Petits crimes en famille [CHopper/Zorro/Sanji]

(Justement >=) ET mais nan, tu ne fais pas pleins de fautes =O je t'assure)

Les hurlements continuèrent en prenant un peu plus d'ampleur. Un peu comme dans mon rêve en fait. Sauf que je ne reconnaissais pas Reel. Pourtant, l'une des voix m'était familière. Peut-être l'un de mes frères, qui sait ? Je n'y faisais pas vraiment attention lorsque Zorro posa la question :

-Des loups ? Qui hurlent en pleine journée...? Pourquoi ?

Je ne répondis pas tout de suite. J'essayais de comprendre. Tout doucement, je me levai pour m'approcher un peu plus de la fenêtre, afin d'écouter un peu mieux leurs cris. Ils n'étaient pas loin, je pourrais très bien leur demander. Car leurs appels étaient bizarres, sans aucun sens. Ca ressemblait à un appel de rassemblement, mais pas seulement celui d'une meute. Ils étaient plus nombreux, si bien que de plus en plus de voix s'ajoutaient. Il se passait quelque chose de grave. Un loup ne protège que sa meute, pas celle des autres. Et ils s'allient encore moins. Sauf cas exceptionel. Ce n'était pas normal. C'est sans doute pour ça que mon instinct me tiraillait tant. Un loup, même humain, le reste toute sa vie.

-Ils appellent... Ils veulent une vengeance... Aka... Tsuki...

Je ne comprenais pas tout, et Zorro devait surement se poser des questions aussi. POurquoi ? POurquoi les loups demandaient vengeance ? Habituellement, les meutes nétaient pas belliqueuses. Bien sur, elles défendaient leurs territoires et pleuraient les morts. Mais jamais ils ne s'abaisseraient à la vengeance. Il se passait vraiment quelque chose de grave. Mon coeur se mit à se serrer, si bien que je portais ma main jusquà lui, froissant ma chemise. Ca faisait mal. Un petit rictus de douleur vint occuper mon visage. Maintenant, je reconnaissais Tsukimi, ma soeur de meute et mère de Reel. C'est moi qu'elle appelait. Par mon autre nom. Elle savait que j'étais là. Je ne pouvais tromper personne. Il fallait que j'y aille. POur comprendre.

-Ils m'appellent... Je reviens...

Sur ces mots, je sautai par la fenêtre et courrut vers la direction des hurlements. Je ne pouvais pas rester indifférent. Bien sur, il y avait Zorro, mais je ne pouvais pas laisser aussi les loups. Parce que quelque chose se préparait, bien plus grave que j'aurais pu le penser. Et il fallait que je comprenne. J'arrivais sur les lieux où déjà une petit soixantaine de loups étaient rassemblés. Ils continuaient de hurler, appelant les autres. Il n'y avait que des guerriers, des loups en âge de se battre. Aucun louveteaux ou anciens. Je n'avais aucune chance de voir Reel. Je vis ma soeur, Tsukimi, qui me dit d'approcher. Puis, elle pointa le museau vers le ciel et je pus voir la lune, toujours de couleur rouge. Aka Tsuki... Lune rouge. Puis, perché en haut d'un rocher, il y avait un autre loup, de couleur gris décliné dans plusieurs nuances. Je reconnus l'un de mes frères : Azzuen. A côté de lui, il y avait un autre loup, tout noir. C'était Kuroki, le petit loup garou. J'ignorais qu'il pouvait avoir une telle forme... A moins qu'il soit hybride. Mais qu'est ce qu'il faisiat là ? Lui aussi hurlait, avec un regard des plus belliqueux. Où était passé le petit gamin qui voulait arrêter la guerre ? Je me retournai vers Tsukimi et lui parla :

-Qu'est ce qui se passe ?

-la lune rouge nous a appelé. Elle demande la vengeance. Les humains ont tués trop des nôtres, ainsi que d'autres peuples. Nous devons les exterminer.

-MAis attendez ! C'est stupide ! Ils sont trop nombreux et ils ont des technologies avancées ! Les attaquer serait vous envoyer à l'échafaud ! Et.. pourquoi m'as tu appelé ? Moi, un semi humain ?

-Nous avons nos raisons d'attaquer. Tu ne nous empêchera pas. Et tu es toi aussi un loup, Suna, ton devoir est d'aider les tiens. Nous n'avons pas qu'un peuple à tuer, il y en a trois : les humains, les démons et les vampires.

-Non, non non ! Vous courrez à votre perte ! Ils sont bien trop forts ! Nous ne sommes plus assez nombreux ! Et puis, pourquoi maintenant ? La lune rouge apparait tous les hivers ! POurquoi ...?

-Ils ont tué Yûki... Ils ont supprimés la lignée de la lune rouge ! Même si elle était une Chimai, c'était la dernière de son espèce ! Et ils l'ont tuée ! Ils ont tué notre soeur !!

Je lisai une telle rage dans ses yeux que je devinais toute la rancoeur qu'elle avait accumulé. Je ne la reconnaissais plus. Quant à moi, je restai de marbre. Yûki était ma soeur de meute. Ma petite soeur. Une louve rouge qui avait hérité du pouvoir de la lune rouge, le Aka Tsuki. C'était une énergie que seul un élu par génération pouvait capter. Les mâles devenaient les chefs de meute et on les appelait les Akamai, la danse rouge. Les femelles qui ont ce pouvoir sont rares. Reniées et le plus osuvent tuées, on les appelle les CHimai, danse sanglante. L'énergie qu'elles captent est alors appelés CHi Tsuki, la lune de sang. Un de mes frères aurait dû hériter de ce pouvoir, notre père étant un Akamai, mais ce fut elle de l'avoir. POurtant, elle n'avait pas été tué. Nous l'avions protégés, et ce depuis toujours.
Et maintenant, elle était morte. Je ne pouvais pas y croire. POurquoi ? Aucun autre peuple que les loups ne connaissaient cette histoire ! Et surtout... comment ? La lune rouge apportait une telle puissance que j'imaginais mal ma soeur mourrir. Je comprenais mieux le pourquoi de la vengeance. Ils avaient tués Yûki. Les larmes commençèrent à couler et je me précipitais vers les rochers où étaient les deux loups. Je sentais qu'elle était là. Mon coeur se serra encore plus. Je vis alors la louve allongée au pied du promontoire, couverte de sang. Elle avait des blessures affreuses, mais surtout elle ne bougeait pas. Son flanc ne se levait plus, même pas pour respirer. Elle était bel et bien morte.

-Yûki... Non... Yûki....Yûki... YÛKIIIIIII !!

Je courrus vers elle en la prenant délicatement dans mes bras. Son sang tâchait rapidement mes vêtements mais je m'en foutais bien ! Je la serrais contre moi, ne comprenant pas pourquoi elle était là, morte. Mes mains commencèrent à caresser son pelage souillé de sang, comme je le faisais avant. Elle était ma petite soeur, une partie de ma famille. Bien sur, je m'étais séparé d'elle il y a bien longtemps mais je ne l'avais pas oublié. C'était juste normal. Rare sont les louveteaux qui restent au sein de la même meute. Le sort veut qu'ils en créent d'autres. Mais Yûki avait du être toute seule. Sinon, elle aurait déjà eu des descendants, quelqu'un à qui elle aurait cédé son pouvoir. Mais non, sa lignée mourrait avec elle. Je n'arrivais pas à y croire. C'était donc pour ça que la lune restait visible. Elle demandait vengeance à tous les peuples qui avait tué sa fille.
Je sentis alors un museau me toucher doucement. C'était Tsukimi, avec Azzuen. Leurs yeux emplis de souffrance me témognaient leur douleur. C'était leur soeur à eux aussi. Je vis aussi deux autres loups approcher, l'un brun clair et l'autre noir. Les deux étaient mes frères, l'un s'appelait Hinode et l'autre Yoru. La famille était donc réunie. Yoru me parla alors :

-Suna... Toi aussi tu demande vengeance pour notre soeur, n'est ce pas ? Tu le sens aussi bien que nous...

-Je...

-Combattons ensemble, pour que la lune rouge soit enfin vengé.

-Non... Il ne faut pas... La vengeance n'est pas dans la nature d'un loup... Ce n'est pas ce qu'elle voudrait...

-Tu ignores l'appel de la lune ? Toi ? Un loup ? Suna... Qu'es tu devenu pendant toutes ces années ?

-Je reste un loup Hinode ! Seulement... J'ai une famille, comme vous... Une autre famille... J'ai un fils, des amis... Une meute.. Je ne veux pas les laisser seul parce que je vais me battre. Pas pour une vengeance stupide. Bien sur, j'entends la lune mais elle ne veut pas un nouveau bain de sang. Ce n'est pas ce qu'elle veut. Ni la lune, ni Yûki...

-Qu'est ce que tu en sais ? Je ne t'entends plus hurler depuis bien longtemps ! Ta meute est composée d'humains, tu empestes leur odeur ! Nous devons nous battre, avec ou sans toi !

-Vous ne savez rien des humains !! Ils vont tueront comme ils ont essayé de me tuer ! Ils n'ont aucune pitié, surtout pas pour ce qu'ils appellent des "bêtes" ! Et tous les humains ne sont pas froncièrement mauvais !

-Ils t'ont envoûtés... De toute façon, notre décision est déjà prise... Nous attaquerons ce soir, avec la lune rouge. A toi de décider si tu es un loup ou non, Suna.

Ils partirent pour continuer à hurler. Les loups s'ajoutaient de plus en plus tandis que je regardais toujorus ma soeur morte dans mes bras. Les larmes avaient finies par se tarir. Je ne savais pas vraiment quoi faire. Je ne voulais pas perdre quelqu'un d'autre de ma famille. Pas comme Yûki, massacrée sans vergogne. Elle smeblait dans un profond cauchemar. Il fallait que son âme cesse de se tourmenter, qu'elle repose enfin en paix. Doucement, je me levai et partit en direction de la maison. Azzuen me regardait du haut du rocher, mais il me laissa faire. Une fois un peu plus loin, je m'enfonçai dans la forêt. Avant de retourner à la maison, il fallait que je donne une sépulture digne de ce nom pour ma soeur. Je trouvais un arbre creux, qui semblait idéal pour l'accueillir. Avec de la terre ocre, je traçais le contour de sa patte sur l'arbre, ainsi que la mienne. JE la déposai doucement dans l'arbre après avoir dessiné les marques mortuaires que faisaient les loups.

-Yûki... Tu as du te battre jusqu'au bout pour défendre les tiens et ta propre vie. Comme ton nom l'indique, tu as fait preuve d'un courage immense. Tu es partie trop tôt, en emportant ta lignée avec toi. Mais ne t'inquiète pas... Tu peux reposer en paix maintenant. Suna prend le relais.

Puis, j'entamai un chant, triste et lent. Les larme srecommencèrent à couler, tout comem les souvenirs des premières années de ma vie. Cette petite louve, je l'adorais. Elle étiat différente, comme je l'étais. Je la protégeai, comme elle m'apprenait comment faire pour chasser. Parce qu'un humain n'a pas les mêmes caractères qu'un loup, et pourtant, j'ai toujours été considéré comme tel. C'était bien la première fois qu'on mettait en doute cette facette de moi. La lune rouge ne recherchait pas la vengeance, elle les rendait fou pour ne pas l'avoir protégé. Ou alors elle voulait obtenir quelque chose. Je ne savais pas quoi. Je ressentais son message sans le comprendre. Toujours en me serrant le coeur.
Une fois le chant fini, je fis un dernier adieu à ma soeur avant de rentrer à la maison. Finalement, je m'étais absenté un long moment. J'espérais qu'il ne soit rien arrivé. En plus de Zorro, il fallait que j'ai d'autres problèmes. Ce soir... Que faire ? Je ne voulais pas perdre ma famille, mais je ne voulais pas mourir. Pas laisser seul le bretteur et le petit renne. Non, pas ça. C'était tout ausis tourmenté que je rentrai par la même fenêtre par laquelle j'étais sorti. Je vis le sabreur interrogatif. Je détournai le regard. Je devais encore garder les traces de mes récentes larmes et mon air triste. Je dis :

-La lignée de la lune rouge s'est éteinte, c'est à dire que les loups capables de capter l'énergie de la lune rouge sont tous morts. La dernière était ma soeur, Yûki. Elle a été massacré par les humains. Alors tous les loups reçoivent un message de la lune, ce qui les incite à réclamer vengeance et à vouloir attaquer les trois peuples qui les a meurtri : les humains, les vampires et les démons. Ils appellent tous les compagnons pour une grande attaque cette nuit, et...

Je marquai une pause. Je déglutis lentement tout en regardant par la fenêtre la lune qui m'appelait sans cesse. POurtant, elle n'avait pas l'air de vouloir la bataille. C'était incompréhensible. Peut-être parce que j'étais humain, tout simplement. Mais je ne voulais pas croire que l'astre tant adulé des loups les poussent à une chose aussi peu noble qu'est la vengeance. ce n'était pas normal. Il se tramait quelque chose en dessous. A moins que ce ne soit que la haine qu'ils éprouvaient après la mort de Yûki... Je finis par finir ma phrase dans un souffle :

-Ils m'appellent... pour attaquer aussi... parce que je suis un loup, moi aussi...

Tant que je porterai mon nom de loup, je le serais. J'entendis alors des petits pas approcher. Je reconnus Chopper. je me tournais vers lui. Il ne semblait pas vraiment porteur de bonnes nouvelles. Il me fixa d'abord, comme s'il avait suivi tous ce que j'avais fait avant de s'approcher plus pour sauter sur le lit, à côté de Zorro. Je le questionnai du regard avant de lui poser la question oralement :

-Alors ? Tu as du nouveau ?

-Oui... Je sais de quoi souffre Zorro...

Je reportais un peu plus mon attention sur lui. Il savait maintenant de quoi était atteint Zorro. Je voulais l'entendre, pouvoir l'aider. MOn regard se fit plus insistant, quémandant une réponse. Si je ne pouvais pas sauver mes frères, je pouvais au moins aider ma famille. Il ne me manquait qu'une information : la maladie de Zorro.

[... Bon, je sais... C'est... du n'importe quoi OO ]

(Meuh naaaan. Par contre je t'en veut d'avoir écrit un aussi gros pavé <>.<> x) )

Le blond se leva pour s'approcher de la fenêtre. Certainement pour mieux écouter les cris. Il sembla d'abord ne pas savoir lui non plus ce que cela signifiait. Lui savait surement plus que le vert, car le vert n'avait pas grandit avec des loups contrairement à Sanji. Il n'y connaissait pas grands choses aux bêtes. M'enfin ce n'était peut être pas grave...En fin, vu la mine inquiéte du coq... Si.
'
-Ils appellent... Ils veulent une vengeance... Aka... Tsuki...

Aka tsuki ? Gné ? Ah... Ca ne voulait pas dire Lune rouge ca ? Ah ouais. (Rooh Zorro révise ton japonais ><) Ok. Bon y'avait une lune rouge, ca arrive. Mais le vert n'y avait jamais vraiment fait attention. Il ne regardait la Lune que rarement. Donc, en gros, les loups étaient en train de hurler pour dire qu'ils veulent la vengeance? Vengeance ? Se venger de qui ? Etrange que blondinet d'amuuur /SBAFF/ ( x) ) ne sache oas lui non plus. Au bout d'un moment il lacha :

-Ils m'appellent... Je reviens...

Zorro eut a peine le temps de le retenir qu'il sauta par la fenêtre et se mit à courir... Sympa le vent --'. Bon et maintenant ? Zorro était seul, ne pouvait bouger, avec un petit renne à la maison. C'était magnifique. Il soupira. Comme il n'avait rien d'autre à faire, il regarda dehors. Effectivement, même un pleine journée on voyait la lune, rouge sang. Le bretteur fit une moue songeuse, en se demandant ce que son cuistot préféré pouvait bien faire... Pfff, c'était bien trop long,il fallait qui le rejoigne... Mais comment ? Zorro essaya de faire un pas vers la fenêtre mais... Il tomba. Ouchh >< ! Il essaya de se relever mais... Comme ce matin, il resta cloué au sol. Bon pas le choix, il fallait appeler le petit renne.

