisé, se contentait de serrer l'une de ses mains. Les questiions s'envolèrent pour laisser place à mon bonheur, notre bonheur. Je me séparai un peu de lui pour venir poser ma tête contre son torse, afin de contempler encore une fois cette lueur verte de ses yeux que j'aimais tant. Je devais avoir un sourire d'imbécile heureux mais quelle importance ? Qui me le reprochera ? Mon bras droit glissa jusqu'à sa nuque et je nichai mon visage dans son cou, mon refuge préféré. Mais cette fois, je ne venais pas pour m'y cacher mais parce que j'étais bien ici. Je souriais toujours. Mes douleurs ne pouvaient même plus me faire perdre ce sourire. J'étais bien trop heureux pour ça. Je me laissai bercer par son coeur, qui résonnait à la même vitesse que le mien. Je ne l'entendais pas, non, mais je le sentais battre à toute allure, à l'unisson avec le mien. Je n'avais même plus besoin de l'entendre pour sentir qu'il était là. Même si sa voix me manquait déjà. Dans une même lenteur contrôlée, je lui chochutais :

-Je t'aime...

Rien de plus, rien de moins. J'aurais pu rajouter un "trop" ou un "tellement", mais ces simples mots sans ajout avaient bien plus de force. Bien plus que tout le reste. Cette fois là encore, je regrettais de ne pas pouvoir l'entendre. Mais bon, il fallait être patient. Ce n'était pas éternel. Je crus même l'entendre murmurer quelque chose, mais est-ce seulement mon imagination ? Peut-être, peut-être pas... Toujours avec ma main droite, le bras gauche étant bloqué par l'attelle, je caressai son dos, retrançant ainsi toutes ses cicatrices. Chaque bataille qu'il avait livré me revenait en mémoire, même si je ne savais pas de quoi il s'agissait. Tant de marques de guerre imortalisaient ses combats. En même temps que j'explorai son dos, je déposai quelques baisers dans son cou. J'allais être sous surveillance médicale de Chopper, autant en profiter pendant qu'il s'absentait. Dommage que le sommeil vint doucement me gagner. Ma tête redescendit un peu pour venir s'installer contre le torse de mon Ai-san, juste à l'emplacement de son coeur. Mon bras droit avait glissé pour rejoindre le gauche. Fermant les yeux, mon esprit vagabondait pour trouver le monde des songes pour m'y emporter le temps de quelques heures. Pourtant, j'avais tant de choses à faire : la cuisine, et faire des courses par exemple. Mais j'avais perdu beaucoup de sang, trop pour pouvoir ne pas dormir. Même mes cheveux en était imbibés. Tout serré contre Zorro, je m'endormis sans vraiment m'en rendre compte, alors que je m'étais promis de leur faire quand même à manger et de m'occuper d'eux.

(Si ça va pas, j'édite... Mais tu peux faire ce que Sanji s'est promis xD)

Sanji était sur les genoux de Zorro et ils ne bougeait pas, du moins pas beaucoup. Zorro était bien la, il n'avait pas vraiment envie de bouger. Il pensait que Sanji n'avait vraiment pas de chance. C'était la deuxiéme fois en quelques semaines qu'il se blessait ! Le pauvre... Ca devait être insuportable ! Oui, Zorro n'était pas du genre à s'inquieter pour les autres, mais Sanji c'était autre chose... Le geste de son amour le surprit, il prit un stylo et une feuille et il écrivit.


-En quoi suis-je fort pour toi ?

Le blondinet lui donna la feuille et Zorro leva les yeux au ciel, non mais franchement ! Pff... D'accord c'était un peu compréhensible qu'il doute de lui aprés tout ce qui s'était passé mais quand même ! Il soupira et se mit à écrire une réponse pour Sanji. Il lui donna la feuille ou c'était marqué.

-En tout, crétin !

Oui, le bretteur trouvait que son amour se débrouillait bien en tout. Bah oui ! En cuisine, en combat... Et plein d'autre domaine ! Il n'avait pas encore comrpis que Zorro l'aimait de tout son coeur et que, peut importe quelle force il avait ! Et puis, il le savait qu'il était trés fort, car ils se battaient souvent et personne ne remportait le combat. Et il était aussi un cuisinier de premiére classe ! Et puis... Voila... Il était trés fort c'est ce que pensé l'escrimeur. Il était tellement absorbé dans ses pensées qu'il ne vit même pas arrivé le baiser (En même temps il se fait tout le temps surprendre alors xD). Il fut donc un peu surpris (Comme d'habitude x) ) et puis il suivit Sanji. Ouais... Tout cela était un pure bonheur. Si bien qu'il oublia tout sauf Sanji. Le cuistot passa sa main droite dans les cheuveux du vert et sa main gauche était entrain de serrer une main du bretteur. La main libre de l'escrimeur vint se balader dans le cou du coq, avec des gestes doux et lent il caressa le cou et la nuque du cuistot. Sanji se sépara un peu de Zorro et il posa la tête sur le torse du vert et les deux tourtereaux se regardérent dans les yeux. En faite les deux contemplait les yeux de l'autre. L'homme aux cheuveux vert contemplait les beaux yeux bleu de Sanji. Ils étaient si beau... Tout deux affichait un grand sourire un peu bête, mais quel importance ? On s'en fichait ! Sanji se nicha dans le cou du bretteur et celui ci en profita pour la milliéme fois, mettre son nez dans les cheuveux de Sanji.

-Je t'aime...

Cette douce voix avec ce doux mot... Vraiment, Zorro était bien la, mais il arriva quand même à murmurer, même si Sanji ne l'entendait pas.

-Moi aussi, je t'aime...