-Chopper ? Tu peut venir voir deux minutes s'il te plait ?

Le petit renne, inquiet, arriva à la vitesse de l'éclair dans la chambre. Ce qui éxaspéra notre cher Marimo. Chopper essaya de le relever en Brain point, mais.. Zorro était beaucoup trop lourd. Chopper se transforma dans sa forme mi humaine mi renne (Heavy point) et prit le vert dans ses bras pour le déposer sur le lit. Chopper se remit en Brain point et sermona Zorro. Ouais, ouais, il ne devait pas bouger, ect... Mais il le savait ca ! Le probléme c'est que non seulement il ne savait pas ou se trouver Sanji , mais en plus, il s'ennuyait à mourrire ! Une fois le renne partit, le bretteur eut l'idée de faire une sieste. Mais étrangement, il eut beau essayer de dormir... Il n'y arriva pas. Peut être était ce l'inquiétude ? Ou bien la maladie ? Tchh... Il ne pouvait RIEN faire ! Pendant que le beau blond (=P Ca faisait longtemps x) ) était parti on-ne-sait-ou, L'épeiste s'ennuyait ferme...Il se retournait dans le lit, jouait avec des trucs qui trainaient, ect... Enfin ! Le blond arriva. Zorro lui fit un grand sourire. Mais... NANI ?! C'était quoi ca O.O ?! Qu'est ce que...?! Le blond avait pleuré, et avait du sang sur sa chemise. Le vert lui lanca un regard vraiment trés inquiet x) ! Le blond répondit :

-La lignée de la lune rouge s'est éteinte, c'est à dire que les loups capables de capter l'énergie de la lune rouge sont tous morts. La dernière était ma soeur, Yûki. Elle a été massacré par les humains. Alors tous les loups reçoivent un message de la lune, ce qui les incite à réclamer vengeance et à vouloir attaquer les trois peuples qui les a meurtri : les humains, les vampires et les démons. Ils appellent tous les compagnons pour une grande attaque cette nuit, et...

Ok... Encore une fois, Marimo n'avait rien compris, bien qu'il ait saisi quelques trucs, comme que les loups voulait les...Tuer ?! O.O Enfin du moins lui, car il était humain... Ouh laaaa ! Trop super méga giga génial --' ! M'enfin passons... Zorro lui lanca un regard insistant pour l'inciter à raconter la suite. Aprés une grande pause, le coq dit la suite :

-Ils m'appellent... pour attaquer aussi... parce que je suis un loup, moi aussi...

Euh. Vous imaginez un Zorro avec la machoire inférieure qui touche le sol ? Et avec des yeux exorbités ? Bah voila, en ce moment, le vert ressemblait à ca. Bah ui, si Sanji était un loup lui aussi,il devait donc attaquer les humains, donc Humains = Zorro. Donc en gros c'était comme si Sanji devait tuer Zorro <=O (Bravo narratrice =D) Pour casse ce silence, le renne entra dans la chambre, s'assit. Le blond demanda :

-Alors ? Tu as du nouveau ?

-Oui... Je sais de quoi souffre Zorro...

Ah tiens, enfin une bonne nouvelle. En fin, si on pouvait appeler ca comme ca... Le blond et le vert regardait le renne. Le renne finit par dire :

-Il a une maladie sans nom encore. Elle n'est pas trés rare, surtout par ici. Elle peut devenir mortel.... Si... Si on la guérit pas en trois jours et ce qui a causer ca c'est une morsure de bête.

Zorro fut choquer. Plus que tout à l'heure ! Quand s'était il fait mordre ? Il y a surement longtemps nan ?... Le silence s'installa... Un silence pesant, ou personne ne savait quoi dire. Meme pas chopper qui en temps normal se serait jeter sur Zorro pour le soigner.

(Woila, je ne rajoute pas de commentaires, pas envie de me faire taper <.<")

Lorsque je lui avais tout raconté je voyais bien que Zorro n'avait pas totalement tout compris. Normal, vu qu'il ne connaissait pas toutes ces histoires, ça semblait vague. Mais c'est sa réaction lorsque je lui ai dit qu'on m'appelait pour participer à la bataille qui m'avait le plus marqué. Il était littéralement bouche bée, jusqu'à ce que sa machoire touche le sol. Je regardais douloureusement la fenêtre. Tuer les humains signifiait tuer son peuple, ainsi que celui de l'équipage. Et aussi à tuer Zorro. Et ça, ça ne m'était pas possible. J'avais déjà eu l'idée stupide de partir, mais alors le tuer... C'était tout simplement inpensable. Mais là n'était pas vraiment l'important pour le moment. Chopper venait d'arriver avec la réonse qu'on attendait tous : la maladie de Zorro. IL finit par dire, sous nos regards implorants :

-Il a une maladie sans nom encore. Elle n'est pas trés rare, surtout par ici. Elle peut devenir mortel.... Si... Si on la guérit pas en trois jours et ce qui a causer ca c'est une morsure de bête.

-Nani ?

Nous restâmes tous un moment silencieux, sans bouger. Qui l'avait mordu ? Un loup-garou... Mais ça faisait longtemps, trop longtemps et je l'avais soigné. Ou alors l'espèce de rhinocéros. Ou encore une autre bête du Pentagone, qui sait ? Je ne savais pas qui avait pu lui refiler la maladie mais en tout cas, la situation d'urgence était enclenché. Il fallait le soigner au plus vite ! Je me mordis la lèvre, inquiet. Il ne manquait plus que ça... Bon, d'abord, le plus important : Zorro. Je demandai à Chopper, en espérant qu'il réagisse :

-CHopper, il te faut quoi pour le guérir ?

-Ah euuh... des médicaments... Mais ils s'achètent en ville alors il faudrait juste y aller vite fait...

En ville ? CHez les humains ? Je poussais un long soupir. Bon, si je résumais la situation, soit je pactisai avec les loups pour protéger ma famille et je massacre les humains, y compris Zorro, soit je vais sauver Zorro en prenant les médicaments humains et du coup... je n'étais plus un loup, plus rien pour ma famille. Génial... POurtant, le choix ne m'était pas si dur à faire. Je savais très bien où je devais aller.

-Bon, je vais y aller alors... Fais moi une liste, et je pars de suite...

-Euh, ce ne sera pas aussi simple... Je n'ai pas l'équipement nécessaire pour le guérir totalement alors il faudra que tu l'emmène. Mais si tu veux, je peux...

-Non, ça ira, ne t'inquiète pas. Les loups sont excités aujourd'hui je préfère que tu reste à l'abri. Tu es avant tout un renne, une proie pour eux. Et ils sont très nombreux alors reste à l'abri. Ils ne me feront rien. Alors donne moi ta liste et je pars de suite !

-D'accord, d'accord... Mais d'abord, c'est quoi ces traces rouges que tu as sur les mains ?

Je crus d'abord que c'était du sang, donc pas besoin de paniquer mais lorsque je vis mes mains, ça n'avait rien à voir. Elles présentaient chacune un cercle de couleur rouge transperçé d'un trait écarlate qui allait du majeur jusqu'au coude. Hein ? c'était quoi ça ? On aurait dit un espèce de tatouage. Chopper s'approcha pour regarder de plus près mais dès qu'il y toucha, j'écartai ma main dans un petit cri de douleur. Je massai doucement les marques rouges, san spour autant sentir la douleur. Alors pourquoi Chopper ? Ca me semblait très louche, tout ça... Le petit renne me fixai, inquiet. Je soupirai et redonnai ma main pour qu'il l'examine. IL retraça le symbole avec sa patte, tandis que je crispai. Ce n'était pas agréable DU TOUT. Puis, ma marque se mit à luire. Je reculai de quelques pas avant de passer mon autre main sur le tatouage, comme pour l'effacer. La lumière s'éteignit aussitôt. Un tatouage magique, voilà ce qu ec'était. Ca marchait comme une rune, il suffisait de la retracer. Mais j'ignorai quel était son effet. Et je ne voulais pas savoir.

-Laisse ça tranquille, c'est pas important... Le temps nous est compté...

Le petit renne acquiesça avant de partir me faire la liste des médicaments nécessaires. Bien sur, il allait surement falloir emmener notre Zorro à l'hôpital pour qu'il se fasse soigner correctement mais bon, si au moins j'avais ce qu'il fallait. Je fixai toujours ces drôles de marques rouges sur mes mains. C'est bizarre, quand même. Je ne l'avais pas depuis longtemps alors qu'est ce que c'était ? Je me laissai tomber sur le lit dans un profond soupir.

-Les loups vont me tuer si jamais ils voient que j'aide un humain... Mais ils en auront pas le temps...

Au fond de moi, j'étais déterminé poru sauver Zorro, famille de loups ou pas. Je savais que si ça devait arriver, sans hésiter, c'était lui que je choisirais. Bien sur, je voulais protéger les deux, mais le bretteur était bien plus important pour moi que ma famille de boule de poils. Et je pense que le concerné l'avait deviné. Je ne lèverai pas la main sur lui, ou le pied plutôt. Il était tout ce que j'avais de plus précieux. Vraiment tout. Je vis Chopper revenir avec une liste qu'il me donna. Après un coup d'oeil dessus, je la fourrai dans ma poche avant de prendre Ai-san sur le dos avec l'aide du petit renne en Heavy Point. Une fois bien calé, je commençai à partir en direction de la ville, au pas de course. Bon sang, il fallait vraiment être fou pour faire ça. Par "chance", je l'étais. Ouais, fou amoureux de lui. La ville était loin et j'avais du mal à garder le rythme. Il faut dire qu'avec cette masse de muscle en plus ça faisiat un certain poids, mais j'avais les jambes solides et je pouvais tenir. J'espérais seulement que les hurlements de loups de plus en plus proche de moi n'étaient que le fruit de mon imagination...

[Mais arrête de te sous-estimer ^^ J'aime bien moi, tes rps ]

Tout était embrouillé dans la tête de ce paumé de bretteur. Bon, tout d'abord... Il n'avait pas le souvenir de s'être fait mordre récemment... Quoi que... Non, non, j'ai rien dit ^^' ! Et puis... Si il n'était pas guéri avant trois jours sa mort était assurée ? C'était une blague ? Zorro ne peut PAS mourir. Impossible ! Il faut qu'il tienne toutes ces promesses... Et surtout les promesses qu'il avait fait à Sanji et a Kuina. Bon, apparemment, ca pouvait se soigner... Une bonne nouvelle. Mais il ne restait que trois jours et déjà, la journée touchait à sa fin. Il n'y avait qu'une seule solution ! Retourner en ville ! Mais... Cet endroit horrible, c'était... Sadique de laisser Sanji aller la bas tout seul ! Pfff, Zorro aurait tellement voulu le suivre ! Malheureusement, le médecin ne voudrait surement pas... Le blond brisa le silence :

-CHopper, il te faut quoi pour le guérir ?

Le petit médecin répondit, gêné :

-Ah euuh... des médicaments... Mais ils s'achètent en ville alors il faudrait juste y aller vite fait...

C'est bien ce que disait Zorro. De toute façon, même si on était le matin, il faudrait quand même aller en ville... Le frêle jeune homme poussa un long soupire. Il avait raison en même temps. C'était vraiment... Une corvée. ( SI vous ne voyez pas de quoi je veut dire, regarder les épisodes précédent ;D /SBAFF/ ) Le blond dit :

-Bon, je vais y aller alors... Fais moi une liste, et je pars de suite...

-Euh, ce ne sera pas aussi simple... Je n'ai pas l'équipement nécessaire pour le guérir totalement alors il faudra que tu l'emmène. Mais si tu veux, je peux...

-Non, ça ira, ne t'inquiète pas. Les loups sont excités aujourd'hui je préfère que tu reste à l'abri. Tu es avant tout un renne, une proie pour eux. Et ils sont très nombreux alors reste à l'abri. Ils ne me feront rien. Alors donne moi ta liste et je pars de suite !

-D'accord, d'accord... Mais d'abord, c'est quoi ces traces rouges que tu as sur les mains ?

Ah une bonne nouvelle ! Zorro pouvait enfin être avec Sanji ! Pour une fois qu'il pouvait bouger quand il était malade... Ah ben non, vu qu'il ne PEUT plus bouger. Rhoo... Puis,la conversation prit une autre tournure. Chopper avait demandé... Ce qu'était les "traces rouges " sur ses mains. Vous pensez, Zorro tout de suite inquiet, tourna la tête a la vitesse de l'Éclair pour voir les mains du coq. Elles avaient bien des marques rouges... Mais cela ne ressemblait pas à des plaques... Ni a du sang. C'était.. Vraiment des marques. Etrange ? Zorro lança un regard interrogatif à Sanji... Ce qui ne servit à rien car Sanji n'avait pas l'air d'en savoir plus que Zorro et Chopper. Le petit renne essaya de toucher les marques de Sanji mais des que le petit renne toucha la marque, le cuistot préférer de Zorro retira vivement sa main. Comme si il s'était brulé. Nani ?! Qu'est ce qu'il lui arrivait ? Le coq massait ces drôles de marques. Chopper regarda Sanji avec une pointe d'inquiétude dans les yeux. Le bretteur fit de même, même si Sanji ne l'avait pas vu. Finalement, le cuisinier lui re donna sa main pour la faire examiner. Le petit renne au chapeau rose retraça le signe avec sa patte.Le pauvre avait vraiment l'air de souffrir... Ce qui faisait aussi souffrir Zorro ! Sanji recula de quelques pas et passa son autre main sur son tatouage. Nah, c'était vraiment Bizarre... LA révélation. SANJI ÉTAIT UN EXTRATEERREEEESTTREEEE :O ! Non, sérieusement. le tatouage se mit à LUIRE ! Vous vous rendez compte ?! L'escrimeur sursauta et recula. Vous imaginez sa tête ? Les sourcils légèrement froncé, avec des gouttes qui perlait surs son front, et une expression... De.... Je sais pas xD ! La il se disait que le coq était VRAIMENT bizzare. M'enfin, il s'en foutait, il l'aimait quand même =D

-Laisse ça tranquille, c'est pas important... Le temps nous est compté...

Le vert se remit peu à peu de son état de choc (xD) et soupira. Muais, ils avaient trois jours chrono Génial ! En fin, il pouvait y aller tout de suite mais en se dépêchant alors... Le petit médecin acquiesça et revint ( ?) dans sa chambre. Le blond sembla réfléchir un moment, puis il se laissa tomber sur le lit avec un gros soupir.

-Les loups vont me tuer si jamais ils voient que j'aide un humain... Mais ils en auront pas le temps...

Humph, encore heureux ! Et quand il pensait qu'il ne pouvait même pas le protéger. Tch... Vraiment. Le vert détestait plus que tout les maladies, ca, c'était certain ! Et puis, Zorro savait très bien (En tout cas il l'espérait ^^') Qu'il avait choisi de "trahir'" sa famille de loups et de ne pas toucher au sabreur ni au renne. Chopper réapparut et tendit une liste à Sanji. Celui ci la fourra dans sa poche. Puis, avec l'aide de Chopper en forme "humaine", il fut sur le dos de Sanji. Pour une fois, les rôles étaient inversé. Et.... Le pauvre blond devait en pâtir. Hé hé ^^' C'est qu'il n'était pas aussi léger que lui... (Non non >< Pas avec sa graisse >o<"") Même si ca amusait un peut d'un coté le bretteur, cela l'inquiéter aussi. Et si ils tombaient ? Si Sanji se faisait mal <=o ? Meuh t'fait pas d'biiil ! Il va tenir ton Sanji ! En fin, ils se dirigèrent vers la ville, tant redoutée...

[J'aime le coup de l'extraterrestre xD]

Cela faisait un bon moment que je courrais, sans pour autant voir la ville à l'horizon. J'étais essouflé mais je tenais bon. Après tout, il le fallait bien. Plus vite on y sera, plus vite on sera reparti. Mais quand même ! A force de soulever une tonne de fonte, Zorro avait beaucoup beaucoup de muscles et donc du coup le poids qui va avec. Je comprenais mieux pourquoi c'était l'inverse qui se faisait souvent. Enfin bon, ce n'était pas très important en fait. Seulement là, je començai à manquer un peu d'air. Je pouvais aussi ralentir et prendre quelques secondes de pause pour reprendre mon souffle mais j'avais bel et bien entendu des hurlements d'alerte de la part des loups et je voulais m'en éloigner au plus vite. Lorsqu'ils auront perdu mon odeur, je serais tranquille mais pour cela, il fallait que je m'éloigne et ce vite ! La nuit commençait déjà à tomber et j'avais bien peur qu'ils lancent l'attaque bientôt. Je vis alors un loup brun sauter sur moi à ma droite.

-Merde...

J'esquivai de justesse et il atterit devant moi pour me couper la route. Que cherchait-il à faire ? Les autres ne semblaient pas approcher. ILs avaient du le prévenir. Ce loup était donc un sentinelle. Mais qu'est ce qu'ils fabriquaient ? Je ne cherchais pas à en savoir plus et après quelques secondes, je repris la route mais le loup m'en empecha en grognant :

-Où comptes tu aller ?

-En ville

-Quoi ?! Toi ?! Un loup ?!

-Bon, j'en ai plus qu'assez de tout ça !! Mon compagnon est malade !! Tu entends ? Je n'ai que trois jours pour le soigner !! Trois jours ! Ma seule solution est de l'amener là bas pour qu'il guérisse !!

-Mais c'ets un humain !!

-Un humain, ouais et alors ?! Il est tout ce qu'il y a de plus précieux pour moi, il est ma meute ! Alors laisse moi passer !

Le loup me considéra un instant avant de me laisser passer. Je le remerciai d'un signe de tête et reprit ma course vers la ville. C'était encore loin... Mais il fallait continuer. L'idée de m'arrêter quelques instants passa dans ma tête mais je refusai tout net. Je savais que si je m'arrêtai, je ne pourrais pas reprendre la route. Je continuai donc mon effort, en ralentissant un peu quand même pour tenir la distance. Je resserai sans le remarquer vraiment mon emprise sur lui et le bougeai pour bien le caler et continuer plus confortablement le trajet pour lui.

-Ca va Zorro ? Tu tiens le coup ?

Bon, d'accord, c'était stupide de dire ça et c'était plus moi qui devait répondre à cette question mais il était malade et le voyage ne devait surement pas lui faire du bien. Enfin, il n'allait rien dire, vu comme je le connaissais. POur lui, ce n'était rien. Un rien très relatif parce que ne plus pouvoir bouger, c'était un peu handicapant. Mais il n'avait pas l'air d'aller trop mal alors il fallait cesser de s'inquiéter. Sauf que c'était dans ma nature alors...

Je finis par voir la ville en vue. Je lachai un soupir de soulagement. Ca faisait un loooooooooong moment que je courrais sans m'arrêter et je commençai vraiment à n'en plus pouvoir. Je transpirai tellement que la sueur coulait sans cesse de mon front pour atterir par terre, et je ne pouvais y faire quelque chose, vu que mes deux bras tenaient le bretteur en place. Mes jambes tremblaient désormais, presque arrivées à leur limite. Mais nous y étions presque. J'accélerai le rythme pour entrer dans la ville et la pollution envahit mais poumons, si bien que je toussai plusieurs fois et dut m'arrêter pour pouvoir respirer convenablement. Je regardai les alentours, vérifiant que l'endroit était sans fan et me dirigeait vers la pharmacie. Une fois à l'intérieur, les gens me regardaient bizarrement. Le duo de regards noirs les remirent à leur place et je demandai à la première vendeuse les médicaments dont j'avais besoin. Mais elle ne voulut pas me les donner :

-Je regrette mais il faut une ordonnance valable pour ce genre de médicaments

-Mais c'est un médecin qui me l'a fait !

-Je n'ai aucun moyen de vérifier cela. Ce papier est sans signature ni rien. Déjà je suis impressionné que vous sachez comment guérir votre... ami.

-Mais puisque je vous dis que c'est un médecin qui me l'a fait !!! S'il vous plait, il est malade. Je suis venu en express pour le soigner et je n'ai pas tant de temps que ça ! Alors, puisque vous savez de quoi il est atteint, dites moi alors où je dois l'emmener !

-Chez un médecin. Puis, il vous dira quoi prendre comme médicaments et vous prendra rendez vous pour les opérations à suivre. Cela prendra un ou deux jours.. Peut-être trois tout au plus.

-Justement, je n'ai PAS le TEMPS ! Vous n'avez pas compris ? C'est URGENT !!

-EH bien, dans ce cas, je contacte l'hôpital de suite.

Je soupirai longuement tandis qu'elle appelait une ambulance. Bon, le caractère urgent n'était pas à ce point mais si c'était la seule façon d'avoir des soins rapidement, je la prenais sans hésiter. La pharmacienne me proposa de m'assoir mais je refusai, préférant rester debout à garder Zorro sur le dos plutôt que de m'en éloigner. Puis, la voiture arriva dans un vacarme pas possible et des médecins arrivèrent avec un brancard. Ils me demandèrent, puis supplièrent de poser le bretteur dessus, ce que je finis par accepter. Puis, ils l'emmenèrent à l'intérieur de l'ambulance Ils allaient fermer les portes lorsque je leur en empêchai :

-Eh ! Je peux venir au moins ?

-Vous êtes de la famille ?

-Ouais, et pas qu'un peu !

Ils me laissèrent entrer et pendant le trajet, ils me posèrent pas mal de questions sur le bretteur, comme s'il ne pouvait pas répondre ! Ils demandèrent la nature de notre relation et ils furent tous surpris, voir choqué d'apprendre que nous étions ensembles. J'ai du mentir et dire que nous étions mariés pour pouvoir rester avec lui et ça n'avait pas du bien passer auprès des médecins. Je riai intérieurement en rougissant légèrement. Puis, nous arrivâmes enfin sur les lieux. Le brancard où était Zorro commença à partir dans le service des urgences sans pour autant me laisser le suivre.

-Désolé M Roronoa, mais je ne peux pas vous laisser y aller avec lui.

-Mais pourquoi ?

-Il va voir plusieurs médecins et subir quelques questions indiscrètes. Votre présence sera de trop. Mais vous pouvez l'attendre ici.

-Très bien... Vous pourrez me dire quand je pourrais le voir ?

IL acquiesça et partit avec le brancard tandis que je m'asseyai sur l'un des fauteuils prévus pour attendre les patients en service d'urgence. Eh ben, ça allait être long. D'un côté j'étais complètement mort de fatigue mais je m'inquiétais trop pour mon bretteur que je ne pouvais me résoudre à dormir. J'allumai alors une cigarette et passai nerveusement la main dans me scheveux. L'attente promettait d'être longue...

[Tu dis si ça va pas =O]

(xD Merchi ! Si si ca va trés bien , toi <=O)

Sanji ~~l'extraterrestre~~... Excusez mon.... Comment dire ? Mon humour totalement pourri. Donc je disait, Sanji-tout-court- avait l'air de peiner sous le poid du bretteur. On peut le comprendre, non ? EN fin, imaginez un Zorro sur votre dos. Vous etes déja mort écrasé ! En fin bref, on est en train de s'éloigner dangeureusement du sujet principal. Donc non seulement le blond peinait, mais en plus, un hurlement menacant retentit. Manqué plus qu'ca ! Des loups arrivaient ! Trop super génial. Bien que le coq ne ralentit pas, un loup couleur chocolat (? ) sauta devant lui. Enfin, plutot sur sa droite... Waw, le bretteur me déteind dessus... Le cuisinier laissa échapper un juron trés bien placé :

-Merde...

Ben ouais. C'est vrai qu'ils étaient vraiment dedans... Promis, j'arrête... Demain ! Ou dans un an ca vous va ? Bref, le bretteur, ayant un pitit peu le mal de transport avec toutes ces secousses (Bon je sais ce que vous allez me dire, avant il était sur un bateau gna gna.... Mais c'est marrant ! ) s'accrocha du mieu qu'il pouvait tandis que le blond esquivait. L'homme ... (D'accord plus cette blague) blond, continua sa course, mais a peine avait -il commencer que le loup l'arrêta une seconde fois, a ... Distance. Le loup grogna quelque chose d'incompréhensible pour le bretteur mais surement compréhensible pour son pitit coq blond. La conversation fut donc... Etrange.

-Grrr... Waf ! (xD On va dire que ca fait aussi loup )

-En ville

-WAF ?! Greuuh ? WAF ?! (Laisse tomber e greuuh xD)

-Bon, j'en ai plus qu'assez de tout ça !! Mon compagnon est malade !! Tu entends ? Je n'ai que trois jours pour le soigner !! Trois jours ! Ma seule solution est de l'amener là bas pour qu'il guérisse !!

-Gn...Grrr....

-Un humain, ouais et alors ?! Il est tout ce qu'il y a de plus précieux pour moi, il est ma meute ! Alors laisse moi passer !

Bon, du coup grace a Sanji , l'escrimeur pouvait presque comprendre ce qu'avait dit le loup ! En fin bref, le manieur de sabre s'en fichait en fait. Finalement, le loup le laissa passer et ils continuérent leurs chemins tranquillement... Et nan c'est pas la fin !
Le cuisinier ralenti un peu, ressera le bretteur et l'installa plus confortablement... VOus pensez, le bretteur aurait pu s'endormir... Mais nan,l'heure était trop grave ! Meme si il était déja a moitié somnolent...

-Ca va Zorro ? Tu tiens le coup ?

-Grbml ? Gnn... Ui...

Ben oui, j'me demande comment il peut a moitié s'endormir comme ca ? Il pourrait vraiment dormir n'importe où, à n'importe quel moment, maintenant, c'était une certitude. Aprés un petit moment, le village apparut enfin ! Le cuistot lacha un grand soupir de soulagement... Mais oui Sanji, ne t'inquiéte pas, on te comprend... Il accéléra le rythme, et en fin, ils pénétrèrent dans la ville. Le bretteur ( Je précise qu'a ce moment la il avait les yeux fermé et comme dit plus haut, il était a moitié endormi) se reveilla en sursaut en toussant. Ben ouais. C'est qu'il était pas trop habitué à la pollution. Peut être qu'il ne peut pas dormir n'importe où ? Bien que j'en doute fort... La pharmacie fut rapidement trouver, et ils entrérent. Comme d'hab, les gens les regardérent avec de grands yeux. Alors un duo de regards glacial et térrifiant les remirent bien à leurs places.Sanji se dirigea vers une pharmaciennne et lui demanda les médicaments. Elle refusa :

-Je regrette mais il faut une ordonnance valable pour ce genre de médicaments

Sanji protesta :

-Mais c'est un médecin qui me l'a fait !

-Je n'ai aucun moyen de vérifier cela. Ce papier est sans signature ni rien. Déjà je suis impressionné que vous sachez comment guérir votre... ami.

-Mais puisque je vous dis que c'est un médecin qui me l'a fait !!! S'il vous plait, il est malade. Je suis venu en express pour le soigner et je n'ai pas tant de temps que ça ! Alors, puisque vous savez de quoi il est atteint, dites moi alors où je dois l'emmener !

-Chez un médecin. Puis, il vous dira quoi prendre comme médicaments et vous prendra rendez vous pour les opérations à suivre. Cela prendra un ou deux jours.. Peut-être trois tout au plus.

-Justement, je n'ai PAS le TEMPS ! Vous n'avez pas compris ? C'est URGENT !!

-EH bien, dans ce cas, je contacte l'hôpital de suite.

Ah... QUOIII ?! NANNII ?! C'quoi c'bo**** de ****** ! (Musique de fond de supermarché) Nous allons censurer ce passage pour que Zorro puissent s'exprimer en toute libértée sans heurter la sensiblité des plus jeunes;... Dont je fait partie =D ! Bon, il a finit avec ses jurons lui ? C'est bon ? Ayé, finit ? Bon. Zorro s'étant calmé nous allons pouvoir revenir... Mais... A peine Zorro ne s'en rendit -il compte, que Sanji le déposa sur un brancard et qu'on l'emmena dans une camionette... Vous imaginez ? Le bretteur avait beau se débattre... BIn, ca y faisait rien, parce que, en temps normal, il aurait projeté les ambulanciers contre un mur... Mais la faut dire qu'il est tout de meme bien affaibli... Un peu plus ils fermaient les portes... Pourquoi je dit ca ? Parce que le coq venait de les empêcher de les fermer. Il demanda si il pouvait venir, et les ambulancier demandérent si il était de la famille. Sa réponse arracha un sourire au bretteur :

-Ouais, et pas qu'un peu !

Du coup Sanji pu entrer, tandis que les médecins lui posèrent , des tonnes de questions toujours aussi indiscrétes les unes que les autres. Baah , l'escrimeur commencait avoir l'habitude des médecins toujours indiscrets. Ils demandérent même la nature de leuurs relations... Heiin ? Mais ca les regardaient pas ?! Zorro se passe une main devant la figure tout en spupirant. Sanji répondit, et bien sûr. Devinez leurs réaction... Ils étaient tous bouche bée ! Zorro rougit un peu et détourna les yeux. Pff... Enfin, aprés un trajet qu'y avait semblé des heures au vert. Ils arrivérent (Ca rime =) ) le brancard partaitt déja pour le service des urgences. Le manieur de sabre voulait rester avec Sanji, et Sanji aussi apparament :

Désolé M Roronoa, mais je ne peux pas vous laisser y aller avec lui.

-Mais pourquoi ?

-Il va voir plusieurs médecins et subir quelques questions indiscrètes. Votre présence sera de trop. Mais vous pouvez l'attendre ici.

-Très bien... Vous pourrez me dire quand je pourrais le voir ?

Le ~~gens~~ bonhomme acquiesca puis ils emmenérent Zorro...

(A toi de faire la suite ! Désoler de tavoir fait attendre ><)

[Ne t'excuse pas voyons xD J'aime le langage loup et la censure... Et Zorro qui rougit (MOUAHAHA) et... tes rps]

Le brancard emporta Zorro dans uen autre salle. Je fus contraint de le regarder partir sans rien faire, à part l'attendre. Je ne savais même pas quels tests ils allaient lui faire ! JE m'étais donc assis sur l'un des sièces prévus à cet effet et j'allumai une cigarette pour déstresser un peu et m'occuper. J'avais beau être inquiet, la fatigue revenait au galop et j'avais peur de m'endormir sur place. J'espérais seulement que cela ne dure pas trop longtemps.
Et puis, je vis un autre brabcard passer, portant une femme cette fois, avec un homme qui courrait à ses côtés. PAr contre, elle partit vers un autre bloc, celui de la maternité. Tiens ? Un futur père ? En tout cas, il vint s'assoir à côté de moi, essouflé et visiblement un peu paniqué. Quelques minutes passèrent avant qu'il brise le silence :

-Vous attendez quelqu'un, vous aussi ?

-Ouais. Ils viennent de l'embarquer aux urgences.

-Ah... J'espère que ça ira pour vous et lui.

-NE vous inquiétez pas, je sais de quoi il souffre. J'ai vu un médecin pour lui auparavant, mon fils en l'occurence, et il n'a pas lieu de s'inquiéter. Mais je n'avais pas les médicaments, et pas d'ordonnance non plus alors ils nous ont envoyés là.

-Vous avez un fils ? Vous ? Si jeune ?

-Ouais, et il a environ 15 ans. Nous sommes une famille reconstituée, donc ouais, je suis jeune pour avoir un gosse.