Ouaip , c'était simple, mais ca suffisait... Le blond lui caressa le dos ce qui le fit d'abord frissoner mais il s'habitua et il caressa les cheuveux du blond, bien qu'ils étaient plein de sang, pas d'importance... Il enlevait quelque bout de ver pour laissé la place à sa main. Sanji en profitait pour offrir quelques baiser à Zorro dans le cou. Ce moment aurait pu durée longtemps si Sanji ne s'était pas endormi... Mais peu importe, un Sanji endormi était si mignon, et puis, lui aussi il était fatigué et ca faisait longtemps qu'il n'avait pas fait de sieste, alors il s'endormit à son tour, blottit contre Sanji...

Chopper s'était mit sur les genoux de Sanji dans sa forme Kawaii bien sûr, et il avait posé sa patte sur le front du blond. Chopper fit une petite grimace et il déposa un regard inquiet sur le coq quand il fut reveillé, pour bien lui faire comprendre qu'il avait de la fiévre. Il soupira et donna un médicament contre la douleur et la fiévre à Sanji. Vous allez dire, mais ce n'est pas assez ? He bien, figurez vous que, ce médicament était assez fort et qu'il avait aussi un drole de gout amer. Il n'était pas bon. Mais un médicament n'était pas fait pour être bon mais pour guerir, n'est ce pas ? Lentement, Chopper descendit des genoux du blond et il écrivit.

-Tu as de la fiévre, et tes blessures sont profondes, repose toi.

Il donna le mot à Sanji et entra dans son antre préparer d'autres médicaments. Pendant ce temps la, Sanji s'enleva de Zorro qui le sentit dans son sommeil. Il n'y avait plus cette chaleur... Ensuite il entendit des pas et une couverture s'étala sur lui. Peu aprés, une bonne odeur titilla ses narines. Qui pouvait bien cuisiner ? Bah, avec une odeur si alléchante, ca n'pouvait être que Sanji. D'ailleurs Zorro se reveilla et il regarda d'abord Sanji, intrigué, puis il lui jeta un regard noir (Bien sûr moins noir qu'a quelqu'un d'autre xD)
Le petit renne vint lui aussi, intrigué par cette bonne odeur et il se mit à regarder le coq du même regard, mais bien sûr, ca ne faisait pas vraiment peur, car imaginait, une peluche vivante vous faisant un regard noir, c'est encore plus mignon, non ? Sanji avait l'air de vouloir s'echapper et il avait un regard gênés. Il lacha.

-Désolé..

Zorro soupira et regarda longuement le petit renne qui écrivit en se dépéchant. Il montra le mot à Sanji.

-Je t'ai déja dit d'aller te reposer ! Tes blessures sont bien trop profondes et ta fiévres bien trop haute pour que tu cuisine ou que tu soit debout !

Sanji déposa le plat sur la table et il s'assit. Zorro soupira de nouveau et s'assit à son tour, en face du blond. Celui ci le servit en premier, puis le petti renne, puis enfin lui. Zorro commenca à manger et il se surpris à sourire. Oui, sourire... C'était bête mais... Pourtant... Enfin... Il ne comprenait pas vraiment pourquoi il souriait. En fin peut être si, parce que c'était parfait et délicieux. Chopper aussi souriait eti il semblait se régalait aussi. Zorro finit son assiette quand un cri le surprit. C'était le phoénix. Celui de Sanji, qui avait l'air de détésté Zorro. Il grogna, et ce fut immédiat, Zorro se mit debout devant le Phoénix et Sanji se cacha dérriére lui. Zorro dégaina ses sabres et il fit un petit mouvement, d'accord petit, mais rapide. L'oiseau s'envola avec un regard triste en direction de Sanji. Zorro et Chopper aidérent ensuite Sanji à s'asseoir. Il avait l'air lui aussi, un peu triste. Il finit son assiettte et écrivit.

-J'ai le droit de faire quoi à part me reposer ?

Hmm... Bonne question... Il pouvait faire plein de chose, vu que Zorro pouvait le porté, alors Zorro et Chopper écrivirent en vitesse.

-Tout, vu que je peut te porté.

-Rien tu dois te reposer.

Chopper regarda ce qu'avait écrit Zorro et il rala en disant.

-Mais non ! Il ne peut vraiment rien faire !

-Bah si ! Il pourra se reposer si j'le porte !

Chopper laissa échaper un grognement, Zorro avait en parti raison... Sanji pouvait toujours se reposé dans les bras de Zorro... Puis, triomphant, Zorro prit Sanji dans ses bras et le déposa lentement dans son lit pour qu'il se repose un peu quand même. Le petit renne était reparti dans sa chambre, sans doute préparer d'autres médiacements. Le bretteur était assi au bord du lit et il regardait Sanji. Il semblait avoir regretté son geste de tout à l'heure. Peut être que Zorro n'aurait pas du faire peur à Kiiro ? Mais si... Il reviendera, il en était sur. Mais l'escrimeur regardait toujours le coq d'un regard inquiet, il avait vraiment une mine triste ! Alors Sanji écrivit.

-Kiiro est mon âme, le phénix que j'ai sauvé et qui s'est lié avec moi... Mais... tu penses que j'ai bien fait en agissant comme je l'ai fait pour qu'il comprenne que je t'aime et que je ne risque rien avec toi ? Ca m'a fait si mal au coeur quand j'ai vu son regard triste... que je me demande si c'était la bonne solution...

Hmm... Zorro soupira , mais oui ! Bien sûr que c'était la bonne solution ! Il soupira et avant d'écrire, il remarqua que son Sanji était triste et qu'il pleurait. Dans un geste doux et lent il caressa sa joue, pour sécher ses larmes... Pendant que Zorro écrivait sa réponse, Sanji coucha sa tête sur les genoux du bretteur et le malheuresement, Zorro ne pouvait pas lui caresser les cheuveux, car ses deux mains étaient déja prise... Puis il montra la réponse à Sanji.