Je faillis ajouter aussi dans l'impossibilité mais je ne voulais pas en dire plus. Je tirai sur ma cigarette et l'homme à côté de moi m'en demanda une. Je lui offris. L'attente pour lui devait être pénible aussi. Enfin, je ne sais pas de quoi je parle, bien sur, mais il y avait de quoi être anxieux. Ca change une vie, ce passage là. Moi, j'étais tout aussi inquiet mais sans que ce soit lieu d'être. IL n'allait pas mourrir, le Zorro. C'était impossible. IL allait guérir sans problème, une fois qu'on lui donne les soins. Mais je voulais que ce soit fait vite, une bonne fois pour toute. IL souffrait à ne pas pouvoir bouger, je le savais que trop bien. Et je n'aimais pas le voir souffrir, car ça me faisait mal aussi. Je fixai me spieds, en attendant qu'un médecin m'appelle, tandis que l'homme faisait les cent pas. PUis, un docteur finit par sortir de l'endroit où ils avaient embarqué mon bretteur et m'appela. Une fois à sa hauteur, il parla :

-Nous avons diagnostiqué votre... enfin M Zorro Roronoa et il semble être atteint d'une maladie...

-Dû à une morsure, oui je sais. Nous avons déjà vu un médecin qui est dans notre famille et il nous avait dit la même chose. Mais nous étions obligés de venir ici pour le faire soigner, parce que nous n'avons ni ordonnance, ni de quoi faire les soins nécessaires.

-Bien, alors vous savez comment se passe la suite des opérations, non ?

-Eh bien... Non, pas vraiment en fait.

-..Booon... Alors, il faut d'abord lui procurer les premiers médicaments, à savoir un sérum que nous lui avons déjà injecté et il faudra lui en re-injecter toutes les 12 heures, avec en plus quelque chose pour lutter contre sa "paralysie". Ensuite, il faudra pratiquer une opération qui consiste à enlever une tumeur qu'il doit avoir dans le dos, là où se réfugie le virus. Mais pour cela, il faut son autorisation, et la vôtre.

-Très bien. Et ça prendra combien de temps ?

-Nous devrons le garder jusqu'à demain au moins, si vous avez un médecin à la maison, ce qui semble être le cas. Bien sur, il serait mieux de pouvoir pratiquer l'opération au plus vite pour qu'il guérisse d'autant plus rapidement.

-D'accord. Et... puis-je le voir maintenant ? Je vais en discuter avec lui et il a besoin de moi, je pense.

-Vous avez vu juste, je pense qu'il vous demande. Suivez moi, je vous en prie.

Le médecin me conduisit vers la chambre de Zorro. J'atteris dans une salle assez spacieuse avec trois lits, dont l'un pris par mon cher bretteur. Visiblement, il avait l'air d'aller pas trop mal et ils avaient déjà commencé à lui prodiguer les soins dont il avait besoin. POur ma part, j'avais envie de m'écrouler sur l'un des lits et m'endormir mais je m'abstins. Je devais d'abord parler de l'opération à Zorro-chou (tiens, ça faisait longtemps) et ensuite vérifier que tout allait bien pour m'endormir. Ah, et il y avait cette histoire de loups aussi... Rooh et puis zut ! On s'en foutait ! Le docteur me laissa seul avec l'escrimeur. Faute de chaise, je m'assis par terre, la tête et les bras sur son lit, un peu affalé. Puis, ma main alla automatiquement rejoindre ses cheveux pour les caresser tout doucement, à mon habitude. Je lui souris lentement avant de reprendre mon sérieux pour lui parler de la suite des événements :

-Il va falloir t'opérer... Normalement, ils peuvent faire ça pour qu'on puisse sortir d'ici demain et que je te ramène à la maison. Mais ils ont besoin de ton accord. Tu vas le leur donner, n'est ce pas ?

Je comprenais qu'on puisse ne pas aimer les opérations mais d'après ce que j'avais compris, c'était pour sa survie. Oui, bon, d'accord, Zorro ne pouvait pas mourir, c'était impossible mais tout de même. Je ne voulais plus le voir souffrir. Je fermai tout doucement les yeux, toujours en jouant avec ses cheveux. Je somnolais un peu mais je restai à l'écoute, en attendnat sa réponse. SI je m'endormais là, il y en aurait plus d'un surpris. Mais j'étais trop fatigué pour y penser...

[Voilà... J'espère que ça ira ><]

(Meuuchiii =3 Toi aussi tes rps sont géniaux <=O !)

Tout d'abord, Zorro fut en quelque sorte... Ebloui par les murs blancs , le plafond blancs, et les lits blancs. Mais bon sang ! Tout était blanc ici ! Il se frotta un peu les yeux et regarda le docteur qui était assis a coté de lui... Et la... Commenca un vrai interrogatoire. Avec des questions parfaitement inutile et qui n'avait rien à voir comme par exemple "Quel est votre plat préféré ect..." Mais c'était quoi c't ' asile de fou ?! En fin, aprés avoir fini cette série de questions, le médecin lui fit toutes sorte de test.Si on peut dire ca comme ca. Il devait surement vérifier si il allait bien ect. Enfin, le médecin s'en alla ! Inutile de préciser que la "scéance" a durer un siécle pour le pauvre bretteur qui attendait déséspérement son pitit Love cook d'amur adoré..Euuh, je m'égare ^^". Bref, enfin, quand le médecin sortit, l'escrimeur ne put s'empêcher de soupirer. Mais...C''eest llooooooooonnnnnnnngg ! Qu'est ce qu'il fout ?! En fin, Sanji apparut. Zorro lui fit un petit sourire. Le blond s'assit par terre et mit ses mains sur son lit. Il mit la main dans les cheveux du vert. Une question d'habitude... Le cuistot prit la parole.

-Il va falloir t'opérer... Normalement, ils peuvent faire ça pour qu'on puisse sortir d'ici demain et que je te ramène à la maison. Mais ils ont besoin de ton accord. Tu vas le leur donner, n'est ce pas ?

Hmph, génial. M'enfin, c'était pas grave. Zorro n'avait en aucun cas peur des opérations. Mais il devait ENCORE rester ici... Génail. Le vert répondit.

-Noooon... J'préfére crever, tu sais bien que j'essaye de me suicider depuis longtemps...

Il rit a sa propre blague -QUi n'était pas drole d'ailleurs... Quel boulet --' (Hé !)- et reprit son sérieux :

-Non sérieusement, bien sur que je vais leurs donner, tu crois quoi ? Que j'ai peur des opérations ? Meuh nan, t'inquiéte.

Il sourit et regarda par la fenêtre. Muph, la ville...Faut dire qu'il ne l'aimait pas. Ca non. Avec tout ces souvenirs . Mauvais souvenirs ! De Fan... Et pour les loups ? Comment Sanji allait il faire ? Il se tourna vers le blond et prit la parole.

-Hé ! Et pour ta ... Famille... Comment tu va faire du coup ?

C'est vrai que c'était un peu... Délicat. Il avait déja fait son choix. Il préférait sa famille "Humaine" que sa famille canine. Le bretteur lui en était d'ailleurs trés reconnaissant. Il ne voulait ni se faire tuer par des bêtes, ni en tuer inutilement. D'accord, il n'est pas fan des animaux, mais... Ce serait du gachis... -Oh, il s''exprime comme si il parlait de viande <=O- Puis en tournant de nouveau la tête vers Sanji, il vit que celui ci c'était endormi... Oooh , ché trop meuugnoooon =3 ! Il aurait bien voulu l'installer dans un lit mais... Bon , y'a qu'a appeler les infirmiéres (J'sais pas si ca marche comme ca ici x)) Il les appela donc (Par n'importe quel moyen , on va dire x) ) elles vinrent et remirent Sanji dans un lit. Le blond était toujours endormi. Qu'il était mignon =3 ! On aurait dit un ange...

(Désoler j'ai bouger Sanji, honnte a mooiiii >o< C'trop court en plus =O J'édite si tu veut ))

[Nan nan c'est bon x) Il est bien ton rp. De toute façon, il était prévu que Sanji dorme. ]

Zorro fit la moue. Oui, l'idée de devoir rester ici encore un moment ne lui plaisait visiblement pas. Je ne pouvais que le comprendre, car je n'avais pas non plus envie de rester ici. Trop de mauvais souvenirs venaient d'ici, comm les fans ou la course poursuite en voiture qui m'a couté de sales blessures dont j'ai encore la trace et une surdité passagère. Et puis... tant d'autres choses encore... Boarf, à quoi bon y penser ? De toute manière, nous n'avions pas le choix. Le bretteur finit par me répondre :

-Noooon... J'préfére crever, tu sais bien que j'essaye de me suicider depuis longtemps...

Je laissai échapper un petit hoquet de surprise et ouvrit les yeux en le regardant. Il riait visiblement. Booon, c'était une blague. A vrai dire, je savais très bien qu'il n'essyerait en aucun cas de se suicider mais j'étais trop fatigué pour penser correctement. Je fis mine d'un sourire et reposai ma tête sur le lit.

-Tu sais très bien que si tu meurs, je te tue, imbécile...

Je ne savais même pas pourquoi j'avais dit ça. C'était sorti tout seul, par instinct. Je refermai les yeux et ma main qui était à sa place "habituelle", c'est à dire dans les cheveux de mon escrimeur adoré que j'aime (Il devient de plus en plus niais selon son état de fatigue) descendit dans son cou. Cette fois, le bretteur me répondit une réponse sensée :

-Non sérieusement, bien sur que je vais leurs donner, tu crois quoi ? Que j'ai peur des opérations ? Meuh nan, t'inquiéte.

-Je ne m'inquiète pas...

A vrai dire, si un peu. Mais ça, c'est la nature d'un Love cook. L'amour entraine l'inquiétude, c'est normal. Bon, au moins, il voulait bien et nous allions bientot pouvoir sortir d'ici avec en plus un Zorro soigné comme il faut. Je soupirai discrètement. Bon, maintenant, il fallait que je me lève. Oui, pour aller avertir les médecins qu'il était d'accord. Allez, à la une, à la deux, à la trois ! Eh ben non, mes jambes refusaient de coopérer. Allez ! Bougez ! Elles ne m'obéissaient définitivement pas. En attendant, mon bretteur vert regardait dehors, perdu dans ses pensées. Bon, il faudrait que j'y aille là. Mais pourquoi elles ne veulent pas ? Je remarquai qu'elles tremblaient légèrement. M'assoir avait été une fatale erreur ! Je n'avais plus de force, le trajet m'avait trop épuisé. Satanées jambes ! Allez ! ET bien non. Je renonçai à tout autre effort. Après tout, ça pouvait bien attendre 5 minutes non ? Zorro-chou se tourna vers moi. J'avais beau ne pas le voir, je le sentai (détecteur de Zorro). Il parla :

-Hé ! Et pour ta ... Famille... Comment tu va faire du coup ?

Ma famille de loups ? Ah oui... Eh bien, je n'en savais rien. Je ne pris pas vraiment la peine de lui répondre. Je gromelai juste un " ' Sais pas" à peine compréhensible. Le sommeil commençait à prendre doucement le dessus. Je me disais que je pouvais lutter encore un peu. Les médecins n'allaient pas tarder à arriver alors il suffisait d'attendre. MAis je fis une autre erreur fatale : je fermai les yeux. Et dès que mes paupières me cachèrent de toute lumière, je m'endormis immédiatement.

.... ZzZzZzZzZzZzZzZzZzZzZzZz....

J'entendis un hurlement de loup. Je me réveillai en sursaut. Je me trouvai sur un lit. Je crus d'abord retrouver mon bretteur couché à côté de moi avant de voir qu'il s'agissait d'un lit simple. AH oui, c'est vrai, l'hôpital... IL y avait une drôle de lumière dans la pièce, non ? Rouge sang... La lune rouge ! Les loups ! Tout me revint en mémoire. Où était Zorro ? Je m'assis rapidement, en regardant aux alentours. Je ne vis pas le bretteur. Mais où était-il ? Je me mis à paniquer quelques minutes avant de me souvenir de l'opération. Ah oui, il l'avait surement emporté pour l'opérer, tout simplement. Je soupirai de soulagement. Trop tôt d'ailleurs car les hurlements de loups s'amplifièrent. Merde, l'attaque était pour ce soir ! Il faisiat déjà nuit ? Je m'étais...endormi ? Ah, mais ça n'allait pas du tout ça ! Que pouvais je faire ? L'hopital était proche de l'entrée de la ville, les loups auraient vite fait d'y aller. ET Zorro... Non, je ne pouvais pas les laisser faire ça. Je devais le protéger. Je me levai avec difficulté. Mes jambes me faisaient mal. Mais ça irait. Je sortis de la chambre et me dirigeai vers la sortie. Une infirmière m'interpella et je lui dis que je revenai vite, le temps de faire une course. J'espérai être revenu avant que mon escrimeur chou se réveille après l'opération. Il s'inquièterai peut-être sinon....
Je courrus d'un pas peu assuré vers l'entrée et vit alors les centaines de loups qui attendaient pour l'attaque. Je ne pourrais pas les arrêter, je pouvais lire une détermination si forte dans leurs yeux que même si la lune rouge avait encore un autre descendant (c'est le cas, banane !), personne ne pourrait les arrêter. Je retournai donc sur mes pas pour aller défendre l'entrée de l'hôpital. Je devais protéger Zorro. A tout prix.

Puis j'entendis des bruits de lutte. Le combat avait commençé. Les coups de feu retentissaient, comme les grognements de loups. Je vis assez vite arriver quelques loups vers moi. J'essayai de leur dire de ne pas aller là mais ils m'attaquèrent, si bien que je fus obligé de les frapper pour me défendre. Par chance, ils se détournèrent bien vite. Mais d'autres arrivaient sans cesse, jusqu'à voir ma propre famille. Tsukimi était en face de moi, flanqué de Yoru et Azzuen.

-Que fais tu, Suna ? Tu es du côté des humains ? TU nous as... trahi ?

-Je... Je ne veux pas vous trahir. Mais si tu attaque cet hôpital, tu met en danger mon compagnon, la personne la plus importante pour moi. Et je ne peux pas vous laisser faire ça.

-Cela revient au même...

-Non... Je ne voulais pas me battre, vous le savez. Je ne veux pas vous voir mourir. MAis vous ne m'avez pas écouté...

-C'est à cause de cet humain ?

-Pas seulement. Il est malade et si vous perturbez sa guérison, il pourrait y rester. Je ne vous laisserez pas faire ça, même si je dois vous tuer. Il est tout ce que j'ai...

-... Je ne t'attaquerai pas, Suna. Tu es mon frère après tout et tu as tant aidé mon fils, Reel. Mais pourquoi portes tu les marques de la lune rouge sur tes mains ?

Je regardai mes mains. Elles luisaient un peu. MOn dieu, je devenais vraiment un extraterrestre ? (Narratrice, sors de ce corps). Tsukimi s'approcha et renifla les tatouages. Puis, elle se recula et donna l'ordre de retrait d'un hurlement. J'entendis alors la fin des combats et les loups qui s'éloignaient en courrant. Azzuen et Tsukimi repartaient déjà mais Yoru me fixa un instant avant de dire :

-Tu as de la chance d'avoir hérité de la marque de la lune rouge. Dommage que tu sois trop proche des humains pour l'utiliser. Il te faudra la transmettre. La lignée de la lune rouge n'est pas morte. Le loups en toi non plus. Le combat s'arrête là pour le moment mais ne vas pas croire que c'est la seule raison que nous avons de tuer les humains !

-Je le sais... Mais à ce moment là, du moment que tu n'atteins pas ma meute, je n'en ai rien à faire... Adieu Yoru...