-Ne t'en fait pas, je pense qu'il a compris et que quand il reviendera, il te pardonnera sans doute et peut être ne m'embêtera-il plus...Je te le répéte, ne t'en fait pas, c'est ton "ame" alors pourquoi t'en voudrait-il ?

Il lui fit un petit sourire réconfortant, en éspérant que ca allait le rassurer un peu quand même... Il caresser lentement les cheuveux de Sanji, et il lui caressait la joue, doucement...

Zorro caressait Sanji avec des gestes doux... Il était couché sur le lit, et il tenait sa tête avec sa main, tout en regardant Sanji et en le caressant de l'autre main. Son blondinet semblait réfléchir, et il était vraiment mignon quand il était concentré. D'ailleurs, le blondinet laissa échappé un soupir d'aise ce qui fit sourire Zorro encore plus. Le bretteur continuait de caliner son amour, au bout d'un moment il sourit. Ah ! Voila ce qu'il voulait ! Un beau sourire sur le magnifique visage de Sanji. Un courrant d'air fit frissoner Zorro. Un autre phoénix arriva, avec des feuilles dans le bec. Sanji prit les feuilles et il les examina. Ensuite il les montra à Zorro. Encore ! Il avait augmenté la prime ! Bon... La somme de Zorro était vraiment élevé ! Et ils avaient changé les photos de Chopper et de Zorro. Wow, il avait du style sur cette photo ! C'était ou déja ?... Il ne s'en souvenait plus, mais peut importe. Sanji prit un livre, un roman policier, et il commenca à le lire. Mais trés vite, il sembla s'en lassé et il le posa. Il prit une feuille et écrivit.

-Je m'ennuie... Tu veux pas m'emmener faire un tour, si Chopper veut bien ?

Zorro fit un grand sourire et il prit Sanji dans ses bras, comme il avait l'habitude de le faire. Bien sûr, il ne demanda pas l'avis de Chopper mais il déposa sur la table les avis de recherche.Il emmena Sanji avec lui au dehors. Bon, c'était par ou déja ?... Euh... Soudain, il se rappela... Ouf, heuresement, c'était tout droit, et pas trés loin ! Ils débouchérent dans une petite clairiére et Zorro se coucha, a l'ombre d'un arbre et il cala Sanji contre lui, tout en regardant à l'horizon. On entendait quelques oiseau, des pic-verts, des mésanges... Et puis on entendait le doux chants des criquets. C'était vraiment agréable, ici. Zorro était vraiment bien, si bien qu'il allait presque dormir, mais il ne voulait pas laisser Sanji seul. Alors il continua à le cajoler. Mais bien sur, c'était trop beau, et un petit renne vint s'interposer, a la fois furieux et heureux. Il était furieux car Zorro avait emmené Sanji dehors et il était heureux grace à l'avis de recherche. Il vint rejoindre les deux amoureux et il alla s'asseoir sur les genoux de Sanji, et bien sûr Zorro fit la moue. C'était un vrai gacheur de moment, lui ! Si ca continuait, il allait l'envoyer sur Mars ! Mais bon, ca irait pour cette fois... Ils regardérent ensemble, le soleil se coucha en teintant le ciel d'orange et de rose. Une fois le spectacle finit, il prit Sanji dans ses bras tout en lui souriant. Ca ne le dérangeait pas, loin de la, ca lui avait même un peu manqué. Une fois chez eux, il déposa délicatement Sanji sur le lit et il alla faire à manger, il fit de la viande... Il porta Sanji et le déposa sur une chaise. Sanji essaya de négocier pour pouvoir au moins faire ce petit trajet, mais bien sûr, Chopper et Zorro ne cédérent pas. Mais il avait au moins droit de prendre une douche. Zorro fit la vaisselle et alla l'attendre,couché sur le lit. Sanji arriva et il se coucha sur le matelas. Sanji se blottit contre Zorro et celui ci avait la main sur les cheuveux doré de son ange. Ils s'endormirent tous les deux.... Sanji dans les bras de Zorro...

Ha, quel rusé celui la ! Faire croire aux Love Cook qu'il dormait ! Trop facile !Vraiment, il s'était reveillé il y a une heures et il avait pensé... C'était obligé ! Sanji serait tenté de se mettre debout et d'aller cuisiner. Il le connaissait bien, Sanji... Il savait comment il aller l'arrêter.... Oui, il allait faire semblant de dormir et il allait l'attraper par le poignet pour l'obliger de rester avec lui. Bien sûr... Ca marcherait ! C'est pour ca q'une heure plus tard, Zorro sentit que Sanji se dégageait de son etreinte, et il avait sourit intérieurement, il en était sur ! Il allait se faire piéger ! Love Cook était a présent au bord du lit, s'apprêtant à se lever, mais dans un geste rapide, Marimo lui prit le poignet tout en souriant machiavéliquement. Il était tombé dans le panneau !

-Où tu vas ?