Le loup noir partit tandis que j'analysais les drôles de marques. La lune rouge ? Voilà qui s'expliquait ! Par contre, j'aurais du mal à la transmettre. A part Chopper, c'était mal parti pour que j'ai un autre fils, et impossible d'en avoir un biologique. Quoique, avec la science maintenant.... Je chassai mes pensées bizarres de ma tete et remontai dan sla chambre de Zorro. Je le vis dans un lit, endormi. Il avait une perfusion au bras et une infirmière le surveillait passivement. IL avait du être opéré. Maintenant, il manquait plus qu'il se réveille. Sans écouter les recommandations de l'infirmière ici présente, je m'assis près de lui, sur son lit et glissa ma main dans la sienne. Bizarrement, je n'avais plus sommeil. Je voulais juste rester auprès de lui et attendre qu'il se réveille. Tout allait bien désormais. Je soupirai de soulagement, un peu tard. Mon autre main vint taquiner ses cheveux. Lorsqu'il dormait, il n'avait rien du futur meilleur bretteur du monde ni de la brute froide et sanguinaire qu'il pouvait montrer quelque fois. IL était juste... mignon. Je souris doucement.
Puis, ma fatigue reprit le dessus. Sous les cris de protestations de l'infirmière, bien énervante d'ailleurs, ma tête tomba doucement à côté de celle de Zorro et je fermai les yeux. Cette erreur fatale, je la commis encore une fois. Je m'étais de nouveau endormi.

[Bon, Happy end et tout, 'cest magnifique... Tu peux bouger Sanji si tu veux... IL squatte ton lit <=O ]

Enfin, aprés un long moment de contemplation de son ange, le bretteur réussit à s'endormir. Il dormait à point nommé, et rien, mais rien ne pouvait le réveiller ! Même pas une invasion de rats, ni une explosion. Ou en tout cas, si on arrivait à le tirer de son sommeil, celui qui ferait ca, mourra sur l'instant... ! , bon j'arrête de vous faire peur cher publique =D (Mais, on a pas peur !) Donc, le beau à l'hopital dormant...(Hum hum..) se reveilla quelques heures plus tard. Il se frotta les yeux , puis bailla et regarda autour de lui, machinalement , pour chercher Sanji. Mais il se trouvait que le coq n'était plus la. Oh.... QUOI ?! Mais il est parti où lui encore ? Bon Sang ! Zorro lacha un grognement de bête féroces et puis, le grognement prit place en une longue plainte aigu, ce qui alerta les infirmiéres qui accoururent. Le bretteur dû s'expliquer, les infirmiéres regardèrent le lit et elles hochèrent la tête. L'une d'elle dit.

-D'accord. Mais de toute facon, nous devons vous opérer. Il est l'heure.

Zorro soupira. Bon d'accord, m'en fin bon, Sanji aurait pu le prévenir... Non, mauvaise idée en fait, le bretteur l'aurait massacrer... ^^' Des médecins, des chirurgiens et des Anesthésiste débarquérent. Les infirmiéres sortirent, et Zorro se dit qu'il y en avait du monde, tout de même. Il se laissa d'abord faire, docile, puis subit les effets de l'anésthésie, et s'engouffra dans un profond sommeil sans rêve...

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Beaucoup plus tard, le bretteur se reveilla, n'ayant aucun souvenir de l'opération, vu qu'il était endormi. Il se rendit compte qu'il avait une perfusion, et sentit un poid sur lui. Sanji dormait, la tête contre celle du bretteur. Même si je radote, le vert pensait qu'il ressemblait à un ange...Il sourit à la vue de ce spéctacle (O.o ? ) attendrissant. Malheureusement, son emerveillement ne dura pas longtemps. Une infirmiére venu voir comment ca aller, décida d'em...Bêter Zorro. Elle se posta devant le bretteur et vit que Sanji dormait à coté de lui. Elle fit la moue et dit :

-Il ferait mieux de dormir dans un lit a part... Il doit vous gênez

Zorro fronca les sourcils. Non mais il y croyait pas ! Elle voulait le séprar de SON Sanji ? Nan mais ca va pas la tête ? Faut se faire soigner la ! Attend faut pas pousser Mémé dans les orties ! (C'est bon Zorro, calme toi... On a compris x) )

-Meuh nan ! Il est trés bien la !

-Puis ce que je vous dit qu'il ferait mieux de s'en aller !

Zorro grogna et blottit Sanji contre lui. D'un ton sarcastique il dit:

-Taisez vous, vous aller le reveiller !

L'infirmiére rougit de honte ou de colére au choix, puis repartit aussi sec, en prenant soin de claquer la porte.

-Eh ! Ya des malades ici, je vous rappelle !

Zorro soupira. Pff ! N'aporte quoi elle , tsé ! Il regarda son blondinet qui dormait. Il était si mignon... Soudain, un son le tira de sa rêverie. C'était le canarophone qui sonnait. Il haussa un sourcil en se demandant bien qui pouvait bien avoir le culot d'interrompre un moment pareil. Il décrocha.

-Allo ?

-Zorro ! Sanji n'est pas la ? Et toi comment tu va ? Et Sanji...Et ?

-Chopper ! Du calme ! C'est bon ! Tout va bien... Je me suis fait opérer et Sanji dort dans mes bras, rassure toi. Maintenant c'est le fils qui s'inquiéte pour ses parents ? Eh bin...

-Ah, Tu me rassure. Hé hé ^^' Faut dire que oui ! Bon bin, je te laisse hein ! Prenez soin de vous surtout !

-Muais, bien sûr -o-"

Il raccrocha. Eh bien, quel fils soucieux de ses parents !

(Je sais pas si je continue ou pas parce que c'est court, z'ai pas d'idées :$ Oki ^^)

Je cours. Je cours sans pouvoir m'arrêter. C'est étrange, ce sentiment de béatitude et de bien-être. Je ne m'étais rarement senti aussi bien. Ma course ne m'essouflait même pas. Devant moi, les plaines verdoyantes s'étendaient à l'infini sous un ciel bleu onirique. Tout semblait trop parfait pour que cela soit la réalité. Même pour un rêve, c'était presque trop beau. J'avais conscience d'être dans un songe et j'en profitais. Car je ne m'étais rarement senti aussi bien.

Soudain, je trébuchai sur quelque chose. Je me retrouvais par terre, affalé d'une manière peu présente. Je me retournais pour voir la nature de mon obstacle et je souris en le reconnaissant. Je m'étais emmêlé mes pieds avec ceux du bretteur. Celui-ci dormait à poings fermés, nullement réveillé par l'arrivée d'un nouveau poids sur lui, sans doute négligeable. Je me relevai doucement pour m'assoir à côté de lui. PUis, je m'amusai à le détailler pour moi-même. Rien ne semblait pouvoir le réveiller, encore moins le bouger. IL était ancré dans le sol, comm s'il était une statue de marbre pourtant bien vivante de part sa respiration.

Un nuage capta un instant mon attention. L'escrimeur en profita pour me capturer par la taille et me faire basculer sur lui. Je retins de justesse un cri de stupeur. J'allais lui transmettre mon mécontentement d'une telle brusquerie lorsque je vis qu'il dormait toujours. Je souris doucement et je voulus me dégager mais il m etenait bien serré contre lui et semblait murmurer quelque chose que je compris comme un ordre de ne pas bouger. Je le considérai un instant avec un air ébahi totalement stupide avant de sourire une nouvelle fois et lui obéir. JE n'avais rien de mieux à faire. C'est ainsi que je m'endormis contre lui, en jouant le rôle parfait d'un doudou. Et ce fut le noir. Mais je ne m'étais jamais senti aussi bien.

J'émergeai doucement du sommeil. Sans ouvrir les yeux, j'essayai d'analyser où j'étais. Déjà, mon matelas bougeait. Il respirait et j'entendais son coeur battre contre mon oreille. Première anomalie. Deuxièmement, il était chaud. Et pour finir, je ne sais pas si cela venait du matelas ou de quelque chose d'autre mais ce qui semblait être une main me caressait doucement les cheveux. EN combinant ces éléments, je compris bien vite où j'étais. D'abord, le contexte : l'hôpital. Avec l'attaque des loups que j'avais su résorber par je ne sais quel miracle grâce à l'éruption des étranges marques rouges sur mes mains, Zorro était tombé malade. Bien, premier point. Ensuite, je l'avais ammené à l'hopital et tout le blabla... BREF il avait été opéré et dormait. J'étais revenu et l'avait vu en train de dormir. Et ensuite ? Ah voilà, je comprends mieux maintenant. Je m'étais endormi et au lieu d'atterir sur un lit, j'étais tombé sur le bretteur. Eh bien voilà ! Tout s'explique. Mais quand même... Li'nfirmière a du le remarquer et... Nan, vu comme je le connais, mon bretteur chou, il n'aurait jamais voulu. Bon, ce n'est pas moi qui va m'en plaindre remarque.

J'ouvris touuuut doucenement les yeux. Ah ces hopitaux... Tout était blanc et la lumière m'éblouit, si bien que je mis du temps à m'habituer. EN regardant sans bouger autour de moi, je confirmai mes conclusions. J'étais bien sur le bretteur, visiblement mon nouveau matelas attitré, et il semblait perdu dans ses pensées ou une contemplation quelconque -je ne le voyai pas pour le confirmer- tout en me caressant les cheveux. Mouais, le schéma habituel quoi. J'eus la soudaine envie de ne pas bouger, de rester là toute ma vie. Malheureusement, je n'en avais pas la possibilité. Disons que l'hopital est loin d'être un endroit de rêve pour y passer les vacances.
Je levai donc la tête dans un ultime effort. Je rencontrai alors le tête du bretteur avec mon air ensommeillé. Oupss trop près. Je crus le voir rougir et je lui fis un grand sourire avant de reposer ma tête là où elle était précedement. Bah, après tout, je pouvais très bien rester encore 5 minutes... Enfin, la dernière fois que j'ai dis ça, je m'étais endormi.... Bah, pas très grave. PUis, quelque chose attira mon attention. Un canarophone. EN particulier le mien. Qu'est ce qu'il faisait là ? Je relevai la tête pour l'attraper et regarder les derniers appels. Chopper avait appelé récement. Tiens. tiens... Zorro avait du répondre à ma place. Je le regardai d'un air interrogateur avant de dire :

-CHopper a appelé ? Il t'a dit quoi ? IL a un problème ?

Je fus soudainement inquiet. Oui, c'est normal de s'inquiéter pour son fils. Mais avant même qu'il me réponde, le regard de l'escrimeur me fit comprendre que tout allait bien. C'est vrai... Il se serait inquiété et nous aurait fait partir au mooindre problème. Tout allait donc bien. Après sa réponse, je me calmai peu à peu. Juste après le réveil, c'est dur tout ça. Puis, une porte s'ouvrit. Je tournai la tête vers la personne qui entrait pour voir l'un des médecins, suivi d'une infirmière. Ils semblaient hésiter un peu à entrer. D'un air ennuyé, je poussai un soupir en répondant un :

-Ouuuiiii ?

-Hum... Eh bien... c'est que...

-Allez à l'essentiel... Il peut sortir ?

-Non, mais d'ici quelques heures oui. Je venais vous donner les médicaments, et l'infirmière m'a prévenu que votre...position n'était pas... une aide pour la guérison de votre...mari.

-Ca, ce n'est pas vos oignons. Qu'il y ait moi ou rien, ça ne change pas beaucoup pour lui. Niveau poids je vous parle. Occupez vous plutôt de le faire sortir d'ici qu'on puisse retrouver notre fils au lieu de vous occuper de ce qui vous regarde pas.

-Très bien très bien ...

L'infirmière, visiblement en colère d'avoir perdu ce duel, déposa les médicaments sur la table de chevet et repartit avec le médecin. Decidement, ils étaient tous indiscrets ! Je soupirai mais ne bougea pas. Maintenant que j'y suis, pas question de me déloger. Je remontai juste un peu pour que ma tête atteigne son refuge habituel et refermai les yeux. Je voulais encore profiter de ce moment.... Encore un peu...

Dans ses bras, son petit Love cook dormait. Il était tellement Kawaï endormi ! Et puis, il était si menu, si chétif, qu'on avais presque peur de le craquer en deux si on le serrait trop fort. D'accord, j'avoue, c'était pas trés valorisant pour ce pauvre Cuisinier mais bon, Zorro était en train de le décrire tel qu'il était, hein. Et puis il le trouvait mignon ! Il passa une main dans ses cheveux blonds qui lui donnait l'air d'un ange. Le bretteur à teint mat serra un peu plus la carcasse -Hum hum- maigre de son amant contre lui et il enfouit son nez dans sa chevelure. A vrai dire, il n'était plus vraiment malade.. Il faut croire que son blondinet était un reméde efficace ! Soudain, le blond remua. L'épèiste vert baissa la tête et le vit qui émergeait du sommeil. Il sourit en voyant qu'il regardait un peu de partout, comme une bête enfermée dans une cage ou dans un environemment qu'il ne connaissait pas. Doucement, le cuistot leva la tête avec un air endormi sur le visage. D'ailleurs, il était tellement chou et tellement.... Prés, que le bretteur en rougit. Comique , hein ? Vous imaginez vous, un gros dur comme Zorro rougir pour la moindre approche un peu trop prés ? BIn, maintenant oui. Le monstre vert ne tarda pas à détourner la tête vers une autre direction pour ne pas se voir rougir encore plus, et pour cacher un peu son embarras. Le blond remit sa tête à sa place habituelle puis il prit le canarophone et le consulta. Il dit :

-CHopper a appelé ? Il t'a dit quoi ? IL a un problème ?

Ah ? Tiens, il avait vu que leurs "fils" avait appellé. L'escrimeur sourit. L'expression de panique de Sanji faisait penser à celle d'une maman poule inquiéte pour son petit poussin. Le bretteur dit :

-T'en fais pas, c'était rein il voulais juste savoir si on allait bien. Je me suis occupé de le rassurer , t'inquiéte.

La mine de Sanji se fit plus soulagée et le sourire de ZOrro s'élargit. il était chouu... Soudain, une porte s'ouvrit et une infirmiére suivi de prés d'un medecin entra. Zorro leva la tête, surpris et soupira. Rhoo non, pas encore une d'elles >< ! Sanji dit :

-Ouuuiiii ?
-
Hum... Eh bien... c'est que...

-Allez à l'essentiel... Il peut sortir ?

-Non, mais d'ici quelques heures oui. Je venais vous donner les médicaments, et l'infirmière m'a prévenu que votre...position n'était pas... une aide pour la guérison de votre...mari.

-Ca, ce n'est pas vos oignons. Qu'il y ait moi ou rien, ça ne change pas beaucoup pour lui. Niveau poids je vous parle. Occupez vous plutôt de le faire sortir d'ici qu'on puisse retrouver notre fils au lieu de vous occuper de ce qui vous regarde pas.

-Très bien très bien ...

L'infirimiére déposa rageusement les médicaments sur la table de chevet et repartit avec le médecin Ouais, ils étaient vraiments tous indsicrets, et Sanji pensait sans doute la même chose. Pff, fallais encore qu'il reste ici ! Zorro, bien résolu à partir de cet endroit maudit, pris les médicaments, prit Sanji dans ses bras et sortit. Il savait que ce n'était pas raisonnable mais il préférait ne pas être raisonnable que rester ici. Il y alla discrétement, et il arriva à sortir de justesse de l'hopital. Il se mit en route en direction de la maison.. En ne sachant pas trop quelle direction prendre...

Alors que je commençai à m'endormir une nouvelle fois, je sentis mon "matelas" bouger. J'ouvris les yeux. Zorro était en train de se lever. Il s'était assis sur son lit, sans pour autant me déloger et s'était ensuite levé en prenant les médicaments. Mais à quoi il jouait ?

-Zorro... Qu'est ce que tu fais ?

Je me tus bien vite tandis qu'il s'engageai dans les couloirs de l'hôpital. Il voulait sortir. Mais... Mais il n'avait pas le droit ! Il était inconscient ou quoi ? C'était dangereux pour lui ! S'il n'était pas encore tout à fait guéri, il pouvait... il pouvait... en mourir... Non. Non, il ne pouvait pas mourir de toute manière. Mais c'était loin d'être raisonnable. POurtant, je ne fis rien pour l'en empêcher. A vrai dire, moi aussi je voulais sortir d'ici.