Bien que Sanji ne l'entendait pas, il était sur qu'il arrivait à lire sur son visage qu'il lui demandait ca. Bien sûr qu'il savait qu'il allait cuisiner, mais il ne voulait pas qu'il parte, non, il ne fallait pas qu'il se leve... Bien sûr, Love cook avait une mine de quelqu'un qui était pris sur le fait. Il avait un regard gêné -D'ailleurs il était trop mignon comme ca !- Le bretteur le tira pour le ramener contre lui et Sanji se retrouva sur le torse de l'escrimeur et Zorro ll'empêchait de partir avec ses bras. Ho, et puis, une heure sans dormir, c'était épuisant !Il remonta doucement la couette sur eux. Mais... Avant, ca serait bien de profiter un peu que Sanji soit la, non ? D'ailleurs Love Cook caressait son torse et Zorro s'amusa à jouer avec les cheuveux de son blond. Ils étaient doux, ses cheuveux, c'était vraiment agréable de lui caresser les cheuveux et de jouer avec... Sa main vint caresser sa méche rebelle qui cachait son oeil de pierre. Sanji se laissa faire. En faite, il n'y avait que Zorro qui avait le droit de toucher son oeil et sa méche... Doucement, Sanji rapprocha son visage pour embrasser l'escrimeur. Evidement, cette idée ne déplut pas à Zorro, loin de la... Sanji arrêta et il remit sa tête sur le torse de Zorro, et le bretteur ne manquait pas de le cajoler. Il lui caressait la nuque, jouait toujours avec ses cheuveux, lui caresser la joue, ect... Mais le ventre de Sanji vint interrompre ce moment. Hmm... Zorro regarda longuement Sanji dans les yeux et il haussa les épaules. Il allait partir mais avant, le coq déposa plusieurs baisers jusqu'a la bouche. Le bretteur lui sourit et parti faire à manger. Pendant ce temps la, Chopper arriva dans la chambre de Sanji pour l'ausculter encore. Il changa les bandages de Sanji qu'il avait au dos et s'occupa de ses côtes. Une fois le changement de bandages finit, il donna d'autre médicaments contre la douleur et la fiévre à Sanji. Il regarda aussi le visage de Sanji, plein de coupures. Bon, ce n'était pas trés profond, mais bon... Il y en avait pas mal, alors Chopper voulut toucher l'oeil gauche de Sanji, mais apparament Sanji ne voulut pas, bon... Souhate, il n'y toucha pas et soupira, il avait encore un peu de fiévre... Bon , ca irait pour cette fois... Chopper partit dans sa chambre. Zorro revint pour porter Sanji jusqu'a la salle à manger, mais, Sanji était occupé à regarder son paquet de cigarettes et il avait faillit y prendre. Ha non ! Ce n'était pas du tout bon pour lui ! Il avait arrêté, qu'il continu à s'en passer ! D'accord, c'était dur, mais c'était trés mauvais pour sa santé... Il regarda Sanji avec un regard lourd et dur. Sanji laissa tomber sa main et Zorro soupira et porta son amour. Il le déposa sur une chaise et il mangeairent vite. Mouais, comme d'habitude, ce qu'il faisait était bon mais sans plus. Chopper retourna dans sa chambre pour encore préparer des médicaments et Zorro rangeait la cuisine tout en faisant de la vaisselle. Une fois finit, il soupira vut Sanji a moitié allongé sur la table. Il s'ennuyait... Il sourit un peu et il vint caresser les cheuveux de son blond. Il s'assit et Sanji lui montra.

-T'as pas un idée de ce que je pourrais faire ? Je ne tiens pas à t'ennuyer... mais...

Zorro sourit et comme d'habitude, sans prévenir, il prit Sanji dans ses bras et le déposa sur le lit, il commenca à lire un livre et il semblait totalement absorbé par celui ci. Hum... Pendant ce temps c'est Zorro qui s'ennuyait, à mainte reprises il avait essayer de caliner Sanji, mais celui ci avait vraiment envie d'être tranquille pour lire son livre. Alors il s'allongea et mit ses mains dérriére la nuque et il soupira...

Zorro s'ennuyer ferme, il était allongé en regardant dehors... Le son de la pluie qui tambourinait contre les vitres... Il soupira, hum... Vraiment il s'embêtait... Hum peut être allait-il faire une sieste ? Ouais, nan... Il avait pas envi que Sanji re file en douce, car cette fois il allait pas se reveiller... Sanji vint de lui même, il s 'installa dans les bras de Zorro. Celui ci sourit, enfin un peu d'occupation ! Il jouait avec les cheuveux de Sanji, un peu distraitement, il regardait la pluie tomber. Ca allait sans doute bien tôt se calmer... Il caressa le front de Sanji quand il vut que ca se calma. En fin , il pourrait peut être faire un petit tour de hors... Du moins si Sanji voulait ! En faite, il n'avait pas envie de lui demander, alors sans rien dire, il le prit dans ses bras et l'emmena. Bon, cette fois, il connaissait le chemin par coeur (Pour une fois !) C'était étrange mais il venait souvent ici... C' était ici qu'il venait se reposer et quand il pleuvait juste avant, on avait un beau arc- en ciel... On le voyait vraiment bien... Il déposa Sanji sur l'herbe et il s'assit à cotés de lui et mit sa tête sur son épaule.

-Magnifique...

Oui, il avait raison, c'était vraiment magnifique... Le bretteur caressait les cheuveux de Sanji, comme à son habitude et il déposa un baiser sur sa joue, juste comme ca... Zorro serrait Sanji et il jouait avec ses cheuveux, tout en contemplant la magnifique vue. Juste comme ca, Zorro fredonna un air (Je sais c'est bizzare de sa part xD Mais je savait pas quoi faire >w<). C'était un air doux... Les oiseaux semblait l'accompagner, mais bon, il s'arrêta, ca devenait trop bruyant... Peu à peu, l'arc en ciel disaparut et Zorro resta encore un petit moment puis il prit Sanji dans ses bras. Soudain, il entendit des pas, il retourna légérement sa tête et il vit, deux collégiens, main dans la main et fou amoureux l'un de l'autre, enfaite, il ne cessait de se regarder avec un sourire d'imbécile heureux. L'un tourna la tête vers Sanji et Zorro et ils tira une drole de tête. Il dit quelque chose à sa petite amie et il se mit devant elle, Zorro haussa un sourcil...

Vraiment... Ils étaient pitoyable ces deux la, et ils osaient dire que les criminels n'avait pas de sentiments ? Nan mais n'aporte quoi ! Pff... Vraiment, il fallait leurs donner une correction, et Zorro se retenait. Car depuis leurs arrivé, il avait envie de les faire fuire en hurlant et en courant. L'escrimeur avait même fait peur aux officiers de la marine, alors... Généralement, ce n'était pas trés dur pour le manieur de sabre de faire peur à quelqu'un ! Alors, des gamins comme ceux la ! Et le regard de la fille sur Sanji, ca, ca le mettait hors de lui ! Il avait vraiment envie de les assomer, ou pire, de les tuers... Heuresement qu'il arrivait parfois à se retenir, sinon, ca aurait était un carnage ! Et puis aussi, l'autre ado regardait Zorro d'un air sévére. Zorro lui le regarda d'un air froid, noire, glaciale... Mais il n'avait pas mis tout ce qu'il avait... Il en gardait... C'était trop facile, déja l'ado regarder ailleurs. Sanji dit.

-Les gens font ce qu'ils veulent quand ils veulent, sans avoir besoin d'avoir l'avis de deux gamins comme vous !

La, son ange ne s'était pas trompé du tout. Il avait totalement raison. C'est vrai quoi ? Pourquoi des "hors la loi" n'aurait-il pas le droit d'aimer ? Pff... Pitoyable, pitoyable... Les deux gamins grimacérent. Et TOC ! Bon ne pas s'exciter, ne pas s'exciter... Le gars qui se la jouait devant sa petite amie, il avait peur. Ses genoux tremblaient et dans son regard, on pouvait lire de la peur. Mais bien sûr, il voulait faire le mariole... Il n'allait pas le faire longtemps ! Croyait moi ! Avec Zorro dans les parrages !


-Commence à leur faire peur, je te suis !

Alors la ! C'est ce qu'il attendait depuis tout à l'heure. Un grand sourire sadique et machiavélique se dessina sur son visage. Il allait bien s'amusé ! Il avait toujours le grand sourire diabolique accroché aux lévres et il regardait les ados de la même facon. Cela fit son petit effet. Ils tremblaient ! Voyant qu'il ne disaient rien, il allait s'amuser ! Mais d'autres ados vinrent. Bah, de toute facon, eux aussi avaient peur, dés leurs arrivé en regardant Zorro ils s'étaient mis à trembler. Zorro lanca.

-Eh bah quoi ? Vous attendez quoi ? Que... Je boivent votre sang ?

Cette fois, un autre sourire, mais encore plus flippant, un sourire carnassier... Le bretteur se lecha les babines tout en les regardant avec envie. Alors la ! Ils étaient tous sur le point de partir en hurlant ! Deux moniteurs du "Camp" vinrent. Ils parraissaient tout aussi effrayé que les gamins qu'ils était censé garder. Toujours avec son grand sourire de vampire, Zorro demanda, d'une voix "grinçante".

-Oui... Que puis-je faire pour vous ?

Ha la la ! C'était si amusant de voir tout le monde trembler à la vue du bretteur ! Ouais, comme d'habitude quoi ! Mais, les garcons avaient une certaine lueur de défi dans le regard, comme pour se mesurer à Zorro... Si il croyait s'en tirer ! Les filles, elle, avaient un regard que l'escrimeur ne parvin pas à déchiffrer... Mais aprés tout, aprés un bon coup de regard et de sourire effroyable, tous les regards étaient baissé et tout le monde frissonnait.... Même les moniteurs ! Le moniteur parla... et il demda si il allait leurs faire quelque chose et si c'était vraiment des hors la loi et puis si le territoire étaient à eux... Ensuite il demanda ou était une certaine office de tourisme... Mmh ! Comment il le savait lui ? C'était vraiment pas à Zorro qu'il fallait demander ! L'ange aux cheuveux d'or du bretteur, demanda ce qu'il avait dit. Zorro lui répondit.

-Ils demandent si nous sommes bien les gens de l'avis de recherche, si ce territoire nous appartient et si nous allions leur faire quelque chose.

La dérniére question faisait vraiment rire Zorro et il ne pouvait s'empêcher d'agrandir son sourire de tueur fou. Bien, ils étaient vraiment marrant eux ! Ce serait comique de leurs mentir... Oui... Mais seront-il autant crédule que Chopper ? Hum... Peut être ! Le coq lui dit.

-On va les mener en bateau... Je te propose un pari... A ton avis, combien de temps on les tiendra ? Et surtout, battront-ils Chopper en naiveté et non Pipo en histoire inventé ? Moi, je te parie ce que tu veux que je fais mieux qu'eux.

Encore une fois, le sourire meurtrier de Zorro s'élargit. On dirait vraiment un fou furieux comme ca ! La, les filles étaient au bord de l'évanouissement et les gars tremblaient vraiment beaucoup... Quel spectacle hilarant ! Le manieurs de sabre répondit à son ange.

-Hum... On va bien voir, tu pari tes cigarettes !

Si il pardait ce serait super ! En fin, oui et non... Si il donner toutes ces cigarettes à Zorro, il ne pourrait même plus penser à fumer ! Mais en même temps, si il perdait ce ne serait pas vraimetn drôle... Ah, et le bretteur se rapella que le moniteur lui avait demander l'office de tourisme.

-Au fait, ils ont demandés si tu savais où ils sont et surtout où est l'office de tourisme, un truc du genre.

A ce moment la, Sanji fit un magnifique sourire et Zorro sourit à son tour, bon cette fois ce fut un sourire tendre. Ouais, y'avait que Sanji qui avait le droit à ce genre de sourire, les autres ils pouvaient rêver ! En tout cas, ils allaient bien s'amuser, Sanji lanca le "jeu"

-Oh mais attendez, bien sur que je sais où on est ! Mais attendez, venez vous asseoir là. Votre office de tourrisme ne vous apprendra rien si vous venez visiter la région. Laissez moi vous expliquer tout ça. Je ne suis pas là pour rien. Tout le monde me connait sous le pseudonyme de Calanbo. Vous avez de la chance


Zorro avait envie de rire aux eclats ! C'était la meilleurs ! Et en plus, ces neuneus ils s'asseyaint à cotés du menteur et ils souriaient. Nan mais... Vraiment...