Nous y arrivâmes de jutesse et Zorro-chou s'éloigna assez vite de l'hôpital pour éviter qu'un infirmière nous voit. Bon, au moins, c'était ça de fait. Tandis que le bretteur s'enfonçait dans les ruelles au hasard, je distinguais des tâches de sang un peu partout. Je ne pus retenir une grimace. Les loups avaient bel et bien tué certains humains. C'était triste que cela se passe ainsi. Mais j'avais réussi à canalyser cette haine, pour le moment. Ma position envers eux était bizarre et normalement, je n'aurais jamais du copiner avec des humains. Seulement, tous ne sont pas méchants. J'en ai une très belle preuve avec moi. Comme cette preuve semblait ne pas savoir le chemin de la maison, je lui fis savoir que j'étais encore là, bien qu'il le sache je pense, et je moi, j'avais un sens de l'orientation fonctionnel :

-Euuh Zorro ? Si tu veux rentrer à la maison, ça serait plutôt par là... Parce que sinon, tu retourne à Carré au Four.

La menace de revoir ce magasin maudit le fit prendre le bon chemin. Moi non plus, je ne voulais pas revoir cette supérette. C'était trop dangereux. Nous réussimes à sortir de la ville et nous pumes voir des cadavres de loups au sol. Ceux humains avaient été enlevé pour être enterré. La vision était loin d'être sympathique et j'eus un pincement au coeur. Tous ces loups... Si seulement tout cela n'était pas arrivé... Foutue guerre ! Il était temps que cela se finisse. Mais personne semblait vouloir la stopper. Je guidais Zorro à travers les corps et le sang en retenant mes larmes et mes hurlements. J'essayai de refermer tous mes sentiments à l'intérieur de moi. Je devais être fort... Je l'étais.

Pendant tout le trajet, à part pour vérifier notre position, je ne bougeai pas et ne pipai un mot. Même pas pour que l'escrimeur me repose à terre. J'aurais pu m'écrouler tout seul. POurquoi cela m'atteignait autant ? Je n'en sais rien. Je n'avais même pas découvert la signification des marques rouges sur mes mains. Tout était si sombre... J'essayai de réfléchir et d'oublier les loups, mais cela revenait sans cesse. Ce n'était pas fini. Je comprenais enfin l'ampleur de la guerre et son atrocité. J'avais peur. J'appréhendai la suite. Et s'il était arrivé malheur à Chopper ? Et... pour Zorro ? S'ils leur arrivaient quelque chose, comment je réagirais ? Et l'équipage ? Je me tourmentai trop pour rien surement. Je savais très bien que tous mes amis étaient forts. Mais je doutais maintenant de tout ça. Parce que je croyais que YUki l'était... et pourtant, elle est morte.

Personne... Non personne ne pouvait lutter contre la guerre sans en périr...

Finalement, la maison fut en vue. A peine le bretteur eut commencé à ouvrir la porte qu'un mignon petit renne nous sauta dessus, pleins de larmes et de morve. Il en profita pour crier un bon coup :

-Zorrrooooo ...! Sanjiiii ...! Vous êtes revenu ...!

-Chopper... C'est bon, calme toi... Il y a un problème ? Tu vas bien sinon ?

-Vouiiii ! Y'a eu pleins de loups mais ils ne sont pas entrés !

Je lui caressai le haut du crâne. Tout était fini maintenant. Je descendis des bras de Zorro pour qu'il puisse aller se reposer. CHopper avait du sentir qu'il était parti trop tôt et voulait surveiller sa guérison. S'il ne se reposait pas assez, il pouvait faire une rechute. Enfin maintenant, il était hors de danger. C'est ça qui compte.

Alors que je me dirigeai vers la cuisine, mon canarophone sonna. EN voyant que le numéro était inconnu, j'hésitai à décrocher mais je le fis quand même. Ne sait-on jamais. Par contre, j'avais oublié d'enlever le haut parleur :

-Allo ?

-Allo, Sanji Roronoa ? Est ce bien vous ?

-Euuh oui pourquoi ?

-Nous sommes l'équipe de recherche sur les espèces humanoides paranormaux. Un médecin nous a dit avoir vu d'étranges marques rouges sur vos mains qui ont pu stopper les loups. Nous avons plusieurs témoins alors il est inutile de nier. Vous voudrions faire quelques recherches alors pourriez vous vous présenter à notre laboratoire ?

-Ecoutez, ces marques rouges n'ont aucunes importance. Et je n'ai certainement pas envie de vous m'étudier !

-MAis qui a dit que nous vous laissions le choix ? Une équipe viendra vous chercher. Si vous ne voulez pas qu'il arrive malheur à vos proches, vous feriez mieux de vous préparer.

-Mais... Attendez !

La fille raccrocha avant que je puisse ajouter autre chose. C'était quoi ce délire ? Je regardai mes marques sur mes mains. Qu'est ce que ça pouvait signifier ? Tsukimi et les autres avaient parlé de la marque de la lune rouge mais qu'est ce que c'était vraiment ? J'aurais aimé le savoir mais pas de cette façon là. En même temps, j'avais la charge de ma famille. Zorro n'était pas encore guéri. Je ne pouvais pas prendre le risque de le faire combattre. J'allais devoir donc le faire moi même. Je n'avais pas décidé de me rendre, non, mais de me battre.

-Chopper. Je te confie Zorro. J'ai quelques comptes à aller régler avec une certaine femme. J'en ai pour quelque sminutes...

Sur ces mots, je sortis dehors et je vis l'équipe à quelques pas de la maison. Ils étaient une vingtaine de visible mais je soupçonnai qu'il y en ai des cachés. Je me concentrai. Puis, je leur criai :

-Je ne viendrais pas avec vous ! Il va falloir me battre pour cela !

Je savais très bien qu'il me voulait vivant. Alors je n'avais aucune chance de mourir. Les agents se jettèrent sur moi et je les repoussai avec mes coups de pieds. Il y avait des snipeurs aussi mais les balles m'égratinaient à peine ou touchaient les autres. C'est ainsi qu'un long combat s'engagea, sans que perosnne sache combien de temps ça allait durer.

Regardant à droite et à gauche et empreintant une ruelle au hasard, comme un chaton recherchant sa mère, Zorro finit par être éclairé par les bons conseils de son cuistot d'amour.

-Euuh Zorro ? Si tu veux rentrer à la maison, ça serait plutôt par là... Parce que sinon, tu retourne à Carré au Four.

Tilt !

-Oh...

Il se dépêcha de changer de direction et suivi le chemin indiqué. Se hâtant du mieux qu'il pouvait avec un Love cook sur le dos. Il vit que au sol, il y avait des tâches de sang éparpillées un peu partout. Etait-ce l'oeuvre des loups ? Sans doute.
La guerre commencait entre les humains et les loups. C'était bien triste. Enfin, à vrai dire, Zorro s'en fichait un peu... Mais son blondinet, lui, s'en préoccupait beaucoup. Bientôt des cadavres de loups croisaient leurs chemins. Pauvre blondinet... Il devait se sentir mal. Aprés tout, c'était son peuple tout de même. Des minutes de tourments intérieur plus tard, ils trouvèrent enfin la maison. A peine le bretteur avait ouvert la porte, qu'une petite peluche humide se jeta sur eux. C'était bien sûr leurs fils adoptifs, qui avait pleuré toutes les larmes de son corps. Le bretteur, un peu attendrit se laissa faire puis reposa Chopper à terre. Avec hystérie, la peluche cria :

-Zorrrooooo ...! Sanjiiii ...! Vous êtes revenu ...!

-Chopper... C'est bon, calme toi... Il y a un problème ? Tu vas bien sinon ?

-Vouiiii ! Y'a eu pleins de loups mais ils ne sont pas entrés !

Le jeune homme aux cheveux verts fit la moue. Encore des loups... Enfin, comme dit plus haut, ce n'était pas vraiment son problème. Il bailla un bon coup et partit s'affaler sur son lit et fut bientôt rejoint par Chopper qui s'inquiétait de son sort. Soudain, le canarophone du blondinet sonna. Zorro leva la tête,surpris.

-Allo ?

-...

-Euuh oui pourquoi ?

-...

-Ecoutez, ces marques rouges n'ont aucunes importance. Et je n'ai certainement pas envie de vous m'étudier !

-...

-Mais... Attendez !

Le sabreur fronca ses fins sourcils et s'apprêta à aller voir Sanji quand celui ci débarqua dans la chambre et dit :

-Chopper. Je te confie Zorro. J'ai quelques comptes à aller régler avec une certaine femme. J'en ai pour quelque sminutes...

Zorro n'eut pas le temps de protester , Sanji était déja partit dehors. Cela l'inquiétait. Il entendit le jeune coq crier :

-Je ne viendrais pas avec vous ! Il va falloir me battre pour cela !

C'était les mots de trops. Zorro se leva du lit sans écouter les indignations du médecin, et sortit pour voir ce qu'il se passait.
A quelques pas de la maison, il y avait une vingtaine d' hommes et de femmes
,quelques uns armés. Sanji se débattait avec sa technique de combat habituelle. Le bretteur sauta de la maison et retomba agilement sur le sol. Il arriva devant Sanji et se jeta sur l'équipe. Il commenca à faire ses techniques, à donner des coups de sabres. Il renvoyait les balles avec le dos de sa lame. Tout ca assez rapidement, c'était un peu comme une danse... La danse des sabres.

[Desoolller de t'avoiir faiit tellement attendre >_< En plus c'est court /SBAM/]

Bientôt, je pus voir une furie verte arriver devant moi. Cela ne m'étonna même pas. Zorro, contre les indications de son médecin, était venu me rejoindre. J'avais du crier un peu fort. Enfin bon, un peu d'aide n'était pas de refus, même si elle n'était pas indispensable. Le combat allait surement finir plus vite. Je laissai au bretteur le soin d'éliminer le menu fretin et m'engagea vers la femme scientifique qui s'interessait à moi. Les snipers ne me loupèrent pas et me fusillèrent. Je dus me prendre quelques balles, sans plus. J'étais bien trop rapide et agile pour eux.

Une fois à la hauteur de cette femme, je la pris par le col. Les tireurs avaient tro peur de la blesser, si bien qu'ils arrêtèrent leurs tirs. Ils ne devaient pas être très doué dans ce cas. POurquoi avoir rameuté une équipe aussi nulle ? Ils devaient savoir, pourtant, qu'ils affrontaient quelqu'un comme moi. Je ne fis pas plus attention et lui posai la question qui me turlupinait depuis tout à l'heure.

-POurquoi ? A quoi ça rime, tout ça, hein ?

-Nous voulons en savoir plus, sur ces marques rouges. Elles luisent si on passe le doigt dessus, n'est ce pas ?

-Mais qu'est ce... Hein ? Comment vous...

-J'en sais bien plus que vous. Laissez moi vous étudier et je vous aiderais à comprendre ce que c'est.

-Hein ? Mais non ! Je m'en fous moi !

-Vous ne voulez pas comprendre ?

-Si ! J'aimerais comprendre ! Mais pas à ce prix !

La scène était assez pitoyable. Elle commença à essayer de me frapper mais je l'esquivai facilement. Je dus me résoudre, au bout d'un moment, à l'étourdir un peu en lui faisant un croche patte. Elle tomba à terre, un peu sonné. Je la dominai de ma hauteur.

-Ecoutez, je veux bien quelques renseignements contre la vie sauve de votre équipe. MAis je ne peux pas me laisser étudier. C'est mon dernier mot. S'il vous plait.

-Des renseignements ? Nous n'en savons pas grand chose ! D'abord, j'ignorai que cela pouvait arrêter les loups. Tout ce que je sais, c'est qu'un homme qui a pu voir l'âme d'un loup de la lignée de la lune rouge peut en porter. Ou un femme, peu importe. Cela requiert un pouvoir bien plus important que vous ne le pensiez, et beaucoup plus effrayant.

-Comme quoi ?

-Hey les gars ! Repli !

-Mais attendez, nous n'avons pas fini !

-Il vaut mieux que ça en reste là.

Les soldats repartirent sans demander leur reste. Je restai là, bouche bée. Je ne comprenais pas. J'étouffai un petit rire. Génial ! J'avais hérité d'un pouvoir inconnu sans moyen de savoir ce que c'est ! J'espérai seulement de ne pas avoir le même pouvori destructeur que ma soeur de meute. Je fixai mes marques sans comprendre. CHopper en avait activé une. Mais moi, je ne pouvais pas le faire. C'était quelqu'un qui devait me le faire. Mais quel en est le rapport ? La première avait lui mais sans aucun changement en moi. Il fallait donc faire les deux. Mais à quel prix ? Je n'imaginai même pas la douleur.

J'entendis Zorro approcher derrière moi. Il devait aller se recoucher. C'est ce que j'aurais voulu lui dire mais j'étais bien trop absorbé par ces tatouages dont je ne savais pas l'effet. Je soupirai. Si seulement j'avais plus d'indice ! Je passai le doigt dessus, comme CHopper l'avait fait mais rien ne se produisit. NOuveau soupir. En attendant, mes quelques blessures saignaient toujours et il fallait rentrer. Je pris donc le chemin du retour, sans prêter attention au bretteur. Une foi slà bas, je ne pris même pas la peine de rassurer le petit renne et m'effondra sur le lit dans qu'il accourait pour arrêter mes saignements.

-Oï... A ton avis, ça peut receler quel pouvoir ? Tout ce que je sais, c'est que c'est en rapport avec ma soeur de la lignée de la lune rouge.

-Sanji, arrête de bouger pour que je puisse te soigner correctement. Mais tu ne nous avais pas dit que la lignée rouge s'était éteinte ?

-Eh bien non, vu que les loups ont dit que...

Je ne finis pas ma phrase. La lignée rouge vivait toujours en moi, grâce à ces marques. Et il fallait transmettre ce pouvoir. J'avais pensé à Reel mais je n'avais aucune idée comment le donner. Ce n'était peut-être pas si dangereux, peut-être que j'étais juste un vecteur de transmission. Mais... non. Ca n'avait aucun sens. Je soupirai.

-Il faudrait réactiver les marques. Les deux cette fois. POur savoir.

-Mais la dernière fois, tu as eu tellement mal...

-Je sais. Mais je ne pourrais pas rester dans l'ignorance. Je ne pense pas que je risque grand chose. Et puis, vous êtes là, non ?

J'avais confiance en eux mais j'appréhendai le moment où il faudrait retracer le parcours des deux marques. J'avais peur de la douleur que ça allait causer mais encore plus de son effet. Je ne savais pas vraiment quoi faire. A ce moment là, j'aurais voulu remonter le temps et que tout cela n'arrive pas. Mais je ne pouvais rien y faire. J'étais perdu et ça me faisiat peur.

Zorro n'eut pas besoin de faire grands choses de plus, déjà, Sanji avait tout esquivé, et il se rapprochait d'une des femmes. Il la prit par le col, et les tireurs avait trop peur de ne pas viser assez juste et de tirer sur la femme, alors ils ne firent rien. Sanji dit :

-POurquoi ? A quoi ça rime, tout ça, hein ?

-Nous voulons en savoir plus, sur ces marques rouges. Elles luisent si on passe le doigt dessus, n'est ce pas ?

-Mais qu'est ce... Hein ? Comment vous...

-J'en sais bien plus que vous. Laissez moi vous étudier et je vous aiderais à comprendre ce que c'est.

-Hein ? Mais non ! Je m'en fous moi !

-Vous ne voulez pas comprendre ?

-Si ! J'aimerais comprendre ! Mais pas à ce prix !

Cette discussion était absurde. Il se battait pour quoi déjà ? Zorro ne s'en souvenait même plus. Raaah la la, quelle mémoire de poisson rouge, celui la ! 'Fin bon. Il était toujours la, aux aguets, si jamais la situation se corsait. Il regarda Sanji faire un croche patte a la femme et dire :

-Ecoutez, je veux bien quelques renseignements contre la vie sauve de votre équipe. MAis je ne peux pas me laisser étudier. C'est mon dernier mot. S'il vous plait.