-Oui, c'est sur ! Vous avez de la chance ! Le grand Calanbo ! Je... Euh moi je suis... Je suis Eloi (xDDD) Je suis son, euh son assistant on va dire , en ce moment il est bléssé c'est pour ca que je le porte aussi... Bon , je vais laisser parler le graannd Calanbo !

Toujours aussi crédule, ils semblaient aux anges... A ce tordre de rire !

Non mais vraiment, ils étaient presque pire que Chopper ! Ils étaient vraiment trés crédule ! C'était hilarant, ils étaient pendu au lévres de Sanji, désormais ils attendaient que Sanji parle toujours en souriant. Ah la la... Qu'est ce qu'allez inventer son blond ? Il ne savait pas vraiment... Tout ce qu'il savait c'est qu'il allait droit vers la victoire, il allait remporté ce pari. Zorro, pourtant, ne pouvait pas se permettre de perdre, vous savez, son honneur ! Mais, il ne voulait que le bonheur de Sanji et il savait que son ange blond était presque dépendant des cigarettes. Mouais, si il perdait, il prenderait sa revanche de toute facon ! Et la il gagnerait !

-Comment un Elfe tel que vous a pu se faire blessér ?

Oups... Lui il a pas tort, mais bon, le grand Calanbo allait rattraper le coup. C'était vraiment facile de leurs mentir et puis ils taient tellement crédule. Il pensait que c'était un Elfe alors ? Hum... Zorro ne voyait pas vraiment pourquoi. Son petit Sanji ne ressemblait pas à un elfe ! Encore heureux... Entre nous, il préfére les humains.

-J'étais venu en terre humaine pour des négociations de paix. Le peuple elfique des forêts ne subit pas encore les conséquences de la guerre mais les batailles remontent de plus en plus et toutes sortes de créatures se réfugient chez nous. De plus, ça ne peut pas continuer ainsi, surtout que les motifs ne sont pas valables. Du coup, je suis allé voir le président mais il n'a pas apprécié recevoir la moral d'un elfe. Du coup, il m'a pourchassé dans toute la ville et mit des espions partout. Grâce à Eloi, nous avions pu nous en tirer. Bien sur, si je suis blessé, c'est parce que je n'ai pas combattu. Je ne voulais pas blesser des innocents ! Par contre, veuillez m'excuser mais mes pauvres oreilles en ont pâti. Il va falloir crier ou passer le message à Eloi pour que je vous entende.

Bah dis donc, quel imagination ! Pipo aurait du mal à le battre. C'était un gros mensonge ! C'était amusant de les voirs avec un grand sourire. Quelques un noter les paroles de Sanji. Zorro avait passer ses bras autour de la taille de son "Elfe" et il le serrait contre lui, comme pour dire "il est à moi". En même temps, c'était vrai, le coq n'était rien qu'a l'escrimeur (Selon Zorro). Personne ne pouvait le toucher, nah ! Un moniteur avait demandé à Zorro si "Calanbo" veillissait. Il répéta la question à Sanji.

-Il te demande ton âge, pour savoir si ton corps ne vieillit vraiment pas.

Sanji répondit.

-Aha, je dois bientôt fêter mon 357 ème anniversaire. Vous savez, mon esprit a prit de l'âge mais surtout de la sagesse et de l'expérience ! Si mon corps ne vieillit pas grâce à je ne sais quel miracle, j'ai vécu tant d'années, tant d'aventures que je n'en vois plus le bout ! Mais la vie est un magnifique cadeau et vaut la peine d'être vécu ! Je profite de chaque instant et je n'ai pas fini d'en apprendre ! Le monde change aussi et lorsque j'ai fini de voir quelque chose, une autre s'ajoute. Et puis, j'ai des compagnons hors-pair. Eloi, par exemple, est un humain, mais les Dieux lui ont aussi accordés ce merveilleux cadeau qu'est la longévité.

357 ans ? Bah heuresement que c'était pas vrai, Zorro en voulait pas d'un vieux chnoc pareille ! Les ados dévisageait Sanji, ébahit, puis les regards se tournérent vers Zorro, le vert jeta encore un grand sourire sarcastique à l'assemblé. Tous les regards se baissérent.

-Quelques personnes peuvent jouir de cette longévité mais il faut être reconnu par les Dieux. Eloi est un épéiste de talent. Un jour, il fut capturé pour avoir sauvé la vie d'une petite fille en tuant un Raineko, un chat de foudre, une ancienne créature divine. Un jeune homme vint le chercher et le libérer de la justice en lui proposant un marché. En échange de sa liberté et de ses lames, il parcourait le monde avec lui pour réaliser son rêve. Pendant de longues années, ils furent ensemble à découvrir de long en large l'univers. Le rêve du jeune homme était devenu vrai et il mourrut quelques jours plus tard, le sourire aux lèvres. Eloi était alors seul, vieux et il n'avait pas profité de sa vie. POurtant, il se donna la mort dès que son ami rendit l'âme. Les Dieux, émus par ce dévouement, négocièrent avec lui. Voulant lui offrir une vie d'immortel, les divinités lui demandèrent de devenir toujours plus fort, afin d'éradiquer les sources du Mal trop fortes qui se créeront à l'avenir. Eloi accepta et son corps reprit vie, en rajeunissant. Un peu plus tard, alors qu'une armada de Balrogh en avait après moi, je trouve cet épéiste sur ma route, errant sans savoir où il va. Premier combat livré ensemble, nous nous sommes tout de suite trouvés des points communs. Puis, c'est ainsi que nous voyageons ensemble. Ca doit faire bien 210 ans non ? Il me semble que tu as 343 ans maintenant, c'est ça ?

Ca ressemblait beaucoup à son histoire, mais heuresement qu'il n'était pas aussi vieux. 343 ans... Il sourit à l'adresse de Sanji et hocha la tête. Cela ce voyait que c'était un gros mensonge mais ils étaient si crédule qu'ils étaient encore accroché au lévres de Sanji, maintenant ils riaient tous de bon coeur. Apparament , ca les faisait rire de voir un vieux hésiter. Mais l'histoire d'Eloi était amusante, Zorro aimait bien. Sanji pouvait faire preuve d'une grand imagination parfois ! Les rires s'arrêtérent et une question fut posé. L'un deux demanda de raconter à Sanji une histoire d'amour. Zorro dit à Sanji.

-Elle te demande si tu peux lui raconter un épisode de ta vie "romantique".

Grmbl... Heuresement que ce n'était qu'un tissu de mensonge ce que réponderait Sanji, Mais de quoi j'me mêle ? Pff... Zorro allait sans doute grognait pendant toute l'histoire... Mais bon , il allait faire un petit effort ! Sanji le prévint.

-Désolé, je vais devoir faire la plus grande histoire d'amour ridicule du monde, c'est à dire la plus grande fiction d'amour que tu n'aura jamais entendu. Alors n'en prends pas compte et fais aucune remarque, s'il te plait.

Le vert sourit légérement, mouais, d'accord, ca serait bien pour lui hein ! Ensuite Sanji commenca son histoire.


-Alors, c'était avant même que je rencontre Eloi, pour vous dire que ça date ! Encore jeune et fougueux, il y avait une belle Sirène qui me plaisait fort bien. Très belle, avec de longs cheveux roux et des yeux noisettes envoutants, je l'avais rencontré au bord d'un lac en pleine forêt elfique. Elle s'était perdue si bien qu'elle me demanda où était la mer. Je ne pus refuser sa demande et la guidait pour qu'elle retourne chez elle. PUis, je lui demandais si, en remerciement, nous pouvions nous revoir. Elle me dit alors : "Siffle dans cette flute et je viendrais te voir". Elle m'avait donné son pendentif. C'était une sorte de moulinet, avec un bec et différents trous, comme un ocarina. Je ne voulais pas siffler tout de suite et je mis plusieurs jours à me décider et à me préparer. Je l'aimais vraiment, et j'étais bien décidé à lui dire. Je l'appelai donc et elle arriva en quelques minutes, avec une grâce divine. C'est alors que je déballais mes sentiments. Je me souviens l'avoir vu rougir un peu avant de m'emmener dans l'eau pour nager avec elle. Elle me guida vers un coin luxueux, un espèce de petit lac pour que nous puissions parler tous les deux. Je passai des semaines entières avec elle, à lui parler et lui conter mes aventures. Puis, je la complimentai, en lui disant à quel point je l'aimais, à combien elle étiat belle... Nous étions amoureux. Elle avait la peau si claire, si douce. Et les écailles de sa queue ! Miroitantes, magnifiques ! Avec un tel éclat bleuté à en frémir !

Hé ! Des cheuveux roux, des yeux noisettes, c'était Nami tout cracher ca ! Avec un tel éclat bleu a un fremir, magnifique, gna gna gna... Zorro c'était retitn de gronder et de grogner, heuresement... La fille demanda.

-Et.. ça s'est fini comment ?

-Malheureusement, une fois que je l'appelais avec la flute, elle ne vint pas. Je l'attendis alors jour et nuit pendant trois jours. Au bout du troisième jour, elle arriva enfin, les yeux rougis par les larmes. Un Ondin l'avait choisi pour femme. Sa mère étant la plus belle des Sirènes, donc la reine, ne lui avait pas laissé le choix. Le coeur en miettes, elle avait du accepter sans rechigner. Elle avait si honte de m'avoir trahi qu'elle n'avait pas voulu venir lors de mon appel. Je lui avouai alors que je ne vieillirais pas, que seul mon esprit prendra l'âge. La séparation lui fut moins douloureux. Elle me répéta sans cesse qu'elle ne serait pas toujours belle mais aussi qu'elle m'aimait. Je ne l'oublierais jamais, et elle non plus n'avait pas du m'oublier. Tout à la fin, avant qu'elle ne s'enfonce dans les rpofondeurs aquatiques, elle m'avoua son prénom. Elle s'appellait Koname.

Koname, bizzare ! Ouais, c'était vraiment un gros tissu de mensonge ! Non mais c'était pas vrai... Il pleurait ! Ces gros naif pleurait ! Mais... Mais n'aporte quoi ! Zorro aurait voulu éclater de rire et d'ailleurs il mit sa main devant sa bouche pour s'empêcher de rire. Pendant ce temps la, Sanji regardait le ciel d'un air distrait. A quoi pouvez il bien penser ? Une autre question fusa.

-Et Eloi, lui est ce qu'il a une histoire d'amour ?

Ho bah nan... Zorro se tapa le front avec la paume de sa main...

Sur la route, Zorro me redonna le briquet et le paquet qu'il m'avait piqué, sans rien dire. J'hésitais quelques instants. Je ne savais pas vraiment quoi faire, entre en fumer une ou ranger le tout. Je choisis finalement la deuxième option. Je pouvais peut-être tenir et arrêter complètement... peut-être. Encore un pari à prendre. Enfin, pour cette fois, je décidai de lui faire plaisir et de ne pas y toucher. Pour cette fois.
Une fois à la maison, il me déposa sur une chaise pour aller faire à manger. Chopper accourut pour m'ausculter et changer mes bandages et enfin me donner mes médicaments. Il n'avait pas l'air très content, sans doute parce que nous étions partis longtemps sans rien dire mais un sourire illumina son visage tout au long de son check-up.