-Des renseignements ? Nous n'en savons pas grand chose ! D'abord, j'ignorai que cela pouvait arrêter les loups. Tout ce que je sais, c'est qu'un homme qui a pu voir l'âme d'un loup de la lignée de la lune rouge peut en porter. Ou un femme, peu importe. Cela requiert un pouvoir bien plus important que vous ne le pensiez, et beaucoup plus effrayant.

-Comme quoi ?

-Hey les gars ! Repli !

-Mais attendez, nous n'avons pas fini !

-Il vaut mieux que ça en reste là.

Étrange, l'équipe était parti à grande vitesse, et le blond resta planter la, sans bien comprendre sans doute...

Le bretteur bailla et il s'engouffra dans la maison en même temps que Sanji. De quoi discutait -il déjà ? Que s'était il passer ? Bof, Zorro n'avait pas vraiment envie de réfléchir plus que ça. Alors il voulut entrer dans la chambre et surprit Chopper et Sanji à discuter :

-Oï... A ton avis, ça peut receler quel pouvoir ? Tout ce que je sais, c'est que c'est en rapport avec ma soeur de la lignée de la lune rouge.

-Sanji, arrête de bouger pour que je puisse te soigner correctement. Mais tu ne nous avais pas dit que la lignée rouge s'était éteinte ?

-Eh bien non, vu que les loups ont dit que...

Le cuisinier s'arrêta un moment. Mais de quoi parlait -il ? Sanji reprit :

-Il faudrait réactiver les marques. Les deux cette fois. POur savoir.

-Mais la dernière fois, tu as eu tellement mal...

-Je sais. Mais je ne pourrais pas rester dans l'ignorance. Je ne pense pas que je risque grand chose. Et puis, vous êtes là, non ?

L'escrimeur rentra et vit Chopper soigner Sanji. Bof, c'est pas très hygiénique. Mais bon, il était dans sa chambre alors pourquoi n'aurait -il pas le droit d'entrer ? Il s'assit sur son lit et prit machinalement les mains de Sanji, le regard dans la vague. Distraitement, il traça un chemin et il sentit une brûlure. Il lâcha immédiatement les mains du cuistot comme si c'était un serpent. Il vit que des traces rouges s'illuminaient. Oh c'était donc ça ! Aaaaahhhh !

-San...Sanji !!! TOut va bien ? Je t'ai pas fait mal ?! Oh désoler, désoler , désolleeerr !!

Zorro finit par rentrer dans la chambre. Après tout, c'était la sienne aussi. Visiblement, il ne comprenait pas vraiment le sujet de notre conversation et semblait...ailleurs. Je fixai toujous mes mains et les marques rouges qu'elles portaient. Bientôt, les siennes les recouvrirent. Je levai doucement les yeux. Un geste presque habituel chez lui, si bien qu'il n'avait même pas l'air de s'en rendre vraiment compte. Je le laissai faire dans un léger sourire. IL n'avait vraiment rien écouté.

Puis, je sentis comme une brulure sur ma peau, sur mes mains. Je regardai alors mes mains. Zorro les caressai doucement de son pouce, en retranscrivant le symbole tatoué dessus. Les deux mains. Tout en regardant ailleurs. Mais... Qu'est ce qu'il faisait ? Je me crispai vivement de douleur. Je voulus lui dire d'arrêter mais c'était trop tard. Les marques s'illuminaient lorsqu'il sentit que quelque chose n'allait pas. LUi aussi semblait s'être brulé. Paniqué, il s'exclama :

-San...Sanji !!! TOut va bien ? Je t'ai pas fait mal ?! Oh désoler, désoler , désolleeerr !!

-Imbécile...

La douleur reprit de plus belle et je serrai les dents pour retenir un cri. Mes marques brillaient plus que jamais et la lumière commençait à entourer mon corps entier. PUis, elle essayait de s'imiscer en moi. Je paniquai un peu mais personne ne pouvait me venir en aide. J'essayais de me débattre contre cette sensation bizarre. Puis, la lumière pénétra en moi et se concentra sur mon ventre. Cette fois, je ne pus retenir un gémissement. Ca faisait mal. Qu'est ce que c'était à la fin ? Je me recroquevillai sur moi même, espérant que cela se finisse bientôt. Puis, peu à peu, dès que la lumière fut entièrement en moi, la douleur s'estompa lentement. Quelques larmes avaient coulé. Je restai ainsi quelques instants avant de me déplier. Je pus alors remarquer que je n'avais plus aucune trace sur mes mains. Qu'est ce qui s'était passé ? Je m'essuyai vivement les yeux.

-Chopper... Zorro... Qu'est ce que...

-Sanji, je vais devoir t'examiner, je pense. As tu la moindre idée de ce qui t'es arrivé ?

-Je... non...

Le petit médecin voulut m'entrainer à sa suite mais je m'aggrippai à Zorro. C'était trop précipité. A peine je me posai la question d'activer le sortilège que tout avait déjà été fait. Je ne comprenais pas. Je voulais... une pause. OUi c'est ça. Un moment de répit. Je vins me blottir contre lui. Mais CHopper n'avait pas l'air de cet avis. L'inquiétude, peut-être ?

-Sanji, arrête de faire l'enfant ! Viens !

-Comprends moi un peu ! Je... Je ne pige plus rien ! J'a besoin... d'un peu de temps.

-Plus vite je t'aurais examiné, plus vite on saurait ce qui se passe. Laisse moi au moins te faire une prise de sang, histoire que j'ai du travail, d'accord ?

Je dus accepter à contre coeur. IL prit une seringue et recueilla un peu de mon sang avant de partir l'examiner et lui faire subir d'autres tests. Je restai là, contre Zorro, espérant qu'il ait une réponse avec ça. Je nichai ma tête contre son cou en repensnat à ce qui venait de se passer. Des fois, il faudrait qu'il écoute un peu mieux ce qui se passe. Enfin bon. J'entendis alors un cri affolé de CHopper. Je me crispai contre le bretteur. Qu'est ce qu'il avait trouvé ? La peur m'envahit une fois de plus. Une fois de trop. J'attendis fébrilement son arrivée, en espérant que son exclamation annonçait une nouvelle moins dramatique que son cri.

Zorro avait déclenché quelque chose, et ce, sans le faire exprés, malgrés lui. Il n'avait pas compris grand chose, mais il avait au moins comprit que ca faisait mal à Sanji. Vut sa tête et la jolie brûlure sur la main de Zorro. Sanji entre ses dents :

-Imbécile...

Bin... Il l'avait pas fait exprés ! Mais c'étaiit quoi ce binz ? Soudain il se souvint. L'histoire des tatouages. Il les avaient déclenchés ! Il se rappelait désormais comment les marques s'étaient illuminées quand Chopper les avaient touchées. Oh noon... Qu'est ce que ca avait déclenché ? Vu l'expression de douleur intense de Sanji... Zorro souffrait aussi, qu'il souffre, mais il ne pouvait rien faire. Puis, la douleur passa. Le blondinet avait sur ses joues des larmes. Le pauvre... Le jeune homme le prit dans ses bras et le serra en lui murmurant :

-Je suis désoler, tout est fini maintenant...

Sanji demanda :

-Chopper... Zorro... Qu'est ce que...

-Sanji, je vais devoir t'examiner, je pense. As tu la moindre idée de ce qui t'es arrivé ?

-Je... non...

Le blondinet ressera le vert , s'accrochant déséspérement à lui.

-Sanji, arrête de faire l'enfant ! Viens !

-Comprends moi un peu ! Je... Je ne pige plus rien ! J'a besoin... d'un peu de temps.

-Plus vite je t'aurais examiné, plus vite on saurait ce qui se passe. Laisse moi au moins te faire une prise de sang, histoire que j'ai du travail, d'accord ?

Le cuistot fut bien obligé d'accepter... Le petit Docteur prit une seringue et préleva du sang. Zorro soupira. Il éspérait que ce n'était rien de grave...La petite peluche alla se réfugier dans sa chambre, pour étudier un peu plus le sang. Sanji se nicha dans son cou, sa cachette habituelle. Il sourit un peu et commenca à lui caresser les cheveux , pour le rassurer... Soudain, un cri strident retentit. C'était celui du médecin. Zorro lacha Sanji, et se précipita vers sa chambre :

-Que se passe t-il ?!

-Je...Je dois parler à Sanji seul à seul

-Pourquoi ?!

Le petit médecin ne répondit pas, et fit venir le cuisinier avec lui... Zorro mourait d'impatience dérriére la porte.

Bientôt, je vis le petit renne dans l'encadrement de la porte. Zorro me lâcha immédiatement pour aller le voir. Je soupirai. J'aurais voulu qu'il reste... Il y avait comme un vide désormais. Et mes inquiétudes n'arrengeaient pas les choses. Je gémis lorsque j'entendis la conversation.

-Que se passe t-il ?!

-Je...Je dois parler à Sanji seul à seul

-Pourquoi ?!

Le petit médecin se dirigea vers moi et m'entraina dans sa chambre en fermant la porte. Tous ses ustensiles étaient éparpillés. Il y avait de tout. Et visiblement, il s'interessait à une petite languette blanche et bleue. MOn sang était dessus. Je demandais à CHopper si Zorro ne pouvait vraiment pas venir mais vu son air grave, il valait mieux pas qu'il soit là. Je me mis à trembler un peu. Puis, il me tendit la languette.

-Tu sais ce que c'est ?

-Euuuh non...

-Il s'agit d'une languette qui peut repérer la présence d'HGC. Une protéine très spécifique. Et tu es contrôlé positif.

-Et en français, ça veut dire ..?

-Je ne sais pas par quel miracle, ni comment mais... tu attends un enfant.

Je lâchai ce que j'avais dans les mains, éberlué. Je me laissai choir sur le sol. Je poussai un premier cri. HEIIIN ? C'était quoi ce délire. Je demandais en tremblant légèrement si c'était une blague mais l'air grave du médecin me confirmait que non. Je comprenais mieux son cri. C'était... impossible, oui impossible.

-Mais mais mais... c'est.... de qui ?

-De Zorro, surement, vu que c'est lui qui a activé les marques.

-C'est.... une blague ?

-Non.

Je hurlai un deuxième cri d'incompréhension. Je commençai à paniquer, si bien que ma tête tournait un peu. J'attendais un enfant, j'attendais un enfant. Pas possible. Non... IMposible. Avant que je tombe vraiment dans les pommes, Chopper me secoua un peu pour me reprendre. Je fis le clair dans mon esprit. Ce n'était pas vraiment grave, au fond. Seulement...

-Comment vais-je lui dire ?

Plus que l'enfant, c'était sa réaction qui me faisait peur. Qu'est ce qui allait se passer maintenant ? Comment lui dire ? Et... même pour l'enfant. Et l'équipage ! C'était si... soudain. Je comprenais la réserve de la scientifique. Et maintenant, c'était fait. Je n'en étais pas malheureux. J'étais inquiet surtout. Le petit renne me posa alors la question fatale.

-Tu sais... Je peux encore faire quelque chose... Si tu n'en veux pas... Alors, il faudrait que tu y réfléchisse, toi et Zorro. La décision vous appartient. Je vais te ramener à ta chambre et tu vas lui en parler, d'accord ?

-Mais... qu'est ce que je vais lui dire ? Quand même pas... comme ça, si ?

Il ne répondit pas. Lorsqu'il ouvrit la porte, je vis le regard paniqué du bretteur. Je lui pris la main et l'emmena dans la chambre avant m'assoir sur le lit. Je respirai profondement, encore tremblant de la révélation qui m'avait été faite. Mais vu qu'il attendait une réponse, je n'allais pas y aller par les quatre chemins. Je n'avais plus le choix. Je ne pouvais plus faire marche arrière.

-Zorro... Je... Je ne sais pas vraiment comment te le dire alors je vais y aller direct, d'accord …? Chopper a trouvé ce qui m'atteint.... Je... Il... J'attend un enfant. Ne me demande pas comment, j'en sais rien ! Mais c'est toi le père... enfin l'autre père quoi, selon lui. Alors...

Je rougissai et je me sentai franchement mal à l'aise. Je ne savais pas vraiment comment présenter la chose. C'était si soudain ! Les femmes enceintes devaient vivre un vrai calvaire rien qu'à avouer ça à leur mari. Mes mains furent prise de tics nerveux et je n'osai pas l'approcher. Je ne voulais pas croiser son regard, de peur de voir quelque chose que je n'aimerais pas. Dans un soupir, je finis ce que j'avais à dire.

-Chopper peut régler le problème... Mais cette décision t'appartient à toi aussi... Pas qu'à moi...

Je réfléchis alors à mes propres envies. Est-ce que moi je me sentais prêt à ça ? Est ce que je voulais le garder et l'élever ? Avant même de me poser la question, je savais déjà la réponse. J'en étais heureux, de cet événement. C'était comme si on me donnait une chance. Moi qui pensait ne jamais avoir d'enfant, vu à quel point j'aimais Zorro, j'avais un moyen. C'était peut-être un peu précipité mais c'était la seule occasion. Et surement ma plus grande fierté. Alors oui, je voulais qu'il vive. Hélas, j'avais peur que le bretteur ne soit pas de cet avis. D'ou mes teemblements incessants et ma peur. Je n'osai toujours pas soutenir son regard. J'attendais une réponse, ou un contact. Juste quelque chose de sa part....

Tandis que le bretteur mourrait d'impatience, quelque chose se passait dérriére cette porte. Quelque chose peux être de louche, ou de dramatique, ou d'heureux. Il n'en avait aucune idée et c'était bien ca , qui le faisait paniquer. Il se faisait un sang d'encre pour Sanji, quand soudain un cri retentit. Cela finit d'achever le bretteur qui essaya d'ouvrir la porte mais en vain. Il était nerveux, et vu sa manière de faire les cents pas avec des espéces de tics nerveux, il allait bientôt exploser si il n'ouvraient pas. Mais, malheureusement, sa douleur ne fut qu'être emplifiée car un deuxième cri,d 'incomprenhension cette fois, rentit. Noooon ! Qu'arrivait-il ? C'était une vraie torture ! Heureusement, quelques secondes après, Sanji sortit et entraîna Zorro.Hein ? Quoi ? Ils s'assirent sur le lit et le blond prit une profonde inspiration et dit :

-Zorro... Je... Je ne sais pas vraiment comment te le dire alors je vais y aller direct, d'accord …? Chopper a trouvé ce qui m'atteint.... Je... Il... J'attend un enfant. Ne me demande pas comment, j'en sais rien ! Mais c'est toi le père... enfin l'autre père quoi, selon lui. Alors...

Le cuistot était agité de tics, et n'osait regarder le bretteur. Qu'est ce que ca voulait dire ? C'était une blague ? C'est impossible !

-Sanji... C'est une blague ? Tu sais trés bien que c'est impossible !

Mais il sentit bien que ce n'était pas une blague, mais comment cela était -il possilbe? Peux être.... Ah ! Oui, tout s'éclaire ! C'était les tatouages qui avait déclenchés ca ? Incroyable... Zorro en resta hébété. Sanji reprit :

-Chopper peut régler le problème... Mais cette décision t'appartient à toi aussi... Pas qu'à moi...

Ca, il était sûr qu'il voulait. Et puis, ,c'était monstrueux de tuer un enfant même pas né... POurquoi pas ? Il aimait tellement Sanji ! Et ca fera un peu de compagnie a Chopper, non ? Zorro sourit et caressa les cheveux du blond pour le détendre. Il le prit dans ses bras et lui dit, d'un ton qui se voulait chaud, rassurant :

-Ne t'en fais pas, je veux que cet enfant naîsse -Gomen pour l'orthographe >_<- , gardons -le, aprés tout, c'est une chance inéspérée pour un couple comme le notre ?