-Ah, au fait Chopper, je commence à entendre de nouveau quelques sons. C'est bon signe non ?

Je ne l'entendis pas mais il s'empressa de faire des tests. D'après ce qu'il me dit, je retrouverais une ouie convenable demain matin, après une bonne nuit de sommeil. Tant mieux ! Il me dit aussi que j'allais bientôt être autorisé à marcher. Encore une bonne nouvelle. Après quoi, je dus avaler son breuvage amer. Je ne râlai pas, il me soignait. Et puis, j'avais hâte de guérir pour de nouveau m'occuper d'eux. Zorro revint alors avec le repas. La suite de la soirée n'était pas inchangé. Après manger, il m'emmena dans la chambre pour s'endormir. Si lui y arrivait en quelques minutes, je mis plus de temps. Je regardais le ciel, pensif. Plusieurs dillemmes m'assaillaient si bien que je ne trouvais pas le sommeil. POurquoi m'inquiéter tant ? Je n'e savais rien ! J'aurais bien voulu vivre tranquille mais pas moyen. L'homme est une créature bien complexe, qui se complique encore plus lorsque les problèmes surviennent...ou non. Finalement, la fatigue eut raison de moi. Je n'avais pas fait grand chose, certes, mais les absurdités que j'avais déballé m'avait épuisé.

Noir blanc rouge Noir blanc rouge Noir blanc rouge. Une suite incompréhensible de couleur qui se répète. Tout tourne autour de moi. POurquoi la seule couleur est-il celle du sang ? Du sang ? Je regarde autour de moi comme je peux. Le tournis m'assaille. Non, quelque chose n'est pas normal. Qui saigne ? Est-ce moi ? je ne ressens pas la douleur. Je secoue la tête pour me remettre les idées en place. Devant moi, il y a mon reflet, ensanglanté. Je tend la main vers moi-même. Mon reflet m'attrape et sourit, un air que je n'aime pas, diabolique, inhumain. Une marionnette.

-Tu es une marionnette, Sanji-kun... Sa marionnette... Tu es prisonnier de lui... et de toi-même surtout...

Une petite chanson, comme celle d'un mobile pour enfant, retentit. De plus en plus fort. Je plaque mes mains sur mes oreilles mais le son strident entre quan dmême, déchirant mes tympans. La marionnette danse, suspendu par des fils qui la manipule. Pourquoi ? Mon bras bouge sans que je le veuille. Lui aussi est relié par un fil. L'autre entame la même danse. Je crie, demande de l'aide. Mais personne n'est là. La voix de la marionnette me hante :

-Tu es sa marionnette ! Nihihihihihihi !

-ARRÊTEZ !!!!!!!!!!!

Les fils se coupent et je tombe, inerte. Le noir m'envahit. J'ai peur. suis-je mort ? Non, la vraie question est : ou suis je ? Je m'enfonce sans cesse dans l'ombre et sans comprendre pourquoi, je deviens une créature des ténèbres. Alors que j'hurle une dernière fois, ma conscience se coupe de la réalité qu'est ce monde des songes.

Je me réveillai en sursaut. Quelques chose tomba dans un bruit sourd. Il faisait encore nuit noire. Doucement, je m'asseyai pour regarder autour de moi. Un livre était tombé, laissant glisser le marque page par terre. Je suis trempé de sueur et de larmes. A côté de moi, Zorro dormait paisiblement. Un cauchemar. Juste un cauchemar. Je soupirai de soulagement. Je passais ma main sur mon front, comme pour chasser le mauvais rêve et me recouche blotti contre Ai-san. Je n'étais pas une marionnette, j'étais moi-même. Et je suivais ma propre voie que je m'étais dessiné.

Le lendemain matin, je fus réveillé par une petite peluche qui demandait de m'ausculter. Le bretteur s'était déjà levé et préparait le petit déjeuner. Visiblement, j'étais encore le dernier réveillé. Sans le faire plus attendre, je laissais le médecin m'ausculter. Cette fois, j'entendais tous les sons, ce que je dis à Chopper. Il m'avait alors répondu que mon ouie était de nouveau opérationel. Tant mieux, je commençai à en avoir marre. Puis, il em dit à la fin de son auscultation :

-Tu vas pouvoir de nouveau marcher ! Par contre, n'en fais pas trop, ton dos et tes côtes n'ont pas fini de cicatriser !

-Ne 'tinquiète pas, je ferais attention. Merci CHopper, tu es vraiment un excellent médecin.

Comme je le prévoyais, il rougit et répétait qu'il n'étiat pas sensible à la flatterie, tout en dansant sur le lit. IL était trop drole quand il faisait ça. Vraiment trop mignon. Je me levai et me changeai, en m'habillant d'une chemise noire pour changer et un jean bleu délavé. Lorsque j'entrai dans la cuisine, Zorro fut visiblement surpris de me voir sur pieds. Avant qu'il ne fasse une remarque, je me justifiai :

-Chopper a dit que je pouvais de nouveau me déplacer si je n'en faisais pas trop ! Allez jusqu'à toi n'est pas trop dur physiquement non ?

Je lui souris avant de l'aider à préparer à manger. Je constatai alors que les réserves étaient sensiblement vides. Il allait falloir faire les courses cette fois, pas moyen d'y réchapper. Nous réussimes quand même à faire de quoi manger pour ce matin. Comme le petit renne n'avait pas vraiment envie de sortir, je proposais alors à Zorro s'il voulait se dégourdi les jambes avec moi, ce qu'il accepta. Je ne savais pas où aller, ni rien. J'avais surtout envie de marcher un peu. Les courses n'étaient qu'une excuse. Nous sortimes alors de la maison, main dans la main, vers une destination inconnue.

(Préambule à ce que tu veux xD... La vengeance sera terrible )