Il savait que Sanji serait un bon pére, et Zorro se disait aussi, que ce serait amusant d'avoir un enfant. Lui apprendre le sabre, tout ca...

Le temps me parut drolement long. J'imaginais qu'il était plus que surpris. Comme moi, il croyait à une blague mais mon air était bien trop grave pour que cela en soit une. C'était comme avancer dans un terrain incounnu, noir, sans quoi s'éclairer. Je ne comprenais pas. Et lui non plus. Je finis par sentir une main se poser sur ma tête et une douce caresse dans mes cheveux. J'hésitai à lever la tête. Puis, le bretteur me prit dans ses bras. Sans plus tarder, je m'accrochai à lui, histoire de calmer les tremblements qui m'agitaient. Puis, j'entendis sa voix rassurante.

-Ne t'en fais pas, je veux que cet enfant naîsse, gardons -le, aprés tout, c'est une chance inéspérée pour un couple comme le notre ?

Mes yeux s'écarquillèrent légèrement. Je resserrai mon emprise sur lui. Je retenais avec peine mes sanglots. Ce n'était pas de la tristesse non? J'étais heureux de sa réponse. IL pensait comme moi. Je ne pouvais plus articuler un seul mot ou les larmes allaient se mettre à couler. Tant de choses en si peu de temps... Je voulais parler. J'ouvris la bouche comme pour prononcer une phrase mais rien n'en sortit. Je recommençai le même manège, espérant à chaque fois que les mots sortent. Voyant que cela ne marchait pas, j'esquissai un léger sourire et laissai quelques larmes tomber. Comme par miracle, je pus de nouveau faire usage de la parole.

-Zorro...

Je levai les yeux vers lui. Aucune trace de colère, ou d'autres choses que je n'aurais pas voulu voir. C'était bien lui, de toute manière. Je souris une nouvelle fois et pressai ma joue contre la sienne. Je restai un moment ainsi, ne sachant pas vraiment quoi dire. Son regard m'avait fait tout oublier. Puis, j'entendis des petits pas arriver au loin. Je me retournai et vit CHopper à l'entrée. Il me cherchait, visiblement.

-Sanji, tu lui en as parlé ?

Je voulus lui répondre mais je n'y arrivais pas. J'étais pitoyable. Les émotions m'avaient tellement atteints que je n'arrivais plus à aligner trois mots. Je regardai alors Zorro, qui savait autant la réponse que moi. Je lui fis comprendre, s'il ne l'avait pas encore compris, que j'étais en accord avec lui. Et je l'embrassai, mais cette fois pour lui dire que j'étai sl'homme le plus heureux du monde. Mais, tellement un gacheur de moment et fauteur de trouble, CHopper finit par m'arracher de lui.

-J'ai d'autres examens à te faire subir. Alors tu viens ici !

Je dus m'accrocher à Zorro, lui demandant du regard s'il pouvait venir. Je n'avais pas envie de subir tous ces tests, pas maintenant ! En tout cas, pas tout seul. C'était marrant comme le médeicn pouvait êtr etyrannique. Le phénomène de foire qu ej'étais avait du réveiller son instinct de scientifique, d'ou sa hâte. A moins que nous vois tous les deux batifoler le dégoutait encore. Qui sait ?

Sanji s'accrocha à lui, et à ce moment là, il eut l'impression d'avoir dans les bras un enfant. En tout cas, quelqu'un de fragile, qu'il ne fallait surtout pas peiner, de peur de le briser. Mais, c'est quand il pleura, que Zorro eut encore plus l'impression d'avoir un enfant dans les bras, de devoir le consoler. Mais, cela ne le dérangeait pas, car cet enfant, il l'aimait...Vraiment beaucoup. Le coq resserra son étreinte tandis que ses larmes continuaient de couler le long du T-shirt du jeune homme à la peau mat. Enfin, son cook d'amour réussi à murmurer :

-Zorro...

Le désigné sourit. Il continua a lui caresser les cheveux, pour le rassurer un peu plus, pour le calmer. Mais , brisant cet instant" magique " le petit médecin arriva et demanda au blond :

-Sanji, tu lui en as parlé ?

Le coq ne répondit pas. Peux être n'en avait-il pas envie ? N'empêche c 'était mieux comme ça, ils étaient bien, l'un dans les bras de l'autre, mais il fallait que le petit renne gâche tout...Rah la la... Soudain, le blond embrassa le vert -ah ah x) - et Zorro rougit. Il l'avait pris pas surprise ! C'était pas du jeu ! Meuh bon, c'était vrai que ce n'était jamais désagréable. Chopper le traîna et dit :

-J'ai d'autres examens à te faire subir. Alors tu viens ici !

Dans un geste de réflexe, le bretteur reprit Sanji dans ses bras, mais vu le regard d'assassin de Chopper, il le lâcha. Mais, il prit sa main et le suivit quand même, malgré les râles du petit médecin.

Zorro aussi avait décidé de venir, malgré les recommandations de CHopper. Bon, c'est vrai que d'un côté, ça aurait été mieux qu'il reste tranquille mais je préférais qu'il soit là. Je suivis le petit médecin en serrant la main du bretteur, ne sachant pas du tout quels tests il allait me faire subir. Surtout avec le matériel qu'il avait, il ne pouvait pas tout faire. Je redoutai qu'une chose : qu'on ait besoin de voir un autre docteur en ville, ce qui serait la pire chose qui pourrait nous arriver.

Mais visiblement, CHopper avait de la ressource et bien plus de choses que je le pensais. Je passais par tous les tests possibles. Il testa mon sang plusieurs fois, ainsi que mon urine. Il m'examina sous toutes les coutures, très attentif. Je ne l'avais jamais eu comme ça. C'était à la fois amusant et effrayant. Il ponctuai à chaque fois par des exclamations silencieuses, qui me confirmèrent que tout devait aller comme il faut. Enfin, ce n'était pas tout à fait ça. Il devait surement faire très attention à tout, parce que je devais un cas presque unique.

Puis, je me suis demandé s'il en avait fini mais il me fit signe que non. A moitié absorbé par son microscope et mon sang, il dit simplement.

-Il faudrait faire une échographie. J'aimerais savoir où il est.

Je restai prosté là un moment. Qu'est ce qu'il avait l'intention de faire ? IL finit d'abord son analyse avant prendre dans son sac une espèce de paire de jumelles. Ah... Mais encore ? Il avait l'intention de faire comment ? Cela devait receler un autre artifice que j'ignorais. Il me fit m'allonger et posa son instrusment sur mon ventre. Je n'osai rien dire. Autant le laisser faire. J'essayais de savoir ce qu'il voyait rien qu'en l'observant. Il avait toujours les sourcils froncés jusqu'à voir visiblement ce qui l'interessait. IL marmonna quelque chose que je ne compris pas. Puis il maintient son instrument au même endroit et fit signe à Zorro.

-Zorro ! VIens voir ! Enfin, si tu veux...

Il s'approcha. Je compris l'intention du petit renne tandis qu'il s'éloignait pour prendre une énorme seringue. Bon, pour Zorro, c'était pour lui montrer son enfant mais ça... Euuh... Je commençai à paniquer légèrement. Je tirai la manche du bretteur. Non, CHopper, ne t'approche pas de moi avec ce truc ! Voyant mon air paniqué, il sourit. Adorable, s'il n'avait pas une seringue dans la patte. Voyant que cela me fit encore plus paniquer, il m'expliqua son intention tandis qu'il reprenait sa place pour voir le foetus.

-Je vais juste faire une anmiocentèse. En gros, c'est juste un test en plus pour vérifier qu'il n'y a aucune anomalie pour vous deux. Et j'ai besoin de ça, d'accord ?

-Et il y a... aucun risque ?

-POur toi non, pour l'enfant c'est de l'ordre de 5%. Mais ça ira bien !

Euuh là tout de suite, non. Je ne voulais pas. Je ne sais pas on fait ça à toutes les femmes enceintes mais c'est inhumain, un truc pareil ! Je me relevai prestement. La porte était devant moi mais il y avait le petit renne devant. Pas d'autres issues. Je reculai dans un coin. Je m'étais remis à trembler. Les yeux du petit renne brillèrent. Il me répétait de revenir et s'approchait doucement de moi, tel un film d'horreur. Lorsqu'il fut à ma portée, je l'eloignai en un coup de pied.

-NE M'APPROCHE PAS !!!

Je n'avais pas vraiment voulu lui faire mal. Mais je ne voulais pas qu'il approche. J'essayai en vain de me fondre dans le mur. Je voulais disparaitre, qu'il me laisse tranquille. Et surtout, qu'il ne me touche plus, encore moins avec cette seringue.

Juste en rentrant dans la chambre du médecin, le bretteur fut un peu surpris. Car, il en avait des outils. –Des outils étranges, aussi- Il fit asseoir le blond sur son lit, et lui fit passer une série de test. Prélèvement de sang, d’urine. Il était très attentif en examinant les prélèvements, très concentré, et cela était assez comique, d’un côté. Il faisait souvent comprendre à Sanji que tout était normal. Le coq demanda si c’était fini, mais le médecin fit signe que non avec sa tête. Zorro soupira, il espérait que tout irait bien comme ça, tout le long. Le médecin fit, à l’adresse du frêle coq :

-Il faudrait faire une échographie. J'aimerais savoir où il est.

Oui, oui, il faudrait faire une échomachinchose, c’est très très important, n’est-ce pas ?
Enfin, euh, Zorro le pensait … En vérité, il n’avait pas la moindre idée de la signification de ce mot, étrangement. Il demanda au petit médecin :

-Euh, dis, ça veut dire quoi échomachinchose… ?

Le mignon petit renne parut surpris, même presque outré, que quelqu’un ne sache pas ce qu’était une échographie. Il lui expliqua donc tout le tralala…Mais nous on s’en fiche, donc nous retournons à nos moutons. Zorro haussa un sourcil quand le renne posa l’instrument sur le ventre de Sanji. Cela ressemblait fortement à de sortes de jumelles, certainement. Après avoir regardé et marmonner des trucs dans sa barbe, Chopper releva la tête et invita le bretteur à le rejoindre :

-Zorro ! Viens voir ! Enfin, si tu veux...

Le bretteur hocha la tête et se mit à côté du petit médecin. Il regarda dans les jumelles et vit un fœtus. Le jeune homme aux cheveux verts sourit. Quand il pensait qu’ils avaient la chance de pouvoir faire un enfant… Cela paraissait incroyable. Mais c’était vrai. Zorro observai toujours le fœtus quand Sanji lui tira la manche. Il se retourna et vit le petit renne avec une énorme seringue. Vu la tête que faisait Sanji , cela ne devait pas lui plaire. Et l’escrimeur le comprenait. Le petit renne sourit en voyant son air, qui fit paniquer encore plus le beau blond (tiens ça faisait longtemps x) ) , le médecin dit :

-Je vais juste faire une anmiocentèse. En gros, c'est juste un test en plus pour vérifier qu'il n'y a aucune anomalie pour vous deux. Et j'ai besoin de ça, d'accord ?

-Et il y a... aucun risque ?

-POur toi non, pour l'enfant c'est de l'ordre de 5%. Mais ça ira bien !

Le blond ne sembla convaincu quand même. Il continua à faire sa mine de déterré, et se leva même du lit pour se reculer. Il voulut sortir mais le médecin semblait résigné à ne pas le laisser sortir. Zorro gronda. Que faisait-il-là ? S’il ne voulait pas, il ne voulait pas, il n’allait pas l’obliger non plus ! Et puis si cela se trouve, il n’y avait pas besoin de vérifier. Le cuisinier shoota dans Chopper et le bretteur en resta sidéré. Q -Q-Quoi ? il avait donné un coup de pied à cet petite peluche ?

-NE M'APPROCHE PAS !!!

Hurla-t-il. Zorro continuait de le regarder ébahi. Il se remit tout de suite et se mit devant Sanji, le protégeant de ses deux bras en disant :

-Ne le touche pas, si il ne veut pas, c’est sa volonté, il fait ce qu’il veut… Ce n’est peux être même pas obligatoire de faire ça !

Il avait fini par crier pour on ne sait quelle raison… Qu’allait dire le petit renne, maintenant ?

La scène était des plus pitoyables. J'étais toujours au sol, essayant de pousser le mur pour m'enfuir tandis que le petit renne se remettait de mon coup de pied pour s'approcher de moi à pas de velours, toujours avec l'énorme seringue. Quant à Zorro, il restait figé au même endroit, par l'image plus que spécial qui se déroulait sous ses yeux. Mais il finit par bouger et avancer vers moi. Je crus d'abord qu'il allait me retenir mais il se mit devant moi, dans une position qui affirmait qu'il me protégeait. Je levai mes yeux vers lui, puis vers le petit medecin, légèrement larmoyant. Puis, j'entendis crier.

-Ne le touche pas, si il ne veut pas, c’est sa volonté, il fait ce qu’il veut… Ce n’est peux être même pas obligatoire de faire ça !

Il y eut un blanc. Chopper s'arrêta, bouche bée. Je stoppai tout moucement moi aussi, ne sachant que faire. Je fixai d'un air vide la petite peluche, sans trouver les mots qu'il faudrait. Je commeençai à me sentir honteux de ma réaction. Mais la peur ne se dissipait pas. Ce.... truc me faisait trop peur. Puis, d'un ton calme qui nous forçait à aussi arrêter nos cris, le petit renne parla.

-Il va falloir redevenir raisonnable, Sanji. Parce que je n'ai pas le choix. NOrmalement, on ne prend le risque que dans de rares cas mais là, c'est obligatoire pour toi.

-Mais... pourquoi ? POurquoi ?

-Tu ne sais pas ? Ce genre de pratique permet d'établir le caryotype de l'enfant. Son programme génétique. Je pourrais savoir à quoi il ressemble, vois tu. On détecte ainsi des maladies graves. Mais pour toi, c'est autre chose qui m'inquiète. Vu que vous êtes deux hommes, il est possible qu'il y ait des problèmes. La probabilité est de l'ordre de 25%. Alors j'aimerais faire cette vérification.

Je ne bougeai pas. Je compris alors l'importance de la chose. Pas besoin d'avoir de connaissances médicales pour comprendre ce qu'il venait de dire. Si l'enfant avait de tels problèmes... Il ne pourrait pas vivre. En outre, j'étais aussi en danger. Il me regarda sérieusement, pour me dire que je ne pouvais pas y couper. J'hésitai. LA seringue me faisait toujours peur mais en même temps, que valait-il mieux faire ? Je me forçai à réfléchir calmement. Ma propre peur finit par se calmer alors qu eje me répétais mentalement que je devais le faire. Au moins pour l'enfant. Je me levai tout doucement et écartai doucement Zorro.

-Chopper... TU me promet de faire tout ce que tu peux pour lui ?

-Sanji, je suis médecin. Je sais parfaitement ce que je fais. Je comprends que tout cela te fasse peur mais si je ne fais as ça maintenant, il sera peut-être trop tard. Alors, peux tu me laisser faire, s'il te plait ?

J'asquieçai doucement et revient m'allonger. Mais j'avais pris la main de Zorro et l'amena avec moi, sous les regards entendus du petit renne. Puis, il arriva avec la seringue et guetta ma réaction. Je me figeai sur place. Je serrai encore plus la main du bretteur. Je ne pouvais me détendre. Je fermai donc les yeux et attendait que cela se finisse. Le petit renne avait bien vu ma détresse et fit de son mieux pour que tout se passe le plus rapidement possible. Je pus à peine sentir l'opération. Après quoi, il m'invita à sortir de sa chambre. Je lui obéis et m'effondra sur mon lit.

-C'est fatiguant... tout ça...

Je ne savais pas si tout cela était une bonne idée, parce qu ec'était vachement crevant. En même temps, je ne pouvai sregretter ce qui s'était passé. Je me demandais juste comment passer ces prochains mois. Le temps allait me paraitre très long.

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